Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Libération
par Didier Péron
La splendeur hagarde de "Gorge, coeur, ventre" (titre citant un poème de Pasolini) ajoute une pièce à cet édifice tremblant des fables cruciales. On a l’impression que les images construisent une arche, creusent un terrier, nous chassent et mêlent dans la même eau trouble les instincts et les rêves, sans qu’on ne puisse plus déterminer la part des hommes, des bêtes, des dieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
"Gorge, cœur, ventre" pourrait alors se dire « corps et âme », et sans être consolateur, le film embrasse l’ardeur et l’inquiétude accrochées à l’existence dans ce monde, délivrant de ses gangues muettes un infini besoin de consolation.
L'Humanité
par Emile Breton
Là est la force de ce film. Par ces images, autant d’éclairs, il dit assez haut sans un mot qu’il faut bien gagner sa vie et que ce peut être en donnant la mort à des êtres vivants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les foules d’animaux qu’on voit défiler sont en fait dérisoires si on les mesure à celles qui passent par les grandes installations dans la périphérie des métropoles. Cette relative "intimité", Maud Alpi a su en tirer le meilleur parti.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Gorge coeur ventre", c'est précisément un film permis par la nouvelle familiarité acquise par l'abattoir dans notre imaginaire horrifique. Il ne documente rien, mais met son objet à l'oeuvre plastiquement, émotionnellement : le lieu n'y est pas tant une réalité que la projection cauchemardée d'une réalité.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Dans cet enfer orangé, pisseux, aux parois recouvertes de monstrueuses traces noires de sang séché, Maud Alpi traque les dernières traces d'humanité.
Critikat.com
par Marie Gueden
À partir du lieu pathétique qu’est l’abattoir, réceptacle de la peur des bêtes au sein d’une machine à tuer, Maud Alpi réalise un film à vocation profondément empathique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Est-on dans un film de combat contre la cruauté infligée aux bêtes, ou bien dans la prise de conscience d’un gars qui cherche son chemin dans la vie ? Le sujet est dans l’air du temps. Pour voir ça, il faut avoir le cœur bien accroché.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
"Gorge cœur ventre" n’en est pas moins une fiction, ouverte à la fantasmagorie, une œuvre cinématographique aux partis pris esthétiques parfois éprouvants mais assumés, où chaque sortie à l’air libre reste comme hantée par les plongées nocturnes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Maud Alpi livre une réflexion engagée sur la domination exercée sur les animaux et leur massacre. Une œuvre à la fois militante et morbide, qui pourra laisser certains spectateurs abattus.
Positif
par Vincent Thabourey
La radicalité forcenée de cette mise sous tension est à la fois la grande force et la petite faiblesse de "Gorge Coeur Ventre".
Télérama
par Jacques Morice
Peu d'humains, mais beaucoup d'humanité dans ce film parfois balourd (dans sa part de fiction et son emploi de la musique) mais, à d'autres moments, vraiment impressionnant. Assurément, la jeune cinéaste a du talent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
Auteurisme d'un autre âge, radical et pompeux, qui rend ce film/doc très énervant. Et sans intérêt finalement.
Libération
La splendeur hagarde de "Gorge, coeur, ventre" (titre citant un poème de Pasolini) ajoute une pièce à cet édifice tremblant des fables cruciales. On a l’impression que les images construisent une arche, creusent un terrier, nous chassent et mêlent dans la même eau trouble les instincts et les rêves, sans qu’on ne puisse plus déterminer la part des hommes, des bêtes, des dieux.
Cahiers du Cinéma
"Gorge, cœur, ventre" pourrait alors se dire « corps et âme », et sans être consolateur, le film embrasse l’ardeur et l’inquiétude accrochées à l’existence dans ce monde, délivrant de ses gangues muettes un infini besoin de consolation.
L'Humanité
Là est la force de ce film. Par ces images, autant d’éclairs, il dit assez haut sans un mot qu’il faut bien gagner sa vie et que ce peut être en donnant la mort à des êtres vivants.
Le Monde
Les foules d’animaux qu’on voit défiler sont en fait dérisoires si on les mesure à celles qui passent par les grandes installations dans la périphérie des métropoles. Cette relative "intimité", Maud Alpi a su en tirer le meilleur parti.
Les Inrockuptibles
"Gorge coeur ventre", c'est précisément un film permis par la nouvelle familiarité acquise par l'abattoir dans notre imaginaire horrifique. Il ne documente rien, mais met son objet à l'oeuvre plastiquement, émotionnellement : le lieu n'y est pas tant une réalité que la projection cauchemardée d'une réalité.
Transfuge
Dans cet enfer orangé, pisseux, aux parois recouvertes de monstrueuses traces noires de sang séché, Maud Alpi traque les dernières traces d'humanité.
Critikat.com
À partir du lieu pathétique qu’est l’abattoir, réceptacle de la peur des bêtes au sein d’une machine à tuer, Maud Alpi réalise un film à vocation profondément empathique.
L'Obs
Est-on dans un film de combat contre la cruauté infligée aux bêtes, ou bien dans la prise de conscience d’un gars qui cherche son chemin dans la vie ? Le sujet est dans l’air du temps. Pour voir ça, il faut avoir le cœur bien accroché.
La Croix
"Gorge cœur ventre" n’en est pas moins une fiction, ouverte à la fantasmagorie, une œuvre cinématographique aux partis pris esthétiques parfois éprouvants mais assumés, où chaque sortie à l’air libre reste comme hantée par les plongées nocturnes.
Les Fiches du Cinéma
Maud Alpi livre une réflexion engagée sur la domination exercée sur les animaux et leur massacre. Une œuvre à la fois militante et morbide, qui pourra laisser certains spectateurs abattus.
Positif
La radicalité forcenée de cette mise sous tension est à la fois la grande force et la petite faiblesse de "Gorge Coeur Ventre".
Télérama
Peu d'humains, mais beaucoup d'humanité dans ce film parfois balourd (dans sa part de fiction et son emploi de la musique) mais, à d'autres moments, vraiment impressionnant. Assurément, la jeune cinéaste a du talent.
Studio Ciné Live
Auteurisme d'un autre âge, radical et pompeux, qui rend ce film/doc très énervant. Et sans intérêt finalement.