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PLR
473 abonnés
1 576 critiques
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1,5
Publiée le 23 décembre 2018
Difficile de trouver quelque chose de plus soporifique. A 45 minutes qui m’avaient déjà semblé très longues, j’ai regardé ma montre : il en restait 59. Un couple qui se distend. Le regard permanent du fils. Mais qu’est ce qu’on nous raconte ? L’histoire du couple ? Ou le regard du jeune adolescent ? Ce que ce dernier pense sans doute mais ça c’est au spectateur de deviner.
Malgré un casting de haute volée, une interprétation de qualité, une réalisation maitrisée, des décors et costumes réussis, ce film n'est pas bon...Quel ennui, quelle déception !!!! Un scénario d'une platitude et d'une monotonie rare, une absence d'émotion, des dialogues creux et sans saveur, Paul Dano semble s'être calé pendant 1H45 sur son limitateur de vitesse à 80Km/h sans accélération ni freinage d'urgence. A éviter sauf si vous avez envie de vous faire une bonne sieste....
4 806 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 4 août 2020
Dans les années 1960, la famille Brinson déménage et se retrouve au Montana. Jerry (Jake Gyllenhaal) perd son emploi alors que sa femme Jeanette (Carey Mulligan) et son fils adolescent Joe (Ed Oxenbould) prennent des emplois pour aider. Jerry décide qu'il va combattre les incendies et quitte temporairement sa famille. Maman à 34 ans trouve passion et sécurité avec un homme plus âgé. Joe est pris au milieu. Au début des années 60 le divorce était rare. En grandissant à cette époque je pouvais compter le nombre de couples que je connaissais qui avaient divorcé d'un seul doigt. Les gens ont surmonté leurs problèmes et leurs infidélités. Jake Gyllenhaal a tendance à assumer des rôles étranges ou ennuyeux. Celui-ci n'était pas différent. Alors que je vais vous accorder de bonnes performances a Ed Oxenbould. L'intrigue n'est allée nulle part et le drame n'a pas fonctionné pour moi. Un film sans aucun point ni conclusion une déception totale. Déprimant et morne. Il doit avoir été écrit par un homme car aucune femme n'agirait de cette façon autour de son fils surtout à cette époque...
Film qui repose surtout sur des tableaux. Certaines scenes rappellent en effet des tableaux de peintres. Un beau jeu d’acteur de Jake Gyllenhaal. Les meilleures scenes sont de loin celles avec lui, dommage qu on le voit pas enormement. Le scenario est beaucoup trop simple, c’est vraiment beaucoup de bruit pour rien. Le film aurait pu se passer des moments entre les deux adolescents sans problemes. L’acteur qui joue le fils de Jake Gyllenhaal et de Carey Mulligan, Ed Oxembould est beaucoup trop effacé et trop souvent son jeu ne convient pas. Les scenes dans la maison familiales ont toujours de la musique au debut, comme si on ecoutait du jazz dans la maison sans arret, petit detail qui personnellement m a genee dans la narration.
Le film se regarde sans plus. Les personnages sont antipathiques. Un des sujets pourra changer le regard du public sur le film : celui des feux de forêts. Wildlife. Ca rythme la vie de certains états des Etats-Unis, et le parallele avec la guerre (discours a la tele, certains dialogues du film entre les personnages) etc est sans doute beaucoup plus fort auprès des americains, que du public français. Tous ces moments sont plutot pour moi une question de culture, à laquelle je n’ai pas pu me connectee, ni ressentir vraiment quelque chose. Il est très probable que quelqu’un plus sensible appréciera davantage ce film ne serait-ce que pour ces momentsw
C'est en ayant vu ce film que j'ai interprété son titre comme une ironie totale. D'une platitude qui aurait pu véhiculer un flot d'émotions, on reste sur l'histoire vue et revue d'une séparation avec juste quelques bulles de sentiment incarnées par la seule lumière du film, Ed Oxenbould. Ces années 60 préservées de folie ressemblent davantage à des années 50 où l'épuré soigné enferme la névrose des brushings propres. Je le rebaptiserais pour ma part "mourn-life, une saison en cendres".