Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce cinéma minimaliste qui n'a l'air de rien au premier abord [...] construit petit à petit une cathédrale de la déréliction au lyrisme inouï.
Libération
par Marcos Uzal
Les plans sont d’une somptuosité étrange qui n’a rien d’esthétisant : le cinéaste ne cherche pas à embellir mais il tient à trouver la beauté là où elle se niche, souvent dans une lumière ou une perspective troublante offerte par la profondeur de champ.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Filmé dans un très beau noir et blanc, "La femme qui est partie" regarde avec une extrême pudeur ce petit bout de femme qui réapprend à vivre libre, mettant à nu ses incertitudes, tâtonnements et emportements.
Télérama
par Pierre Murat
Entre eux se noue un mélo sublime, où les blessures s'apaisent dans les larmes et les chansons, et dont le dénouement, prévisible et pourtant surprenant, glisse, soudain, vers un onirisme flamboyant...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le récit se construit de manière organique avec une grande précision.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Pas trace de sentimentalisme, mais au contraire une distance toujours juste, qui crée l'émotion, au gré de scènes amoureusement ciselées, photographiées sublimement, magistralement interprétées. Alors, oui, c'est long, mais ce n'est jamais trop long.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au final, les quatre heures ou presque n’en paraissent pas deux, et le spectateur s’en va, riche de personnages inoubliables et de questions spirituelles qui l’accompagneront longtemps.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Avec ses allures de pop-star androgyne à l’élégance féline, Lav Diaz aura en une poignée de films secoué notre quiétude cinéphile.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un long combat pour la justice et la dignité et contre le cours souvent imprévisible des choses, dans un film dont la longueur elle-même fait l’originalité et le prix.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une fois acclimaté, le spectateur perd toute notion du temps et se sent happé par cette histoire fictive, réaliste, à la fois singulière, sombre et humaine.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Lav Diaz nous offre, dans un somptueux noir et blanc, le portrait d’une femme, aussi généreuse qu’intelligente, engagée dans un projet de vengeance. Magnifique !
Positif
par Hubert Niogret
Le cadre est large, le décor très révélateur de la scène, dans un superbe noir et blanc, assez réaliste.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le film n’est pas dépourvu de complaisances, la durée des séquences, parfois rédhibitoire, peut faire refluer l’émotion, mais on sent une volonté de distanciation austère et analytique.
Critikat.com
par Josué Morel
C’est aussi le paradoxe du film : alors que le portrait tend à se cimenter, le récit, lui, se liquéfie, jusqu’à une scène où Diaz filme soudainement caméra à l’épaule une plage où résonne de la musique – comme si la rigidité formelle de l’édifice vacillait en même temps que l’horizon de la vengeance, simultanément accompli et abandonné par Horacia.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Malgré sa durée, le mélodrame stylisé de Lav Diaz finit par émouvoir.
Les Inrockuptibles
Ce cinéma minimaliste qui n'a l'air de rien au premier abord [...] construit petit à petit une cathédrale de la déréliction au lyrisme inouï.
Libération
Les plans sont d’une somptuosité étrange qui n’a rien d’esthétisant : le cinéaste ne cherche pas à embellir mais il tient à trouver la beauté là où elle se niche, souvent dans une lumière ou une perspective troublante offerte par la profondeur de champ.
Studio Ciné Live
Filmé dans un très beau noir et blanc, "La femme qui est partie" regarde avec une extrême pudeur ce petit bout de femme qui réapprend à vivre libre, mettant à nu ses incertitudes, tâtonnements et emportements.
Télérama
Entre eux se noue un mélo sublime, où les blessures s'apaisent dans les larmes et les chansons, et dont le dénouement, prévisible et pourtant surprenant, glisse, soudain, vers un onirisme flamboyant...
L'Humanité
Le récit se construit de manière organique avec une grande précision.
L'Obs
Pas trace de sentimentalisme, mais au contraire une distance toujours juste, qui crée l'émotion, au gré de scènes amoureusement ciselées, photographiées sublimement, magistralement interprétées. Alors, oui, c'est long, mais ce n'est jamais trop long.
La Croix
Au final, les quatre heures ou presque n’en paraissent pas deux, et le spectateur s’en va, riche de personnages inoubliables et de questions spirituelles qui l’accompagneront longtemps.
La Septième Obsession
Avec ses allures de pop-star androgyne à l’élégance féline, Lav Diaz aura en une poignée de films secoué notre quiétude cinéphile.
Le Dauphiné Libéré
Un long combat pour la justice et la dignité et contre le cours souvent imprévisible des choses, dans un film dont la longueur elle-même fait l’originalité et le prix.
Le Journal du Dimanche
Une fois acclimaté, le spectateur perd toute notion du temps et se sent happé par cette histoire fictive, réaliste, à la fois singulière, sombre et humaine.
Les Fiches du Cinéma
Lav Diaz nous offre, dans un somptueux noir et blanc, le portrait d’une femme, aussi généreuse qu’intelligente, engagée dans un projet de vengeance. Magnifique !
Positif
Le cadre est large, le décor très révélateur de la scène, dans un superbe noir et blanc, assez réaliste.
Cahiers du Cinéma
Le film n’est pas dépourvu de complaisances, la durée des séquences, parfois rédhibitoire, peut faire refluer l’émotion, mais on sent une volonté de distanciation austère et analytique.
Critikat.com
C’est aussi le paradoxe du film : alors que le portrait tend à se cimenter, le récit, lui, se liquéfie, jusqu’à une scène où Diaz filme soudainement caméra à l’épaule une plage où résonne de la musique – comme si la rigidité formelle de l’édifice vacillait en même temps que l’horizon de la vengeance, simultanément accompli et abandonné par Horacia.
Le Monde
Malgré sa durée, le mélodrame stylisé de Lav Diaz finit par émouvoir.