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John Henry
104 abonnés
707 critiques
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4,0
Publiée le 18 décembre 2021
Ce western est un pur plaisir de réalisation, d'acting, de musique, de montage, c'est dynamique et enlevé, pétillant et brutal, léger et pourtant ça distille un sous-texte politique surgi de l'existence même du film.
je ne mets pas souvent de critiques, mais là stop. Ce film est ultra caricatural à la limite raciste anti blanc. J'adore Idris Elba mais que le blanc soit normalement traité comme une sous espèce alors qu'on est censé prôné l'égalité de tous, je ne suis pas d'accord
La seul originalité du film c'est le casting entièrement noir et c'est bien triste car du coup le scénario passe à la trappe le jeu d'acteur est digne des plus grand navets et les blagues pas drôles... ce film me fait pensé au dernier Charlie angel's en gros un film pour essayé d'améliorer une visibilité sauf qu'au détriment du scénario ça fait l'effet inverse mais on sait tous que le ciné us veux aujourd'hui faire de l'argent sur le dos des minorités car sa rapporte peu importe la qualité pourtant des scénarios avec possibilité de casting noir y pourrait y en avoir à la pelle sans chercher on pourrait faire un film sur les Harlem globe trotter par exemple donc en cherchant bien...
Disponible sur Netflix, Jeymes Samuel a accouché d’un western original "black ’n’ pop", en mode tarantinesque et résolument moderne. Mise en scène stylisée, décors stupéfiants (la "ville blanche", magnifique), bonnes scènes d’actions, énorme bande-son et distribution afro-américaine parfaite. Le problème vient principalement de longues séquences inutilement longues autour d’un scénario somme toute classique. Avec 30 minutes de moins au compteur, « The Harder They Fall » aurait pu tutoyer les sommets.
Happé par les premières cinq minutes, j’ai regardé tout le film « The harder they fall », de Jeymes Samuel, sur Netflix. Je n’ai pas aimé. Je me suis assez vite désintéressé et des personnages et du récit, qui se déroule mollement, sans grande surprise ni profondeur. Le réalisateur tente de cacher la faiblesse de son scénario par une surenchère de maniérismes. Les quelques tentatives d’humour tombent à plat et, mis à part la violence très graphique, les scènes d’action font preuve de très peu d’inventivité. On est loin à la fois du souffle épique de Sergio Leone, du nihilisme de Sam Peckinpah et de la virtuosité narrative de Tarantino. À oublier.
Ce film Netflix n'est vraiment pas terrible. Entre western à la Tarantino et blaxploitation, ça s'annonce plutôt bien et démarre fort. Mais le scénario cousu de fil blanc et la mise en scène ratée font de ces deux heures un moment parfaitement dispensable.
Avec un long métrage, l'envie de divertir peut s'essouffler . L'idée reste et l'appui professionnel donne vie à un clip gigantesque avec une B.O maîtrisé par son réalisateur, mais The Harder They Fall est trahis par son récit.
d un banalité sans limite, tous les condiments d un western sont la, vengeance, braquage, revolver à...30 coups ! tout ça à la sauce affro, rien d original on attends rien, sinon que ça se termine.
Assez déçue. Ce western commençait plutôt bien sauf qu'au bout d'une heure, l'ennui a commencé à se faire sentir... Le scénario est tellement inconsistant et les personnages caricaturaux que même les quelques bonnes scènes d'action ne sauvent pas ce film du naufrage. Sans parler du jeu des acteurs qui est très moyen. Reste la bande son super entrainante.
bon western avec bande son originale et dynamique. alors, oui c'est un casino majoritairement Black, et alors ? N'est-il pas possible d'admirer le jeu d'acteur plutôt que la couleur de peau ? marre des critiques négatives de spectateurs qui s'arrêtent à ça. oui il y a des longueurs mais c'est un western, on ne peut pas s'attendre à un film d'action qui déchire tout. ce n'est pas le but. laissez vous entraîner par le moment. on se détend et cela reste un bon western. et Idris quel pur méchant !
Les images sont splendides et la façon de filmer parfois époustouflantes. A part cela, ce film n'est qu'une accumulation de clichés. Les personnages n'ont aucun épaisseur et on chercherait vainement le moindre élément sur le contexte historique et social. Car des villes peuplées uniquement de Noirs se sont bien constituées après la guerre de sécession. Mais le sujet ne semble pas avoir intéressé le réalisateur dont l'ambition s'est limitée au spectacle, en remplaçant des gunmen blancs par des noirs. De plus, on pourrait couper facilement une bonne demi heure de fusillades insipides. Rien à voir avec Django de Tarentino qui mettait lui aussi en scène des héros noirs, mais dénonçait l'horreur de l'esclavage. Ne restent ici que quelques bonnes scènes isolées, comme le braquage de la banque. Sans compter la louche de mélo final franchement grotesque. Dommage, car il y avait certainement les moyens de réaliser un film intelligent et intéressant à la place de ce clip clinquant.
Le western n’est pas mon genre cinématographique de prédilection mais de temps j’aime bien en regarder, surtout quand il est aussi bon que celui-ci. Tout est réussi dans ce Harder they fall, premier long métrage de Jeymes Samuel (à suivre). La mise en scène est aussi somptueuse qu’originale. Le scénario une vraie pépite même si toutes les ficelles habituelles sont là. Une histoire de vengeance implacable et haletante, avec des bandes de méchants, des flingues, des morts, et des scènes de baston formidables. Et avec, une fois n’est pas coutume, un dénouement inattendu et poignant. Techniquement, c’est splendide, la photo (des plans superbes), le montage, la bande-son, tout est parfait. Tout le casting est convaincant, avec notamment Jonathan Majors, Regina King ou encore Damon Wayans. Un vrai coup de jeune sur le genre, pour un western très « Tarantino » presque cent pour cent black (et aussi très féminin). Une vraie bonne surprise pour un excellent divertissement.
Netflix à encore frappé ! L'intrigue s'envole très vite pour ne jamais réapparaître. Le scénario manque d'écriture. La mise en scène n'est qu'une mauvaise caricature. Le casting avait l'air prometteur mais cela ne fait pas tout contrairement à ce que certains disent. La BO est une catastrophe ambulante.
J'ai envie de défendre ce film qu'il faut bien sûr prendre au deuxième degré. On pourrait regretter le parti-pris ethno-centré du réalisateur mais l'humour sauve le film de la ghétoîsation dans lequel il aurait pu tomber. Finalement le sujet devient la violence endémique liée à la volonté de pouvoir, et se tourne de ce fait, vers l'universel. Cette violence n'a pas de couleur ( ha ha ) et nous sommes tous frères-ennemis. J'ai bien aimé la Ville Blanche opposée à la ville de Couleurs. Ca donne un petit coté naïf qui allège le propos. Belle réalisation qui n'hésite pas à cligner de l'oeil du coté de Sergio Leone.
Film sans plus. Beaucoup d'incohérence en général même si on comprend parfaitement l'aspect fantaisiste du film. Des dialogues pas spécialement mémorable, des scènes d'actions plutôt sympathique, une BO à la Tarantino qui colle très bien à ce type de western, un casting sympa mais quand même quelques remarques; On comprend l'idée du film qui est de célébrer les personnalitées afro-américaine de cette période cependant assez contradictoire allant jusqu'à faire jouer des personnalitées de l'époque "caucasienne" par des acteur afro-américain (sachant que Cherokee Bill n'est pas afro-américain, d'un père européen et d'une mère européenne/amérindienne/africaine) ce qui je trouve en fait un film assez malheureusement communautariste (ce qui je trouve ce retrouve de plus en plus dans le cinéma nord-américain.) Je trouve dommage d'avoir réduit la personnalité de toute ces célébrités d'antan qui ont chacun des histoires incroyable pour les faire jouer les hors-la loi caricaturaux des westerns moderne (spoiler: Stagecoach Mary a eu une vie incroyable, ce qui est dommage de l'avoir réduite à chanteuse de cabaret/hors-la-loi ) Beaucoup d'anachronisme même si amusant à déceler. Un scénario et un plot-twist prévisible.
Conclusion : très pop, pas fou mais sympathique à regarder et décortiquer l'histoire de chaques personnages présenté. La version Lidl de Django Unchained