Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un univers que Juan Sebastian Mesa connaît parfaitement puisqu’il en est lui-même issu. Il ne fait que retracer sa propre trajectoire. Il a 26 ans et a tourné ce film simple mais brûlant en à peine dix jours. Cette rapidité explique l’énergie sans faille de ce tract filmé, plein de bruit et de fureur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Critikat.com
par Clément Graminiès
En faisant le choix de tourner en noir et blanc, de jouer régulièrement sur les échelles de plans et en ponctuant même son montage de quelques ralentis, le réalisateur prend le contre-pied des facilités qui lui tendaient les bras, au risque de parfois forcer le trait et de donner l’impression de tomber dans une esthétisation un peu gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une proposition engageante par un cinéaste plein de fougue et de promesses à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Maxime Kasparian
Avec son choix du noir et blanc, le cinéaste renforce l’état d’esprit et la complexité de ses personnages, invisibles dans une société qui les dépasse, tout en apportant un aspect quasi documentaire intéressant sur la vie colombienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
Un premier film rempli d'audace et à l'esthétique remarquable, mais qui finit par lasser à force de vouloir éviter à tout prix le conformisme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce film qui met en scène de jeunes artistes de rue, à Medellín, tranche, par sa légèreté, avec les images souvent violentes de cette ville. Débutant, le réalisateur reste un peu à la surface de ces vies d’espoir et de vague révolte. Mais il a pour ceux qu’il filme un regard d’une belle tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Imprégné de culture urbaine, inspiré par La Société du feu rouge, de Ruben Mendoza, Los Nadie est un projet de court-métrage dont l’étirement affadit le propos.
Positif
par Fabien Baumann
Le jeune réalisateur de "Los nadie" s’est probablement trompé de sujet : le désir d’ailleurs de ses cinq ou six jeunes héros paraît bien légitime, mais il nous indiffère, car il est platement universel.
L'Humanité
Un univers que Juan Sebastian Mesa connaît parfaitement puisqu’il en est lui-même issu. Il ne fait que retracer sa propre trajectoire. Il a 26 ans et a tourné ce film simple mais brûlant en à peine dix jours. Cette rapidité explique l’énergie sans faille de ce tract filmé, plein de bruit et de fureur.
Critikat.com
En faisant le choix de tourner en noir et blanc, de jouer régulièrement sur les échelles de plans et en ponctuant même son montage de quelques ralentis, le réalisateur prend le contre-pied des facilités qui lui tendaient les bras, au risque de parfois forcer le trait et de donner l’impression de tomber dans une esthétisation un peu gratuite.
Les Inrockuptibles
Une proposition engageante par un cinéaste plein de fougue et de promesses à suivre.
Première
Avec son choix du noir et blanc, le cinéaste renforce l’état d’esprit et la complexité de ses personnages, invisibles dans une société qui les dépasse, tout en apportant un aspect quasi documentaire intéressant sur la vie colombienne.
Studio Ciné Live
Un premier film rempli d'audace et à l'esthétique remarquable, mais qui finit par lasser à force de vouloir éviter à tout prix le conformisme.
Télérama
Ce film qui met en scène de jeunes artistes de rue, à Medellín, tranche, par sa légèreté, avec les images souvent violentes de cette ville. Débutant, le réalisateur reste un peu à la surface de ces vies d’espoir et de vague révolte. Mais il a pour ceux qu’il filme un regard d’une belle tendresse.
Le Monde
Imprégné de culture urbaine, inspiré par La Société du feu rouge, de Ruben Mendoza, Los Nadie est un projet de court-métrage dont l’étirement affadit le propos.
Positif
Le jeune réalisateur de "Los nadie" s’est probablement trompé de sujet : le désir d’ailleurs de ses cinq ou six jeunes héros paraît bien légitime, mais il nous indiffère, car il est platement universel.