Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Didier Péron
Pour son premier long métrage de fiction, le Tunisien Ala Eddine Slim fait le pari d’un retour au cinéma muet pour sublimer l’errance d’un migrant dans des séquences magnétiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
par Emna Mrabet
Le cheminement narratif poursuit ainsi sa veine d’expérimentation en métamorphosant l’objet initial, le drame de l’immigration clandestine, en voyage intérieur, spirituel et initiatique et ceci jusqu’à la sublime chute, sorte de mise en abyme, de synthèse de ce beau parti pris osé ; une invitation sans concession à méditer sur le devenir de notre humanité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On pouvait craindre de s’ennuyer sur la longueur, mais "The Last of Us" séduit par sa beauté, son absence de concession, son habileté à faire d’une aventure migratoire réaliste un voyage intérieur.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Comme un objet scintillant sur la plage, loin de tout genre cinématographique, The Last of Us éveille notre curiosité tant le réalisateur, le Tunisien Ala Eddine Slim, déploie un désir de transmettre des sensations.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
"The Last of Us" est un film sur l’évaporation – de la parole, du suspense, de l’identité, du temps, de l’espace puis littéralement du corps – bien plus proche d’un trip hypnotique du chaman Weerasethakul que d’un man vs. wild haletant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Ainsi le migrant, dépouillé de ce nom et du bavardage ignoble où il n’est que victime et coupable, retrouve sa complexité d’humain ambigu et beau, par la grâce du cinéma.
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Dépouillé à l’extrême, ce film audacieux et fascinant suit le parcours d’un Robinson des temps modernes, sans qu’une parole soit prononcée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un retour à l'état sauvage mis en scène avec un sens éblouissant du cadre qui semble protéger et dévorer son héros. Une animalité qui est aussi le reflet de la nôtre – nous sommes capables et coupables d'indifférence. Une claque esthétique qui peut dérouter par son exigence, mais mérite l'effort du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Dominique Martinez
Le cinéaste investit la voie sensorielle et se tourne vers l'imaginaire. Dommage qu'il ne parvienne pas en dépasser la simple intention formelle.
Critikat.com
par Benoît Smith
Cette tenue stylistique tendant à la sécheresse butte, à mi-parcours, sur l'intrusion prononcée d'éléments de conte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Opaque et poseur, le film ne parvient que par bribes à rendre féconde la torpeur abstruse qui caractérise ce film d’errance un rien misanthrope. Dommage, d’autant que l’on sent poindre une réelle acuité artistique et discursive sous cet amas égrotant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
Pour son premier long métrage de fiction, le Tunisien Ala Eddine Slim fait le pari d’un retour au cinéma muet pour sublimer l’errance d’un migrant dans des séquences magnétiques.
Culturopoing.com
Le cheminement narratif poursuit ainsi sa veine d’expérimentation en métamorphosant l’objet initial, le drame de l’immigration clandestine, en voyage intérieur, spirituel et initiatique et ceci jusqu’à la sublime chute, sorte de mise en abyme, de synthèse de ce beau parti pris osé ; une invitation sans concession à méditer sur le devenir de notre humanité.
Le Journal du Dimanche
On pouvait craindre de s’ennuyer sur la longueur, mais "The Last of Us" séduit par sa beauté, son absence de concession, son habileté à faire d’une aventure migratoire réaliste un voyage intérieur.
Le Monde
Comme un objet scintillant sur la plage, loin de tout genre cinématographique, The Last of Us éveille notre curiosité tant le réalisateur, le Tunisien Ala Eddine Slim, déploie un désir de transmettre des sensations.
Les Inrockuptibles
"The Last of Us" est un film sur l’évaporation – de la parole, du suspense, de l’identité, du temps, de l’espace puis littéralement du corps – bien plus proche d’un trip hypnotique du chaman Weerasethakul que d’un man vs. wild haletant.
Transfuge
Ainsi le migrant, dépouillé de ce nom et du bavardage ignoble où il n’est que victime et coupable, retrouve sa complexité d’humain ambigu et beau, par la grâce du cinéma.
aVoir-aLire.com
Dépouillé à l’extrême, ce film audacieux et fascinant suit le parcours d’un Robinson des temps modernes, sans qu’une parole soit prononcée.
L'Obs
Un retour à l'état sauvage mis en scène avec un sens éblouissant du cadre qui semble protéger et dévorer son héros. Une animalité qui est aussi le reflet de la nôtre – nous sommes capables et coupables d'indifférence. Une claque esthétique qui peut dérouter par son exigence, mais mérite l'effort du spectateur.
Positif
Le cinéaste investit la voie sensorielle et se tourne vers l'imaginaire. Dommage qu'il ne parvienne pas en dépasser la simple intention formelle.
Critikat.com
Cette tenue stylistique tendant à la sécheresse butte, à mi-parcours, sur l'intrusion prononcée d'éléments de conte.
Les Fiches du Cinéma
Opaque et poseur, le film ne parvient que par bribes à rendre féconde la torpeur abstruse qui caractérise ce film d’errance un rien misanthrope. Dommage, d’autant que l’on sent poindre une réelle acuité artistique et discursive sous cet amas égrotant.