Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Plus proche de Kafka que de Flaubert (la référence à Madame Bovary n’étant présente que dans le titre international), ce film à l’humour vitriolé charge les bureaucrates incapables de comprendre les problèmes du peuple dont ils sont trop éloignés.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une satire romanesque plutôt savoureuse, singularisée par sa recherche esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C'est filmé dans un cadre rond, comme si on regardait à travers un tuyau. Procédé irritant, qui n'ajoute rien à la force du drame. Mélange d'ironie aigre et d'empathie, le récit comprend deux périodes, séparées par dix ans. Fan Bingbing, formidable, porte le film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un pamphlet féministe de plus de deux heures en forme d’essai esthétique, l’écran changeant régulièrement de forme, du rond pour la campagne au carré pour la ville, traduction visuelle de l’étau étranglant cette victime dont le seul crime est de refuser toute docilité et toute obéissance.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Certes, cette adaptation du roman de Liu Zhenyun tire en longueur, mais son inventivité esthétique, son humour et la finesse de son écriture en font une diatribe aussi déconcertante qu’inoubliable contre la société chinoise.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Portrait caustique de la Chine actuelle, le film se distingue par sa beauté formelle stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Dans le film de Feng Xiaogang, aussi beau qu’acide, une femme discréditée par son mari se débat pour rétablir son honneur dans un cadre stylisé à l’extrême.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une satire subtile de la Chine d'aujourd'hui.
Critikat.com
par Axel Scoffier
(...) le film, qui parvient à séduire par la belle composition de ses vignettes, pâtit cependant de la longueur et l’échelle temporelle et spatiale de son récit, qui transforme la fraîcheur de la proposition en exercice de style parfois laborieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(…) on a là une satire naturaliste très ample, assimilable en même temps à un délicat objet exotique. En somme, une miniature romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un phénomène administratif qui affecte la vie de nombre de couples, une histoire qui, plus encore qu’un drame psychologique, se veut un portrait satirique de la société chinoise.
Le Figaro
par La Rédaction
Le format circulaire, qui réduit l'écran à un trou de serrure, rend les 2h18 de film encore plus longues.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Étalée sur dix ans, l’intrigue reflète une forme de dissolution morale à l’œuvre dans toute la société, où à force de ne plus représenter aucun principe, les normes et les lois se vident de leur légitimité. Mais elle peine à captiver.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Ce film expérimental tourné comme s’il était vu d’une lunette exige du spectateur une attention plus que soutenue d’autant que l’essentiel des dialogues est composé d’un jargon juridique assez contraignant : c’est comme écouter votre notaire pendant deux heures vous expliquer les subtilités de l’usufruit ou d’une succession complexe.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
C'est une satire (peu virulente) de la bureaucratie chinoise et de ses mutations. C'est, potentiellement, un film féministe, mais où l'empathie pour le personnage s'estompe devant l'absurdité générale. Et où la star Fan Bingbing ne profite guère du système formel, trop rigide (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Hubert Niogret
Hélas, le sujet est déjà bien labouré dans le cinéma chinois, et le parcours de la jeune femme est répétitif, le style très appuyé, et des coquetteries sur les formats sans justifications.
20 Minutes
Plus proche de Kafka que de Flaubert (la référence à Madame Bovary n’étant présente que dans le titre international), ce film à l’humour vitriolé charge les bureaucrates incapables de comprendre les problèmes du peuple dont ils sont trop éloignés.
L'Humanité
Une satire romanesque plutôt savoureuse, singularisée par sa recherche esthétique.
L'Obs
C'est filmé dans un cadre rond, comme si on regardait à travers un tuyau. Procédé irritant, qui n'ajoute rien à la force du drame. Mélange d'ironie aigre et d'empathie, le récit comprend deux périodes, séparées par dix ans. Fan Bingbing, formidable, porte le film.
La Septième Obsession
Un pamphlet féministe de plus de deux heures en forme d’essai esthétique, l’écran changeant régulièrement de forme, du rond pour la campagne au carré pour la ville, traduction visuelle de l’étau étranglant cette victime dont le seul crime est de refuser toute docilité et toute obéissance.
Le Journal du Dimanche
Certes, cette adaptation du roman de Liu Zhenyun tire en longueur, mais son inventivité esthétique, son humour et la finesse de son écriture en font une diatribe aussi déconcertante qu’inoubliable contre la société chinoise.
Les Fiches du Cinéma
Portrait caustique de la Chine actuelle, le film se distingue par sa beauté formelle stupéfiante.
Libération
Dans le film de Feng Xiaogang, aussi beau qu’acide, une femme discréditée par son mari se débat pour rétablir son honneur dans un cadre stylisé à l’extrême.
Studio Ciné Live
Une satire subtile de la Chine d'aujourd'hui.
Critikat.com
(...) le film, qui parvient à séduire par la belle composition de ses vignettes, pâtit cependant de la longueur et l’échelle temporelle et spatiale de son récit, qui transforme la fraîcheur de la proposition en exercice de style parfois laborieux.
Les Inrockuptibles
(…) on a là une satire naturaliste très ample, assimilable en même temps à un délicat objet exotique. En somme, une miniature romanesque.
Le Dauphiné Libéré
Sur un phénomène administratif qui affecte la vie de nombre de couples, une histoire qui, plus encore qu’un drame psychologique, se veut un portrait satirique de la société chinoise.
Le Figaro
Le format circulaire, qui réduit l'écran à un trou de serrure, rend les 2h18 de film encore plus longues.
Le Monde
Étalée sur dix ans, l’intrigue reflète une forme de dissolution morale à l’œuvre dans toute la société, où à force de ne plus représenter aucun principe, les normes et les lois se vident de leur légitimité. Mais elle peine à captiver.
Première
Ce film expérimental tourné comme s’il était vu d’une lunette exige du spectateur une attention plus que soutenue d’autant que l’essentiel des dialogues est composé d’un jargon juridique assez contraignant : c’est comme écouter votre notaire pendant deux heures vous expliquer les subtilités de l’usufruit ou d’une succession complexe.
Télérama
C'est une satire (peu virulente) de la bureaucratie chinoise et de ses mutations. C'est, potentiellement, un film féministe, mais où l'empathie pour le personnage s'estompe devant l'absurdité générale. Et où la star Fan Bingbing ne profite guère du système formel, trop rigide (...).
Positif
Hélas, le sujet est déjà bien labouré dans le cinéma chinois, et le parcours de la jeune femme est répétitif, le style très appuyé, et des coquetteries sur les formats sans justifications.