Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Libération
par Jérémy Piette
Dans un premier film subtil, l’Argentin Emiliano Torres sublime l’affrontement de deux fermiers aux confins d’une terre hostile.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
par Rémy Roche
Le réalisateur argentin instruit habilement sa métaphore, on se plait autant à en apprécier la pertinence qu'à savourer le raffinement de sa mise en forme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Emile Breton
Patagonia, un film maigre. C’est sa force car ils sont rares ceux qui ne vont pas chercher ailleurs, appel aux sentiments ou explications politiques, que dans ce qu’ils montrent, la cruauté du monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
L'immensité magnifique du paysage donne la mesure de l'isolement implacable des hommes, dans ce premier film qui vous happe et ne vous lâche plus, saisissant de beauté et de cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Forte de son intrigue dévoilée par touches tour à tour contemplatives et documentaires, cette fiction nous plonge dans un univers rude où le temps ne s’écoule pas comme ailleurs, et où le labeur des hommes paraît aussi héroïque que dérisoire. De quoi garantir une grande évasion, magnifiée par une photographie somptueuse révélant la toute-puissance de l’ultime maître du jeu : la nature.
L'Obs
par François Forestier
Emiliano Torres, pour son premier film, fait preuve d’une maîtrise parfaite de l’image : c’est beau à regarder, le rythme est posé, les personnages sont totalement dévorés par l’espace. Entre drame et méditation, un film poème où passe, grandiose, l’ombre de la mort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film emprunte au western quelques-uns de ses codes pour l’affrontement d’Evans et Jara. Mais, malgré l’indéniable force de l’intrigue, la solitude et l’ennui qui accablent les hommes, dans ce récit trop étiré, menacent de gagner le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Parti sur les bases d’un western austère, le film d’Emiliano Torres suscite un regain d’intérêt dans son dernier tiers.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
En définitive, une œuvre harmonieuse mais aussi parcimonieuse, qui laisse un peu sur sa faim. Autrement dit, c’est indéniablement beau, mais un chouïa trop vague pour ravir entièrement. Ça ne manque ni de vent ni de neige, ni de ciel ni de moutons, mais plutôt de chair et de tripes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Vincent Thabourey
Le film vaut pour son rapport au réel, celui des travailleurs précaires, ces tondeurs de laine sans droits ni espoir. Le scénario est en revanche moins convaincant.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un drame très maîtrisé visuellement, mais à la lenteur excessive.
Télérama
par Nicolas Didier
Avec rugosité, le réalisateur montre les grands espaces clôturés, l'arrivée des travailleurs saisonniers, la tonte des bêtes. Plus l'hiver approche, plus les paysages dépouillés se transforment en monochromes blancs, et plus le réalisme glisse vers le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Choury
Ni les promesses d’un beau western classique ou celles d’un film politique fort ne sont finalement tenues.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le premier long-métrage de l’Argentin Emiliano Torres montre une terre photogénique mais pèche par une réalisation trop appliquée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
Dans un premier film subtil, l’Argentin Emiliano Torres sublime l’affrontement de deux fermiers aux confins d’une terre hostile.
Franceinfo Culture
Le réalisateur argentin instruit habilement sa métaphore, on se plait autant à en apprécier la pertinence qu'à savourer le raffinement de sa mise en forme.
L'Humanité
Patagonia, un film maigre. C’est sa force car ils sont rares ceux qui ne vont pas chercher ailleurs, appel aux sentiments ou explications politiques, que dans ce qu’ils montrent, la cruauté du monde.
Le Figaro
L'immensité magnifique du paysage donne la mesure de l'isolement implacable des hommes, dans ce premier film qui vous happe et ne vous lâche plus, saisissant de beauté et de cruauté.
Le Journal du Dimanche
Forte de son intrigue dévoilée par touches tour à tour contemplatives et documentaires, cette fiction nous plonge dans un univers rude où le temps ne s’écoule pas comme ailleurs, et où le labeur des hommes paraît aussi héroïque que dérisoire. De quoi garantir une grande évasion, magnifiée par une photographie somptueuse révélant la toute-puissance de l’ultime maître du jeu : la nature.
L'Obs
Emiliano Torres, pour son premier film, fait preuve d’une maîtrise parfaite de l’image : c’est beau à regarder, le rythme est posé, les personnages sont totalement dévorés par l’espace. Entre drame et méditation, un film poème où passe, grandiose, l’ombre de la mort.
La Croix
Le film emprunte au western quelques-uns de ses codes pour l’affrontement d’Evans et Jara. Mais, malgré l’indéniable force de l’intrigue, la solitude et l’ennui qui accablent les hommes, dans ce récit trop étiré, menacent de gagner le spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Parti sur les bases d’un western austère, le film d’Emiliano Torres suscite un regain d’intérêt dans son dernier tiers.
Les Inrockuptibles
En définitive, une œuvre harmonieuse mais aussi parcimonieuse, qui laisse un peu sur sa faim. Autrement dit, c’est indéniablement beau, mais un chouïa trop vague pour ravir entièrement. Ça ne manque ni de vent ni de neige, ni de ciel ni de moutons, mais plutôt de chair et de tripes.
Positif
Le film vaut pour son rapport au réel, celui des travailleurs précaires, ces tondeurs de laine sans droits ni espoir. Le scénario est en revanche moins convaincant.
Studio Ciné Live
Un drame très maîtrisé visuellement, mais à la lenteur excessive.
Télérama
Avec rugosité, le réalisateur montre les grands espaces clôturés, l'arrivée des travailleurs saisonniers, la tonte des bêtes. Plus l'hiver approche, plus les paysages dépouillés se transforment en monochromes blancs, et plus le réalisme glisse vers le fantastique.
Critikat.com
Ni les promesses d’un beau western classique ou celles d’un film politique fort ne sont finalement tenues.
Le Monde
Le premier long-métrage de l’Argentin Emiliano Torres montre une terre photogénique mais pèche par une réalisation trop appliquée.