AlloCiné
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Votre avis sur Tunnel ?
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on ne s’ennuie pas trop , même dans cet univers confiné . L’intérêt de ce film est d’observer le comportement tout ceux qui gravitent autour et donc de leur critique.
Film a en couper le souffle avec des passages vraiment angoissant mais rien de mechant.
A voir si vous n etes pas claustrophobes.
A voir si vous n etes pas claustrophobes.
Rien de plus qu'un film catastrophe classique, sans aucune inventivité dans le scénario, ni originalité (en dehors du fait que cela se déroule en Corée). Notre héros se trouve enseveli sous un tunnel mais cela aurait pu se passer sous les décombres d'un immeuble, ou dans une mine effondrée. L'image est bonne mais au final il ne se passe pas grand chose (les scènes de déblaiement, de forage vues dans tous les films du genre, les médias présents sur place pour le "scoop"...), incohérent sur certains points (combien de temps un être humain peut vraiment survivre sans eau, sans nourriture? et il faut qu'il me donne la marque de son téléphone, en terme d'autonomie on ne fait pas mieux...). Et surtout beaucoup trop long pour pouvoir être suivi sans sentir inexorablement l'ennui nous envahir.
Un peu long et assez prévisible. Les effets spéciaux sont efficaces et la sensation d'enterrement du héros est bien rendue. Très coréen dans ses jeux d'acteur mais également critique et subversif de façon surprenante vis à vis des autorités.
Sous ces airs de film catastrophe, Tunnel est beaucoup plus développé que la plupart des films de cette catégorie ce qui le sort du lot.
L'effondrement survient dès le début du film, ce qui nous met de suite dans le vif du sujet. On suit le héros, dans ses espoirs de sortie, son désespoir, un peu comme buried mais en moins "enfermé".
Le cinéma sud-coréen mérite vraiment d'être connu.
La conclusion du film rappelle le point de départ.
L'effondrement survient dès le début du film, ce qui nous met de suite dans le vif du sujet. On suit le héros, dans ses espoirs de sortie, son désespoir, un peu comme buried mais en moins "enfermé".
Le cinéma sud-coréen mérite vraiment d'être connu.
La conclusion du film rappelle le point de départ.
Encore une fois le cinéma coréen n'a rien a envier au ciné américain...l'histoire monte en suspense ptit à ptit...il y a toujours le ptit message "merci aux grosses compagnie de se faire du fric en faisant des économies sur la sécurité" et "au gouvernant qui est là pour ce faire mousser". Après il y a des invraisemblances sur 1-2 pts (le mec à toujours des forces vers la fin....alors que sur 1-2 scènes auraient dû mourir) mais le film est super vraiment. Même un peu d'humour.
Un drame humaniste qui montre bien qu'avec une bonne idée et un budget restreint, on peut peindre de manière inteligente et subtile l'histoire d'un homme enseveli sous un tunnel et faire le portrait du pays en question.
Un film concept efficace, dur et puissant où la tension progressive nous immerge avec le héros dans cet effroyable épreuve de survivalisme. Le héros est peint avec une épaisseur psychologique qui fonctionne sur le sous-entendu devra faire face à des choix cornéliens tout en ne cédant jamais à la panique.
Le réalisateur construit lentement son objectif avec des petites péripéties intimistes et efficaces, tout en dénonçant par cet événement la bêtise de l'élite médiatico-politique de manière sarcastique.
Captivant, Tunnel est une grande réussite et qui mérite d'être vue
Un film concept efficace, dur et puissant où la tension progressive nous immerge avec le héros dans cet effroyable épreuve de survivalisme. Le héros est peint avec une épaisseur psychologique qui fonctionne sur le sous-entendu devra faire face à des choix cornéliens tout en ne cédant jamais à la panique.
Le réalisateur construit lentement son objectif avec des petites péripéties intimistes et efficaces, tout en dénonçant par cet événement la bêtise de l'élite médiatico-politique de manière sarcastique.
Captivant, Tunnel est une grande réussite et qui mérite d'être vue
L'histoire est prenant, mais le scénario et le jeux d'acteurs et à revoir. J'ai moyennement aimé le film.
Les Coréens sont les rois du thriller, ça on le sait. Le début du film de Kim Seong-hun, qu'on avait déjà remarqué grâce à Hard Day (moins brillant sans doute que Park Chan-wook -mais qui ne le serait? ou que Bong Joon-ho, mais plus axé sur la critique sociale) est flippant, carrément flippant. Qu'est ce qui fait peur? voir l'infortuné héros dans une situation où l'on pourrait soi même se trouver. C'est pourquoi les films de zombis nous font juste rigoler, et même ceux où des chirurgiens fous retirent des organes à l'innocente victime pour en faire bénéficier un richissime vieillard (thème récurrent); là encore, on n'y croit pas une seconde..... Eh tiens, je suis sûre que le Projet Blair Witch ferait beaucoup moins peur à notre époque "tu rigoles, moi me perdre dans une forêt, j'ai un GPS sur mon smartphone".
Tandis que le tunnel..... quand on est légèrement claustrophobe (qui ne l'est un peu?), un long tunnel inquiète toujours un peu. Mais quand on est bien claustrophobe, alors le début de Tunnel vous fait fliiiiiipppper de folie.
Jung-soo, un jeune cadre dans les usines de voitures Kia (le séduisant Ha Jung-woo) rentre retrouver sa femme et sa fille, avec le gâteau d'anniversaire, mais pas le chiot que le petite espérait. T'inquiètes pas, fillette, tu l'auras, ton chien -à la fin.... Et le tunnel, le tunnel à travers la montagne s'effondre, de part et d'autre, des kilomètres de voûte écrabouillée, de roches et de terre. Il va y rester plus d'un mois. Il est coincé dans sa voiture, petit à petit il arrivera à en sortir et à dégager une aire tout autour. Mais impossible de faire mieux.
Vite prévenus -Jung-soo a encore un portable bien rechargé-, les secours sont là, dans un incroyable magma de journalistes, de politiques, et Kim canarde tous azimuts. Les média prêts à tout, n'attendant au fond qu'une bonne petite mort en direct -où alors, un record du monde de survie sous terre! -les politiques, qui devant les média, promettent de tout faire mais, in petto trouvent que cela coûte bien cher.... Manifestement, les entreprises de travaux publics ont fait des économies sur le cahier des charges, et on comprend que ces économies ont fini dans la poche de quelques uns. Bref, le Pays du Matin Calme a de gros problèmes de corruption et, en ce qui concerne le comportement des politiques et des journalistes, il n'a rien à envier à l'occident. Des événements récents, avec la démission de la présidente, nous ont appris qu'il n'y a que les matins qui soient calmes....
On passe donc d'une scène "sous terre" à une scène "à la surface". La femme de Jung-soo (Doona Bae, que l'on a vue dans nombre de productions coréennes) est là, gardant espoir malgré tout; et celui qui donne l'espoir à tout le monde, c'est le chef des sauveteurs, Dae-kyoung (Oh Dai-su) qui, bien qu'il soit encadré par une équipe de bras-cassés, va se battre, prendre des risques, s'impliquer personnellement -et qu'on verra drôlement à la fin du film écrire une lettre d'excuses parce qu'il a proféré des gros mots devant la ministre des transports.... Mais ce drame a également révélé Jung-soo, qu'on voit au début comme un jeune homme gâté un peu arrogant, mais qui plus tard n'hésitera pas à partager le peu d'eau qui lui reste avec une jeune fille mourante découverte dans une autre voiture. Bref, contrairement à Chan-wook.... il y a une morale!
Le principal reproche à faire au film, c'est qu'il est trop long! (encore un....) Sinon, ça vaut le coup!
Tandis que le tunnel..... quand on est légèrement claustrophobe (qui ne l'est un peu?), un long tunnel inquiète toujours un peu. Mais quand on est bien claustrophobe, alors le début de Tunnel vous fait fliiiiiipppper de folie.
Jung-soo, un jeune cadre dans les usines de voitures Kia (le séduisant Ha Jung-woo) rentre retrouver sa femme et sa fille, avec le gâteau d'anniversaire, mais pas le chiot que le petite espérait. T'inquiètes pas, fillette, tu l'auras, ton chien -à la fin.... Et le tunnel, le tunnel à travers la montagne s'effondre, de part et d'autre, des kilomètres de voûte écrabouillée, de roches et de terre. Il va y rester plus d'un mois. Il est coincé dans sa voiture, petit à petit il arrivera à en sortir et à dégager une aire tout autour. Mais impossible de faire mieux.
Vite prévenus -Jung-soo a encore un portable bien rechargé-, les secours sont là, dans un incroyable magma de journalistes, de politiques, et Kim canarde tous azimuts. Les média prêts à tout, n'attendant au fond qu'une bonne petite mort en direct -où alors, un record du monde de survie sous terre! -les politiques, qui devant les média, promettent de tout faire mais, in petto trouvent que cela coûte bien cher.... Manifestement, les entreprises de travaux publics ont fait des économies sur le cahier des charges, et on comprend que ces économies ont fini dans la poche de quelques uns. Bref, le Pays du Matin Calme a de gros problèmes de corruption et, en ce qui concerne le comportement des politiques et des journalistes, il n'a rien à envier à l'occident. Des événements récents, avec la démission de la présidente, nous ont appris qu'il n'y a que les matins qui soient calmes....
On passe donc d'une scène "sous terre" à une scène "à la surface". La femme de Jung-soo (Doona Bae, que l'on a vue dans nombre de productions coréennes) est là, gardant espoir malgré tout; et celui qui donne l'espoir à tout le monde, c'est le chef des sauveteurs, Dae-kyoung (Oh Dai-su) qui, bien qu'il soit encadré par une équipe de bras-cassés, va se battre, prendre des risques, s'impliquer personnellement -et qu'on verra drôlement à la fin du film écrire une lettre d'excuses parce qu'il a proféré des gros mots devant la ministre des transports.... Mais ce drame a également révélé Jung-soo, qu'on voit au début comme un jeune homme gâté un peu arrogant, mais qui plus tard n'hésitera pas à partager le peu d'eau qui lui reste avec une jeune fille mourante découverte dans une autre voiture. Bref, contrairement à Chan-wook.... il y a une morale!
Le principal reproche à faire au film, c'est qu'il est trop long! (encore un....) Sinon, ça vaut le coup!
Excellent film catastrophe très bien mais en scène et pour une fois c est à noter sans violence inutile
De bons acteurs et un jeu minimal sans fioritures
De bons acteurs et un jeu minimal sans fioritures
Un film trop long avec des excentricités inutile dans un film soi-disant catastrophe. Juste un peu de soin dans le scénario aurait pu en faire un très bon film. Tunnel est film catastrophe exténuant qui est trop improbable dans sa configuration...
La premiere Partie, avec l’effondrement du tunnel et la mise en place des secours, est intéressante et assez réaliste.
Malheureusement, vers la moitie du film, l’histoire s’enlise avec des longueurs et surtout beaucoup d’invraisemblances.
Au final ca se regarde mais ca reste assez moyen.
Malheureusement, vers la moitie du film, l’histoire s’enlise avec des longueurs et surtout beaucoup d’invraisemblances.
Au final ca se regarde mais ca reste assez moyen.
Les claustrophobes à qui le Thriller espagnol ‘Buried’ et son coopérant américain enterré vivant dans un cercueil en plein désert avait filé leur dose de crises d’angoisse peuvent commencer à trembler : avec ‘Tunnel’, le cauchemar recommence ! Cette fois, c’est un homme ordinaire qui se retrouve enfoui sous des millions de tonnes de gravats suite à l’effondrement d’un tunnel routier : coincé dans les débris de sa voiture, avec un portable tout juste capable de capter et deux petites bouteilles d’eau, ce Coréen moyen va commencer à organiser son existence en attendant les secours. ‘Tunnel’ reprend à son compte tous les éléments constitutifs du Survival en milieu confiné, dans lequel les efforts et les progrès les plus microscopiques, comme trouver un passage étroit pour progresser de quelques mètres dans le tunnel ou découvrir un mince filet d’eau qui coule entre les roches, prennent une importance démesurée. Pourtant, alors que les productions coréennes témoignent en général d’une approche plus radicale que leurs homologues occidentales, ce n’est pas du tout le cas ici : le réalisateur atténue autant que possible le calvaire vécu par le personnage grâce à quelques traits d’humour léger, notamment par le fait que le survivant va devoir partager son maigre espace vital avec un carlin rescapé d’un autre véhicule écrasé lors de la catastrophe. D’autre part, fidèle à la logique sous-jacente de tous les films de genre venus du Pays du Matin calme, ‘Tunnel’ consacre autant de temps à ce qui se déroule à l’extérieur, alors que les secours s’organisent pour venir en aide à Jeong-Soo : il en dévoile la facette humaine, incarnée par le responsable des opérations de secours qui refuse d’abandonner la partie...mais en profite comme toujours pour égratigner la société coréenne dans son ensemble, son individualisme, la corruption de ses entreprises de travaux public qui rognent sur la qualité des matériaux et les finitions pour rester dans les délais et les budgets prévus, le voyeurisme amoral de ses organes de presse et le cynisme de sa classe politique, avant tout soucieuse de l’image médiatique qu’elle renvoie. S’il garde son impact anxiogène sous contrôle, “Tunnel� n’en témoigne pas moins du savoir-faire coréen en matière de Thrillers : même s’il ne s’aventure guère hors des sentiers battus et recourt à certains clichés universels, le spectacle et la tension restent assurés !
Super film suspense garanti et film social sur la Corée du Sud on espère tout au long du film une fin heureuse........
“Attention chérie ça va bientôt couper je vais passer dans un tunnel !”
Voilà un film coréen d'assez bonne facture, oscillant entre genre catastrophe et drame. Ici peu d’effets spéciaux (on n’est pas dans un blockbuster américain), place à l’ambiance survival et à l’émotion. Malheureusement, il n’y a pas vraiment de moments de tension hormis au début et à la fin du film, et donc le temps parait un peu long,moins long que pour notre infortuné du jour sans vouloir spoiler. D’ailleurs, si j’ai trouvé l’acteur principal, plutôt bon, pour les autres malheureusement ce n’est pas trop ça...Sans doute le problème du doublage français, comme d’habitude avec les films asiatiques qu’il vaut mieux voir en VOST.
Alors, plutôt que le côté catastrophe, c’est davantage le côté dramatique qui ressort et ça fonctionne bien. A ce titre, la musique accompagne fort bien le film. On est vraiment pris d’empathie pour notre malheureux prisonnier qui va lutter jusqu’au bout... Le réalisateur cherche surtout à nous interroger sur les incidences que cet accident va provoquer dans le pays, et en profite au passage dresser un portait peu reluisant des rapports humains en général, des institutions coréennes en particulier .
Au final, claustrophobes passez votre chemin. Et si l’on guette un peu le bout du tunnel par moment du fait de certaines longueurs, il n’en reste pas moins, sous couvert d’un film catastrophe, un film “profondément” humain, assorti d’une critique sociale et politique forte.
Mon blog : clempaquito.tumblr.com
Voilà un film coréen d'assez bonne facture, oscillant entre genre catastrophe et drame. Ici peu d’effets spéciaux (on n’est pas dans un blockbuster américain), place à l’ambiance survival et à l’émotion. Malheureusement, il n’y a pas vraiment de moments de tension hormis au début et à la fin du film, et donc le temps parait un peu long,moins long que pour notre infortuné du jour sans vouloir spoiler. D’ailleurs, si j’ai trouvé l’acteur principal, plutôt bon, pour les autres malheureusement ce n’est pas trop ça...Sans doute le problème du doublage français, comme d’habitude avec les films asiatiques qu’il vaut mieux voir en VOST.
Alors, plutôt que le côté catastrophe, c’est davantage le côté dramatique qui ressort et ça fonctionne bien. A ce titre, la musique accompagne fort bien le film. On est vraiment pris d’empathie pour notre malheureux prisonnier qui va lutter jusqu’au bout... Le réalisateur cherche surtout à nous interroger sur les incidences que cet accident va provoquer dans le pays, et en profite au passage dresser un portait peu reluisant des rapports humains en général, des institutions coréennes en particulier .
Au final, claustrophobes passez votre chemin. Et si l’on guette un peu le bout du tunnel par moment du fait de certaines longueurs, il n’en reste pas moins, sous couvert d’un film catastrophe, un film “profondément” humain, assorti d’une critique sociale et politique forte.
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