Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le fait que le film soit saupoudré d’une bonne dose de suspense sur le sort de son héros ne fait que renforcer son efficacité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Nathalie Simon
Influencé par Gus Van Sant et admirateur de Steven Spielberg, le jeune réalisateur livre 1:54, un premier long-métrage magistral sur le harcèlement scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Grâce à des acteurs formidables de sincérité (Antoine Olivier Pilon et Sophie Nélisse en tête) et à une tension qui va crescendo, « 1:54 » nous prend aux tripes. On souffre avec Tim, on espère avec lui... Et on reste KO après une fin qui nous frappe comme un uppercut.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le tout donne un film dur mais fort, qu'on prend comme un coup de poing.
Paris Match
par Alain Spira
Il nous lance une belle leçon de vivre ensemble comme une bouteille dans cette mer d’indifférence qui provoque les pires naufrages d’adolescents. Ce prix du jury étudiant au Festival d’Angoulême devrait faire école.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un drame subtil (...).
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Il met en scène de façon très réaliste, et sans pathos, la violence des rapports au lycée, dénonce les tabous que sont encore le harcèlement et les effets destructeurs des réseaux sociaux. Tout ça sous forme d’un thriller qui ménage aussi bien l’évolution psychologique des personnages que les rebondissements du scénario.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un drame nourri de clichés, à retenir toutefois pour l’acuité de son propos.
Télérama
par Nicolas Didier
Les scènes de course, réussies, rappellent qu'une compétition, même amateur, est d'autant plus grisante qu'il y a duel. Le film devient pataud, en revanche, quand il part dans toutes les directions : suicide à l'école, hallucinations éthyliques, harcèlement via les réseaux sociaux...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Yan England se frotte, dès son premier film, à des sujets lourds : l’homophobie ordinaire et le harcèlement à l’école à l’heure des réseaux sociaux. Il l’aurait fait de manière moins démonstrative, on aurait davantage apprécié. Au moins sait-il diriger ses jeunes acteurs, en tête desquels Antoine-Olivier Pilon, le blondinet de "Mommy", et Sophie Nélisse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une vision cruelle de l’adolescence, avec ses troubles intimes et ses violences secrètes, dans un film où la volonté de démonstration alourdit un peu les nuances pourtant sensibles de la vérité humaine.
20 Minutes
Le fait que le film soit saupoudré d’une bonne dose de suspense sur le sort de son héros ne fait que renforcer son efficacité.
Le Figaro
Influencé par Gus Van Sant et admirateur de Steven Spielberg, le jeune réalisateur livre 1:54, un premier long-métrage magistral sur le harcèlement scolaire.
Le Parisien
Grâce à des acteurs formidables de sincérité (Antoine Olivier Pilon et Sophie Nélisse en tête) et à une tension qui va crescendo, « 1:54 » nous prend aux tripes. On souffre avec Tim, on espère avec lui... Et on reste KO après une fin qui nous frappe comme un uppercut.
Ouest France
Le tout donne un film dur mais fort, qu'on prend comme un coup de poing.
Paris Match
Il nous lance une belle leçon de vivre ensemble comme une bouteille dans cette mer d’indifférence qui provoque les pires naufrages d’adolescents. Ce prix du jury étudiant au Festival d’Angoulême devrait faire école.
Studio Ciné Live
Un drame subtil (...).
Le Journal du Dimanche
Il met en scène de façon très réaliste, et sans pathos, la violence des rapports au lycée, dénonce les tabous que sont encore le harcèlement et les effets destructeurs des réseaux sociaux. Tout ça sous forme d’un thriller qui ménage aussi bien l’évolution psychologique des personnages que les rebondissements du scénario.
Les Fiches du Cinéma
Un drame nourri de clichés, à retenir toutefois pour l’acuité de son propos.
Télérama
Les scènes de course, réussies, rappellent qu'une compétition, même amateur, est d'autant plus grisante qu'il y a duel. Le film devient pataud, en revanche, quand il part dans toutes les directions : suicide à l'école, hallucinations éthyliques, harcèlement via les réseaux sociaux...
L'Obs
Yan England se frotte, dès son premier film, à des sujets lourds : l’homophobie ordinaire et le harcèlement à l’école à l’heure des réseaux sociaux. Il l’aurait fait de manière moins démonstrative, on aurait davantage apprécié. Au moins sait-il diriger ses jeunes acteurs, en tête desquels Antoine-Olivier Pilon, le blondinet de "Mommy", et Sophie Nélisse.
Le Dauphiné Libéré
Une vision cruelle de l’adolescence, avec ses troubles intimes et ses violences secrètes, dans un film où la volonté de démonstration alourdit un peu les nuances pourtant sensibles de la vérité humaine.