Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Que l'on soit fan ou non de l'actrice, force est de reconnaître que "3 jours à Quiberon" est étonnant, sublimé par une magnifique photographie en noir et blanc, et rend passionnants ces moments vécus par la comédienne, alors qu'on pouvait craindre un certain académisme.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce portrait bouleversant parvient à ce moment de grâce où on se sent juste en empathie avec le personnage sans penser le moins du monde à sa filmographie.
Femme Actuelle
par La rédaction
Baigné d'une superbe photographie en noir et blanc, le portrait de cette femme brisée, mais si rayonnante, est bouleversant.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Mieux qu'un biopic, "Trois Jours à Quiberon" est un instantané au travers duquel se profile une vie entière. Emily Atef saisit Romy Schneider à un carrefour de son existence et signe un portrait bien senti, porté par de fines intuitions.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Emily Atef offre le portrait bouleversant d’une femme complexe, oscillant en permanence entre rires et larmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Film bouleversant, loin du simple biopic.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La rédaction
Ces "Trois jours" forment le contraire d'un biopic, cernent peut-être le moment où une vie risque de basculer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Marine Quinchon
(...) un sublime récit en noir et blanc de la réalisatrice franco-iranienne Emily Atef qui permet d’approcher une Romy intime, passant du rire aux larmes, formidablement interprétée par Marie Baümer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Incarnée par Marie Baümer, la plus grande star d’Europe apparaît inconsolable et joyeuse, lumineuse et sombre, fragile et forte. Un beau film nostalgique et cruel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Chaque scène est une expérience borderline, un tourbillon, un vertige, cahotant entre la joie, le chagrin, la folie et l’ego-trip. L’occasion de faire la connaissance d’une immense actrice : Marie Bäumer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Tourné dans un beau noir et blanc (...) le film se distingue par sa délicatesse et dresse le portrait intimiste d'une femme naufragée prise aux pièges de la célébrité et de ses faux-semblants.
Marie Claire
par Emily Barnett
Pour entrer dans la tête d’une femme charismatique et percer à jour son malheur. Pour saisir tout en délicatesse ses tourments. C’est une chose que réussit "Trois jours à Quiberon", en tournant autour de ce malaise avec pudeur et retenue, sans voyeurisme ni jugement.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Sébastien Vannier
(...) un film très émouvant.
Paris Match
par Yannick Vely
La réalisatrice allemande Emily Atef signe un très beau film sur l'actrice Romy Schneider avec une composition incroyable de Marie Bäumer.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Louise Dumas
Le film exacerbe intelligemment le tragique et la solitude de la star malgré elle.
Première
par Anouk Féral
Emily Atef reconstitue avec habileté ces quelques jours en compagnie de l’actrice - incarnée par Marie Bäumer, troublante de ressemblance -, grâce aux 600 clichés jamais publiés que Lebeck himself lui a confiés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
"3 jours à Quibéron" est un film fort dont on ressort le coeur chamboulé.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Emily Atef filme son actrice, la comédienne allemande Marie Bäumer, sans filtre elle aussi. En noir et blanc, dans une mise en scène dépourvue de fioriture. Un portrait réinventé, fantasmé bien sûr, mais tenu par cette exigence qui le fonde : où se trouve la vérité d’un être, star de surcroît ?
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Damien Aubel
"3 Jours à Quiberon" n'est ni un biopic, ni, malgré son noir et blanc ripoliné, un coffee table book sur grand écran. C'est le mode d'existence, le statut ontologique de la star qui préoccupe Emily Atef.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une histoire simple qui esquisse sans emphase toute l’ambivalence d’une des plus grandes actrices des années 70 aux prises avec les choses de la vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
En dépit de sa dernière demi-heure, où la réalisatrice emmène de force son film sur les rives artificielles du happy-end Paris Match, 3 Jours à Quiberon s’affirme avant tout comme une ode discrète à une femme malheureuse.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Portée par sa ressemblance bluffante avec son modèle, Marie Bäumer, lumineuse, fait preuve d’une grande justesse émotionnelle dans les excès de joie comme de peine.
Libération
par Marcos Uzal
La réalisatrice joue habilement avec ce temps en étirant les scènes pour y confronter l’aura de l’actrice à un présent banal. (...) Ce travail sur la durée est aussi ce qui peut finir par lasser, en particulier dans une dernière partie où les drames à venir d’une existence précocement interrompue (...), s’annoncent un peu trop explicitement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Maël Mubalegh
(...) un téléfilm de luxe : pas si mal filmé mais dépourvu d’une réelle proposition de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Faute de point de vue, "3 jours à Quiberon" se contente d’aligner une succession de plans sur une actrice en proie au mal-être, réduisant l’envergure du film à celle d’un reportage au commentaire insignifiant et simpliste.
L'Express
Que l'on soit fan ou non de l'actrice, force est de reconnaître que "3 jours à Quiberon" est étonnant, sublimé par une magnifique photographie en noir et blanc, et rend passionnants ces moments vécus par la comédienne, alors qu'on pouvait craindre un certain académisme.
20 Minutes
Ce portrait bouleversant parvient à ce moment de grâce où on se sent juste en empathie avec le personnage sans penser le moins du monde à sa filmographie.
Femme Actuelle
Baigné d'une superbe photographie en noir et blanc, le portrait de cette femme brisée, mais si rayonnante, est bouleversant.
L'Obs
Mieux qu'un biopic, "Trois Jours à Quiberon" est un instantané au travers duquel se profile une vie entière. Emily Atef saisit Romy Schneider à un carrefour de son existence et signe un portrait bien senti, porté par de fines intuitions.
La Croix
Emily Atef offre le portrait bouleversant d’une femme complexe, oscillant en permanence entre rires et larmes.
La Voix du Nord
Film bouleversant, loin du simple biopic.
Le Figaro
Ces "Trois jours" forment le contraire d'un biopic, cernent peut-être le moment où une vie risque de basculer.
Le Parisien
(...) un sublime récit en noir et blanc de la réalisatrice franco-iranienne Emily Atef qui permet d’approcher une Romy intime, passant du rire aux larmes, formidablement interprétée par Marie Baümer.
Les Fiches du Cinéma
Incarnée par Marie Baümer, la plus grande star d’Europe apparaît inconsolable et joyeuse, lumineuse et sombre, fragile et forte. Un beau film nostalgique et cruel.
Les Inrockuptibles
Chaque scène est une expérience borderline, un tourbillon, un vertige, cahotant entre la joie, le chagrin, la folie et l’ego-trip. L’occasion de faire la connaissance d’une immense actrice : Marie Bäumer.
Marianne
Tourné dans un beau noir et blanc (...) le film se distingue par sa délicatesse et dresse le portrait intimiste d'une femme naufragée prise aux pièges de la célébrité et de ses faux-semblants.
Marie Claire
Pour entrer dans la tête d’une femme charismatique et percer à jour son malheur. Pour saisir tout en délicatesse ses tourments. C’est une chose que réussit "Trois jours à Quiberon", en tournant autour de ce malaise avec pudeur et retenue, sans voyeurisme ni jugement.
Ouest France
(...) un film très émouvant.
Paris Match
La réalisatrice allemande Emily Atef signe un très beau film sur l'actrice Romy Schneider avec une composition incroyable de Marie Bäumer.
Positif
Le film exacerbe intelligemment le tragique et la solitude de la star malgré elle.
Première
Emily Atef reconstitue avec habileté ces quelques jours en compagnie de l’actrice - incarnée par Marie Bäumer, troublante de ressemblance -, grâce aux 600 clichés jamais publiés que Lebeck himself lui a confiés.
Studio Magazine
"3 jours à Quibéron" est un film fort dont on ressort le coeur chamboulé.
Sud Ouest
Emily Atef filme son actrice, la comédienne allemande Marie Bäumer, sans filtre elle aussi. En noir et blanc, dans une mise en scène dépourvue de fioriture. Un portrait réinventé, fantasmé bien sûr, mais tenu par cette exigence qui le fonde : où se trouve la vérité d’un être, star de surcroît ?
Transfuge
"3 Jours à Quiberon" n'est ni un biopic, ni, malgré son noir et blanc ripoliné, un coffee table book sur grand écran. C'est le mode d'existence, le statut ontologique de la star qui préoccupe Emily Atef.
aVoir-aLire.com
Une histoire simple qui esquisse sans emphase toute l’ambivalence d’une des plus grandes actrices des années 70 aux prises avec les choses de la vie.
Cahiers du Cinéma
En dépit de sa dernière demi-heure, où la réalisatrice emmène de force son film sur les rives artificielles du happy-end Paris Match, 3 Jours à Quiberon s’affirme avant tout comme une ode discrète à une femme malheureuse.
Le Journal du Dimanche
Portée par sa ressemblance bluffante avec son modèle, Marie Bäumer, lumineuse, fait preuve d’une grande justesse émotionnelle dans les excès de joie comme de peine.
Libération
La réalisatrice joue habilement avec ce temps en étirant les scènes pour y confronter l’aura de l’actrice à un présent banal. (...) Ce travail sur la durée est aussi ce qui peut finir par lasser, en particulier dans une dernière partie où les drames à venir d’une existence précocement interrompue (...), s’annoncent un peu trop explicitement.
Critikat.com
(...) un téléfilm de luxe : pas si mal filmé mais dépourvu d’une réelle proposition de cinéma.
Le Monde
Faute de point de vue, "3 jours à Quiberon" se contente d’aligner une succession de plans sur une actrice en proie au mal-être, réduisant l’envergure du film à celle d’un reportage au commentaire insignifiant et simpliste.