Derniers Avis : Knock - Page 7

Agréablement surprise par l'interprétation d'Omar Sy qui a jouer son propre jeu et qui, pour les générations qui n'ont pas vu les précédentes interprétations comme Louis Jouvet, nous fait tout de même ressentir de l'attachement et passer un bon moment. Bravo.

Nous avons beaucoup aimé ce film. Beaucoup de rires, de jolis paysages de la drome. La salle de cinéma était pleine cet après midi ! Omar Sylvie également lui , un acteur de haut niveau, très beau, attachant.

Bien correct , Omar Sy. crève l'écran.
Belles images de la Drôme en Été , scène à l'époque d'après guerre , année 50.

Un bon film à aller voir, mais rien de bien transcendant, dans le sens où c'est un film à regarder chez soi un dimanche après-midi. Cela dit l'histoire est quand même prenante, sans oublier la touche d'humour d'Omar entre autres qui est présente tout au long du film.

J'ai failli ne pas voir ce film, les mauvaises critiques (quelquefois même "vachardes" de la presse) étant sur le point de me dissuader... Heureusement, grâce à notre Association Vivre Ensemble, j'ai été conviée à la séance. Bien m'en a pris, c'est un petit bijou !
Pas grand chose à voir avec la version précédente, mais c'est en cela que le film est intéressant. Il a presque des allures de comédie musicale.
Quant aux interprètes autour d'Omar Sy, on a un sentiment de perfection.
Et puis, nous avons bien ri, n'en déplaise aux esprits chagrins.

Superbe film !! Omar SY toujours au top ! mais aussi tous les autres acteurs !
Très bon moment de cinéma.
Merci la réalisatrice

Un film bien plaisant pour un samedi soir. Il n a pas cherché à copier la pièce de Jules romain. Il y a une fabuleuse brochette d acteur de grande renommée comme Rufus ou Pascal Elbé, qui jouent avec justesse. Dommage que le film soit grossièrement anticlérical et plein de clichés agaçants. À voir ne serait-ce que pour voir le talent d Omar Sy.

Beau film par la qualité des acteurs. Le scénario n’est pas exceptionnel mais les rôles sont particulièrement bien représentés.

Ce Knock est bien loi de l'esprit de Jules Romain, il se laisse regarder en famille, Un peu surjoué, beaucoup trop d'incohérences, mais de bons moments.

Hier, j'ai été au cinéma voir "Knock", le film de Lorraine Levy sorti il y a quelques semaines.
La salle entière a beaucoup ri !
Le film est drôle, intelligent, écrit et réalisé de main de maître.
On y retrouve partout l'esprit de Jules Romains.
Le film est un bel hommage, pétillant et juste.
Omar Sy y est époustouflant de justesse.
Il ne paraît pas possible qu'avant lui Knock ait été incarné.
Et pourtant si.
L'immense Louis Jouvet était Knock.
Omar Sy lui a brillamment emboîté le pas ...
Mais autour de Knock se joue aussi un ballet réglé par d'autres comédiens.
Quelle distribution !
Parfois drôles, tantôt émouvants, quelquefois sarcastiques, tous les comédiens de ce film malicieux jouent avec nos émotions.
Quel plaisir !
C'est assurément quand le cinéma vient de la littérature, du théâtre qu'il se montre sous ses plus beaux atours ...
La preuve en est définitivement faite avec ce film magnifique !
Et j'invite tous ses détracteurs à relire le théâtre de Jules Romains !
Parce que parmi tous ces gens qui s'offusquent, qui renâclent, qui entonnent le "poulailler's song", qui ne trouvent pas le film dans le ton, ni l'acteur dans la gamme, combien connaissent réellement le théâtre de Jules Romains ?
Combien ont déjà fréquenté Knock, Mr Le Trouhadec, Volpone ou Jean le Maufranc ?
Quand on découvre, sur Internet, le tombereau de bêtises et d'ordures déversé sur le film et sur les acteurs, on ne peut-être que consterné devant tant de mauvaise foi et d'inculture !
Une chose me rassure, si Jules Romains a vu le film, c'est sans nul doute qu'il l'a aimé ...

Du grand Omar Si, du rire, des larmes en beaucoup de classe. Merci pour ce moment d'émotion et cette parenthèse bien venue

De très bons acteurs dans un très mauvais film (humour parfois très lourd, personnages hyper caricaturaux...)
Bref TRES décevant

The Knick

L’exercice du remake, tout comme celui de l’adaptation, est devenu chose courante aujourd’hui. Des pratiques souvent considérées comme opportunistes dans la mesure où ce recyclage conceptuel tend à simplifier le processus de création tout en l’enrichissant d’une nouvelle transposition dans l’imaginaire collectif : une nouvelle mise en forme, en images, de récits qui se voudraient porteurs d’universalité, ce qui contribue à lui octroyer par ailleurs une véritable conscience d’application. Et ce en particulier lorsqu’il est question de « dérivation », là où la nouvelle version s’offrirait comme un original prêt à être déballé, une œuvre qui renierait l’atmosphère et les thématiques de son filon pour seulement en garder les fondements. Car, aux premiers abords, ce cru 2017 de Knock aurait la douce saveur de la perversion, si seulement sa mise en pratique n’était pas d’une telle banalité.

Et même si le film se veut être une nouvelle adaptation, il n’échappe cependant pas à la comparaison. Car là où Jules Romains y voyait une charge cynique de dénoncer la manipulation des pensées à travers le diagnostic d'un totalitarisme médical, le film de Lorraine Lévy (une sorte de Guillermo Del Toro au féminin avec la passion mais pas sur la même échelle de talent) se place aux antipodes de la pièce, dans la mesure où le pessimisme ironique de l'œuvre est remplacé par un sentimentalisme inutile et une certaine platitude scénaristique. Une liberté censée, selon les dires de la réalisatrice, apporter de la lumière au cœur d’un récit ténébreux. Et de ce Doctissimo audacieux, ne reste qu’une utopie bucolique, dénuée d’épaisseur et d’intérêt.

Mais face à cette pratique « invisible » que constitue le remake, combien connaissent véritablement l’existence du film ou de l’œuvre source ? Si l’on se prêtait à une théorique analyse des spectateurs ordinaires, peu ont vu l’adaptation avec Louis Jouvet et le texte de Jules Romains n’apparaît souvent que comme un lointain souvenir de lycée. Et là encore, malgré une éventuelle méconnaissance du modèle, le film peine à convaincre : non sans générer quelques sourires, l’ensemble s’enlise dans la médiocrité et son lot de clichés. Ou l’art de transformer une brillante satire en une quelconque comédie dramatique, où chaque démarche comique se déforme en une pâle édulcoration des Hommes.

Et pourtant, Lorraine Lévy semble vouloir démontrer de bonnes intentions, ne serait-ce qu’en tentant de retrouver le charme d’un Amélie Poulain (ou plus généralement de l’œuvre de Jeunet/Caro) ou d’un Jacques Tati ; où l’ambiance singulière quasi chimérique pousserait à une poésie réflexive. Une tentative louable mais vaine dans son résultat car de lyrisme, il n’en est point question. Seulement d’un humanisme illusoire, où la performance d’Omar Sy (et des seconds rôles) viendrait rendre le tout à peine sympathique. Puisque même dans ses thématiques, l’œuvre n’est que confusion et facilités : une sorte d’apologie du vivre-ensemble sous-couvert d’une chronique sur la réussite sociale, à grands coups de bons sentiments et de fantasme nostalgique.

A l'audacieuse force des maux d’une œuvre mordante, là où le cynisme baignait dans la nécessité de soigner l'imaginaire par le virus du langage, ce Knock en serait presque une antithèse réussie si sa réalisatrice avait eu la volonté de pousser les traits jusqu’à l’excès, comme une satire inversée sur une utopie faite d’illusions et de manipulations (quitte à replacer l’œuvre à notre époque). Mais sa façade propre comme du linge maintes fois repassé et sa prévisibilité manuscrite en font une adaptation négligeable, et ce malgré un magnifique plan final qui a sûrement plus d’impact que la totalité du film. Car toute œuvre en populaire insipidité est un mauvais film qui s’ignore.

Knock Out

A voir et à revoir. Évidement ce film est une comédie, qui mérite d'être vue sans arrière pensée, et sans en attendre plus que ceque l'on est venu voir.

Film très sympas, mais pas transcendant. Je salue le jeu d'acteur de Omar Sy, qui est bien travaillé. Je n'ai jamais entendu parler de la pièce de théâtre, donc je ne peux guère juger du travail d'adaptation.
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