Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Adapté du best-seller de Delphine de Vigan, ce thriller psychologique vénéneux brouille les pistes entre réalité et fiction, dans un face-à-face choc entre Emmanuelle Seigner et Eva Green.
20 Minutes
par Caroline Vié
"D'après une histoire" vraie permet au réalisateur de Répulsion de renouer avec ces thrillers au feminin qu'il maîtrise.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
On pourra toujours trouver des écueils à ce nouveau film, certainement pas le plus essentiel dans l’œuvre du cinéaste, mais Polanski surplombe toujours en ricanant les manœuvres risibles, les faiblesses dérisoires de ses personnages, et cette jouissance sardonique communicative, qui suffit à elle seule au plaisir du spectateur, le préserve à jamais de tomber dans un cinéma vermoulu.
Positif
par Lorenzo Codelli
(...) Polanski se délecte à déjouer les pièges d'un "roman" évidemment imprévisible, et qui apparaît comme une version féminine de "The Ghost Writer".
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
POUR : "D'après une histoire vraie" fait partie des huis clos angoissants qui ont fait sa réputation.
Télérama
par Pierre Murat
POUR : Roman Polanski filme son huis clos psychanalytique avec une impassibilité totale. Loin de l’exubérance expressionniste d’un Hitchcock (Soupçons), mais tout proche de la retenue glacée de Fritz Lang, période américaine (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Mêlant thriller psychologique et réflexion sur le processus créatif, Roman Polanski signe un admirable film d’ambiance maîtrisé, fidèle à son univers suggestif et équivoque. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Construit au rythme d’une progression minutée de plus en plus angoissante, fidèle à son élégance de cinéaste, Polanski ne signe pas une œuvre majeure, mais un thriller psychologique du meilleur cru.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le cinéaste adapte de manière efficace mais sans subtilité le best-seller qui évoquait les affres de la création et le lien entre vérité et fiction.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation plutôt enlevée du roman de Delphine de Vigan, où, tout en jouant sur les frontières poreuses entre fiction et vérité, Roman Polanski s’amuse surtout du vain jeu social de l’intelligentsia.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
On compte les coups, mais on les voit venir. Quelques épisodes annexes évitent la réclusion complète, mais pas l'artifice. Polanski a tourné vite. De là peut-être cette impression d'une sauce trop claire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si le cadre et la lumière sont contemporains, le découpage et le montage ressemblent à ceux du cinéma américain de l’âge d’or, une sensation accentuée par la partition légèrement désuète d’Alexandre Desplats. Ce parti pris a pour avantage et pour inconvénient de conférer une certaine légèreté à cette promenade dans les affres de la création.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les ficelles sont un peu grosses mais on peut se laisser entraîner dans ce thriller psychologique moderne.
Voici
par La Rédaction
Roman Polanski adapte le best-seller de Delphine de Vigan façon psycho-thriller, plus kitsch que troublant.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Le scénario suit le roman à la lettre, et Polanski se contente d’illustrer platement chaque scène sans jamais réussir à y injecter un quelconque trouble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La chute bâclée, que Polanski ne daigne pas renforcer par une touche interrogative ou une note d’inquiétude, n’aide pas, de plus, à résoudre l’équation.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Étrillé à Cannes, le film a depuis été allégé de dix minutes. Il reste toutefois léthargique, avec un suspense trop vite éventé, notamment par les œillades inquiétantes d’une Eva Green qu’on croirait dirigée par Tim Burton.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Oscillant entre thriller psychologique et drame intimiste sur fond de crise artistique, le dernier Polanski ne tranche pas et déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Nelly Kaprièlian
Froid, le film ne fait qu'illustrer (assez mal) un livre qui n'a pas l'air d'avoir trouvé un écho chez Polanski, tant celui-ci reste extérieur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Cédric Page
Un 21ème opus léger, beaucoup moins agressif que le précédent (La Vénus à la fourrure) qui n’apportera rien de plus à la gloire de Polanski – ni à son infamie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
(...) un thriller parano dans la veine de "Rosemary's Baby", qui explore à nouveau la frontière trouble entre réalité et fiction. Hélas, Eva Green surjoue et se prend pour Kathy Bates dans "Misery".
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Les deux protagonistes sont dessinés à gros traits, le cinéaste semblant renoncer à creuser les pistes les plus séduisantes de ce huis clos pas vraiment oppressant, et le film s’évapore aussi vite qu’il est vu.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"D'après une histoire vraie" est un film qui fait mal tant il est raté, ridicule et même risible. La douleur est d'autant plus grande que Roman Polanski semble parfaitement absent derrière la caméra, et qu'il offre à l'excellente Eva Green l'un de ses pires rôles. C'en serait presque fascinant si ça n'était pas si désolant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Roman Polanski adapte sur grand écran, le roman de Delphine Le Vigan, récit schizophrénique sur la perte de l'identité. C'est totalement raté.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
La prestation embarrassante d’Eva Green est appelée à devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Luc Chessel
D’après une histoire vraie, son titre le dit assez, est aussi cette théorie de l’adaptation - où, non content de retourner un best-seller niais contre lui-même, Polanski va assez loin pour faire de même avec son propre film et le saboter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Quand Polanski se plante, c’est dans les grandes largeurs...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
CONTRE : Polanski se vautre dans des effets de style et scénaristiques si ampoulés que l'on se demande s'il ne s'agit pas d'un gros canular.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Emmanuelle Seigner et Eva Green se donnent la réplique, l’une, en écrivain à succès, persécutée par des lettres anonymes, l’autre, en apparition providentielle qui a vite fait de paraître aussi peu réelle qu’une sorcière de récits pour enfants. Comme on le soupçonne, tout part à vau l’eau. Beau gâchis.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Comme c’est une histoire d’écrivain, on ne peut que regretter les mystères et la virtuosité de The Ghost Writer, dernier grand film de Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Adapté du best-seller de Delphine de Vigan, ce thriller psychologique vénéneux brouille les pistes entre réalité et fiction, dans un face-à-face choc entre Emmanuelle Seigner et Eva Green.
20 Minutes
"D'après une histoire" vraie permet au réalisateur de Répulsion de renouer avec ces thrillers au feminin qu'il maîtrise.
La Septième Obsession
On pourra toujours trouver des écueils à ce nouveau film, certainement pas le plus essentiel dans l’œuvre du cinéaste, mais Polanski surplombe toujours en ricanant les manœuvres risibles, les faiblesses dérisoires de ses personnages, et cette jouissance sardonique communicative, qui suffit à elle seule au plaisir du spectateur, le préserve à jamais de tomber dans un cinéma vermoulu.
Positif
(...) Polanski se délecte à déjouer les pièges d'un "roman" évidemment imprévisible, et qui apparaît comme une version féminine de "The Ghost Writer".
Studio Ciné Live
POUR : "D'après une histoire vraie" fait partie des huis clos angoissants qui ont fait sa réputation.
Télérama
POUR : Roman Polanski filme son huis clos psychanalytique avec une impassibilité totale. Loin de l’exubérance expressionniste d’un Hitchcock (Soupçons), mais tout proche de la retenue glacée de Fritz Lang, période américaine (...).
aVoir-aLire.com
Mêlant thriller psychologique et réflexion sur le processus créatif, Roman Polanski signe un admirable film d’ambiance maîtrisé, fidèle à son univers suggestif et équivoque. Du grand art.
Franceinfo Culture
Construit au rythme d’une progression minutée de plus en plus angoissante, fidèle à son élégance de cinéaste, Polanski ne signe pas une œuvre majeure, mais un thriller psychologique du meilleur cru.
La Croix
Le cinéaste adapte de manière efficace mais sans subtilité le best-seller qui évoquait les affres de la création et le lien entre vérité et fiction.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation plutôt enlevée du roman de Delphine de Vigan, où, tout en jouant sur les frontières poreuses entre fiction et vérité, Roman Polanski s’amuse surtout du vain jeu social de l’intelligentsia.
Le Figaro
On compte les coups, mais on les voit venir. Quelques épisodes annexes évitent la réclusion complète, mais pas l'artifice. Polanski a tourné vite. De là peut-être cette impression d'une sauce trop claire.
Le Monde
Si le cadre et la lumière sont contemporains, le découpage et le montage ressemblent à ceux du cinéma américain de l’âge d’or, une sensation accentuée par la partition légèrement désuète d’Alexandre Desplats. Ce parti pris a pour avantage et pour inconvénient de conférer une certaine légèreté à cette promenade dans les affres de la création.
Ouest France
Les ficelles sont un peu grosses mais on peut se laisser entraîner dans ce thriller psychologique moderne.
Voici
Roman Polanski adapte le best-seller de Delphine de Vigan façon psycho-thriller, plus kitsch que troublant.
Critikat.com
Le scénario suit le roman à la lettre, et Polanski se contente d’illustrer platement chaque scène sans jamais réussir à y injecter un quelconque trouble.
La Voix du Nord
La chute bâclée, que Polanski ne daigne pas renforcer par une touche interrogative ou une note d’inquiétude, n’aide pas, de plus, à résoudre l’équation.
Le Journal du Dimanche
Étrillé à Cannes, le film a depuis été allégé de dix minutes. Il reste toutefois léthargique, avec un suspense trop vite éventé, notamment par les œillades inquiétantes d’une Eva Green qu’on croirait dirigée par Tim Burton.
Les Fiches du Cinéma
Oscillant entre thriller psychologique et drame intimiste sur fond de crise artistique, le dernier Polanski ne tranche pas et déçoit.
Les Inrockuptibles
Froid, le film ne fait qu'illustrer (assez mal) un livre qui n'a pas l'air d'avoir trouvé un écho chez Polanski, tant celui-ci reste extérieur.
Première
Un 21ème opus léger, beaucoup moins agressif que le précédent (La Vénus à la fourrure) qui n’apportera rien de plus à la gloire de Polanski – ni à son infamie.
Télé Loisirs
(...) un thriller parano dans la veine de "Rosemary's Baby", qui explore à nouveau la frontière trouble entre réalité et fiction. Hélas, Eva Green surjoue et se prend pour Kathy Bates dans "Misery".
Cahiers du Cinéma
Les deux protagonistes sont dessinés à gros traits, le cinéaste semblant renoncer à creuser les pistes les plus séduisantes de ce huis clos pas vraiment oppressant, et le film s’évapore aussi vite qu’il est vu.
Ecran Large
"D'après une histoire vraie" est un film qui fait mal tant il est raté, ridicule et même risible. La douleur est d'autant plus grande que Roman Polanski semble parfaitement absent derrière la caméra, et qu'il offre à l'excellente Eva Green l'un de ses pires rôles. C'en serait presque fascinant si ça n'était pas si désolant.
L'Express
Roman Polanski adapte sur grand écran, le roman de Delphine Le Vigan, récit schizophrénique sur la perte de l'identité. C'est totalement raté.
L'Obs
La prestation embarrassante d’Eva Green est appelée à devenir culte.
Libération
D’après une histoire vraie, son titre le dit assez, est aussi cette théorie de l’adaptation - où, non content de retourner un best-seller niais contre lui-même, Polanski va assez loin pour faire de même avec son propre film et le saboter.
Paris Match
Quand Polanski se plante, c’est dans les grandes largeurs...
Studio Ciné Live
CONTRE : Polanski se vautre dans des effets de style et scénaristiques si ampoulés que l'on se demande s'il ne s'agit pas d'un gros canular.
Sud Ouest
Emmanuelle Seigner et Eva Green se donnent la réplique, l’une, en écrivain à succès, persécutée par des lettres anonymes, l’autre, en apparition providentielle qui a vite fait de paraître aussi peu réelle qu’une sorcière de récits pour enfants. Comme on le soupçonne, tout part à vau l’eau. Beau gâchis.
Télérama
CONTRE : Comme c’est une histoire d’écrivain, on ne peut que regretter les mystères et la virtuosité de The Ghost Writer, dernier grand film de Polanski.