Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Contemplative, cette œuvre ultra maîtrisée est le signe d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
À la fois film de chambre (à coucher) et tableau édénique naturaliste, le film de Reygadas mêle les torsions de l’âme humaine et l’impuissance du monde à les redresser, dans un alliage composite de dénuement atavique et d’élégie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Carlos Reygadas réussit par sa virtuosité silencieuse à composer un organisme vivant nourri des peurs et des actes, des pensées et des paroles. Il relie en virtuose les extrémités d’une antithèse cinématographique : l’observation et l’immersion.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Six ans après Post Tenebras Lux, le cinéaste mexicain poursuit son archéologie des conflits humains et de la présence au monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Carlos Reygadas est-il le Bergman mexicain ? Comme dans ses films précédents, il plonge dans les tourments humains, regarde la sexualité viciée, s'interroge sur l'acte de création. Le fait qu'il joue le rôle principal, que sa femme Natalia López lui donne la réplique, et que le tournage ait eu lieu dans son ranch ajoute un trouble à cette autofiction fascinante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un beau et long traité de masochisme amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au risque d’être parfois long sinon démonstratif, il garantit un dépaysement très élégant dont l’atmosphère devient progressivement onirique, somnambulique.
Libération
par Luc Chessel
Entre réalisme et abstraction formelle, Carlos Reygadas offre une étonnante immersion sensorielle dans un drame conjugal tourné en numérique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Moins radical si ce n’est dans sa trop longue durée, le nouveau Carlos Reygadas est une œuvre d’une beauté éblouissante qui investit les affres du couple en le replaçant dans une dimension cosmique et picturale qui suscite la fascination.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La mise en scène de la crise du couple (...) occupe le coeur battant du film. On en appréciera la profondeur et la subtilité dans l'approche de ce "trou noir" qu'est l'opaque protocole de la désunion.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Pas encore totalement guéri de son goût agaçant pour les gageures formelles, Reygadas s’éloigne pourtant de la lourdeur plastique et théorique de ses derniers films et préfère, dans "Nuestro tiempo", l’étude patiente de son sujet plutôt qu’une démonstration de force vaniteuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
[...] un talent incontestable, que l'on espère un jour enfin débarrassé de ses afféteries.
Télérama
par Jacques Morice
A la fois cogitation et poème libre autour de l’égoïsme, ou du don, en amour, cette autofiction fascine souvent, agace parfois. Mais s’affirme comme une expérience singulière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Choury
Il ne ressort de Nuestro Tiempo qu’une complainte de classe trop autosatisfaite pour faire croire honnêtement à une autoanalyse.
Première
par Thomas Baurez
Envoûtant et intrigant dans ses premiers instants, le film, présenté à Venise, se délite à mesure qu’il ramène ses personnages dans un petit carcan d’intrigues petites bourgeoises qui ne transcendent pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Même quand Carlos Reygadas met en scène son propre couple dans une autofiction intimiste, l’emphase reste chez lui une seconde nature.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Bref, l'ensemble est boursouflé, vain, artificiel.
Bande à part
Contemplative, cette œuvre ultra maîtrisée est le signe d’un grand cinéaste.
Les Fiches du Cinéma
À la fois film de chambre (à coucher) et tableau édénique naturaliste, le film de Reygadas mêle les torsions de l’âme humaine et l’impuissance du monde à les redresser, dans un alliage composite de dénuement atavique et d’élégie.
Culturopoing.com
Carlos Reygadas réussit par sa virtuosité silencieuse à composer un organisme vivant nourri des peurs et des actes, des pensées et des paroles. Il relie en virtuose les extrémités d’une antithèse cinématographique : l’observation et l’immersion.
L'Humanité
Six ans après Post Tenebras Lux, le cinéaste mexicain poursuit son archéologie des conflits humains et de la présence au monde.
L'Obs
Carlos Reygadas est-il le Bergman mexicain ? Comme dans ses films précédents, il plonge dans les tourments humains, regarde la sexualité viciée, s'interroge sur l'acte de création. Le fait qu'il joue le rôle principal, que sa femme Natalia López lui donne la réplique, et que le tournage ait eu lieu dans son ranch ajoute un trouble à cette autofiction fascinante.
Le Figaro
Un beau et long traité de masochisme amoureux.
Le Journal du Dimanche
Au risque d’être parfois long sinon démonstratif, il garantit un dépaysement très élégant dont l’atmosphère devient progressivement onirique, somnambulique.
Libération
Entre réalisme et abstraction formelle, Carlos Reygadas offre une étonnante immersion sensorielle dans un drame conjugal tourné en numérique.
aVoir-aLire.com
Moins radical si ce n’est dans sa trop longue durée, le nouveau Carlos Reygadas est une œuvre d’une beauté éblouissante qui investit les affres du couple en le replaçant dans une dimension cosmique et picturale qui suscite la fascination.
Le Monde
La mise en scène de la crise du couple (...) occupe le coeur battant du film. On en appréciera la profondeur et la subtilité dans l'approche de ce "trou noir" qu'est l'opaque protocole de la désunion.
Les Inrockuptibles
Pas encore totalement guéri de son goût agaçant pour les gageures formelles, Reygadas s’éloigne pourtant de la lourdeur plastique et théorique de ses derniers films et préfère, dans "Nuestro tiempo", l’étude patiente de son sujet plutôt qu’une démonstration de force vaniteuse.
Positif
[...] un talent incontestable, que l'on espère un jour enfin débarrassé de ses afféteries.
Télérama
A la fois cogitation et poème libre autour de l’égoïsme, ou du don, en amour, cette autofiction fascine souvent, agace parfois. Mais s’affirme comme une expérience singulière.
Critikat.com
Il ne ressort de Nuestro Tiempo qu’une complainte de classe trop autosatisfaite pour faire croire honnêtement à une autoanalyse.
Première
Envoûtant et intrigant dans ses premiers instants, le film, présenté à Venise, se délite à mesure qu’il ramène ses personnages dans un petit carcan d’intrigues petites bourgeoises qui ne transcendent pas grand-chose.
Cahiers du Cinéma
Même quand Carlos Reygadas met en scène son propre couple dans une autofiction intimiste, l’emphase reste chez lui une seconde nature.
Transfuge
Bref, l'ensemble est boursouflé, vain, artificiel.