Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Glory" est un merveilleux film à l'ancienne, qui tire en douceur, sans effets de manche, sa force très puissante de son récit linéaire, de sa manière de semer sur le chemin de son héros des obstacles toujours plus extraordinaires qui révèlent les liens de compromission de l'état avec la mafia locale.
20 Minutes
par Caroline Vié
"Glory" (est) un film bourré d’humanité, et qui touche d’autant plus qu’on imagine bien que les pratiques politiques d’un pays méconnu ne sont pas forcément si éloignées des nôtres.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les deux comédiens principaux, déjà présents dans The Lesson, excellent à jouer de ce nuancier. Des plans fixes bien ajustés leur en ménagent le champ. Tsanko, au péril de son intégrité sans faille. Julia, que ses failles intimes fissurent mais n’éclairent pas. Feux de détresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Glory" dépeint une société bulgare au bord de l’implosion avec, d’un côté, une classe pauvre et une bureaucratie héritées de l’ère communiste, et de l’autre, un individualisme petit-bourgeois et un système politico-médiatique issus du libéralisme sauvage. Grinçante, la fable manque un peu de nerf, mais pas de mordant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
S’appuyant sur une implacable mécanique scénaristique cultivant ce goût de l’absurde qu’on aime tant chez Kafka et Ionesco, "Glory" creuse son sujet et ses personnages, refuse de tomber dans la caricature, ne dédaigne pas jouer avec la métaphore et repose sur un style réaliste qui nous cloue au mur lors de la stupéfiante séquence finale.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une fable tragicomique, satire cruelle d’un régime corrompu et porteuse d’une sorte de philosophie de l’absurde, aussi réjouissante que désespérante.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Dardenne bulgares, les réalisateurs Kristina Grozeva et Petar Valchanov s’étaient distingués avec un très bon premier film, The Lesson (2014). (...) Le duo part d’une réalité banale pour aboutir à une tragédie dont ni le protagoniste ni le public ne sortent indemnes. Il évite avec soin l’écueil de la commisération au profit d’un certain burlesque mêlé d’un sentiment de colère face à la bêtise d’un système.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le film, d’où se dégage une profonde misanthropie, ne s’applique pas seulement à dénoncer la corruption politique : il éreinte de son humour acerbe l’ensemble d’une société gangrénée par l’individualisme, l’hypocrisie et la malhonnêteté. Un drôle de drame qui assène une mémorable gifle.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) une charge amèrement troussée contre l’impudence des gouvernants et le cynisme des communicants, laquelle présente le mérite supplémentaire d’être d’une épouvantable drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Après “The Lesson”, Kristina Grozeva et Petar Valchanov reviennent en force avec une nouvelle parabole à l’ironie mordante, qui prend des allures de manifeste anticorruption.
Libération
par Gilles Renault
Quelle qu’en soit son indéniable singularité, il y aurait toutefois quelque chose d’injuste à réduire la pertinence de "Glory" à son particularisme géographique tant, au demeurant, la parabole sociale revêt intrinsèquement une dimension quasi universelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Les deux Bulgares ont l'humour rosse et le vitriol particulièrement efficace. Ils ont, visiblement, des comptes à régler avec leur pays, héritier d'une longue histoire de passivité (...). Mais leur propos dépasse la Bulgarie : c'est le récit logique et fatal d'un cave qui, soudain, se rebiffe. D'un mouton enragé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un drame absurde et grave, tantôt drôle et effrayant, qui n'occulte rien de la corruption qui règne dans les démocraties d'Europe de l'Est.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Sandra Benedetti
Nul besoin d'esbroufe, tout est là. La dignité bafouée, la probité moquée. Dommage que la fin soit expédiée à la va vite, toute finesse oubliée.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Cette fable sociale glaçante sur les ravages de la corruption est portée par l’interprétation de son personnage principal et par une mise en scène frappante de vérité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Tsanko Petrov, cheminot bègue en marge de la société, trouve sur une voie de chemin de fer des billets qu'il donne à la police. La presse s'empare de ce héros. Mais l'honnêteté ne paie pas. Le film a reçu trois prix à Valence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Farce politique amère, "Glory" brosse aussi le portrait d'une femme intraitable, qui tire les ficelles d'un système déliquescent. Souvent drôle, le film devient plus grave au fil de l'intrigue, jusqu'à un dénouement saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ça vire rapidement à la farce satirique, et finalement tragique, sur les ridicules communicants du ministère. Dommage que ce soit un peu lent et manichéen.
Paris Match
par Yannick Vely
La fable noire glace le sang, surtout qu'elle est inspirée d'une histoire vraie datée de 2001. Dommage qu'au portrait de cet homme seul contre tous fait écho celui beaucoup moins nuancé d'une femme (...) prête à tout pour renforcer l'image de ses clients. (...) Reste le choc d'une fin sombre et nihiliste, sans espoir de rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
En l’affublant d’un bégaiement qui accentue ses difficultés (ainsi qu’en s’intéressant aux problèmes d’insémination de la dircom), les réalisateurs ont malheureusement un peu tendance à forcer le trait. Reste une charge amusante dont le dénouement, déroutant, vous travaille longtemps après la projection.
Critikat.com
par Benoît Smith
Grozeva et Valchanov arborent leur posture de satiristes de la société sur le dos des individus, au moins aussi détestable que ce qu'elle prétend tourner en dérision.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
"Glory" est un merveilleux film à l'ancienne, qui tire en douceur, sans effets de manche, sa force très puissante de son récit linéaire, de sa manière de semer sur le chemin de son héros des obstacles toujours plus extraordinaires qui révèlent les liens de compromission de l'état avec la mafia locale.
20 Minutes
"Glory" (est) un film bourré d’humanité, et qui touche d’autant plus qu’on imagine bien que les pratiques politiques d’un pays méconnu ne sont pas forcément si éloignées des nôtres.
L'Humanité
Les deux comédiens principaux, déjà présents dans The Lesson, excellent à jouer de ce nuancier. Des plans fixes bien ajustés leur en ménagent le champ. Tsanko, au péril de son intégrité sans faille. Julia, que ses failles intimes fissurent mais n’éclairent pas. Feux de détresse.
L'Obs
"Glory" dépeint une société bulgare au bord de l’implosion avec, d’un côté, une classe pauvre et une bureaucratie héritées de l’ère communiste, et de l’autre, un individualisme petit-bourgeois et un système politico-médiatique issus du libéralisme sauvage. Grinçante, la fable manque un peu de nerf, mais pas de mordant.
La Voix du Nord
S’appuyant sur une implacable mécanique scénaristique cultivant ce goût de l’absurde qu’on aime tant chez Kafka et Ionesco, "Glory" creuse son sujet et ses personnages, refuse de tomber dans la caricature, ne dédaigne pas jouer avec la métaphore et repose sur un style réaliste qui nous cloue au mur lors de la stupéfiante séquence finale.
Le Dauphiné Libéré
Une fable tragicomique, satire cruelle d’un régime corrompu et porteuse d’une sorte de philosophie de l’absurde, aussi réjouissante que désespérante.
Le Figaroscope
Dardenne bulgares, les réalisateurs Kristina Grozeva et Petar Valchanov s’étaient distingués avec un très bon premier film, The Lesson (2014). (...) Le duo part d’une réalité banale pour aboutir à une tragédie dont ni le protagoniste ni le public ne sortent indemnes. Il évite avec soin l’écueil de la commisération au profit d’un certain burlesque mêlé d’un sentiment de colère face à la bêtise d’un système.
Le Journal du Dimanche
Le film, d’où se dégage une profonde misanthropie, ne s’applique pas seulement à dénoncer la corruption politique : il éreinte de son humour acerbe l’ensemble d’une société gangrénée par l’individualisme, l’hypocrisie et la malhonnêteté. Un drôle de drame qui assène une mémorable gifle.
Le Monde
(...) une charge amèrement troussée contre l’impudence des gouvernants et le cynisme des communicants, laquelle présente le mérite supplémentaire d’être d’une épouvantable drôlerie.
Les Fiches du Cinéma
Après “The Lesson”, Kristina Grozeva et Petar Valchanov reviennent en force avec une nouvelle parabole à l’ironie mordante, qui prend des allures de manifeste anticorruption.
Libération
Quelle qu’en soit son indéniable singularité, il y aurait toutefois quelque chose d’injuste à réduire la pertinence de "Glory" à son particularisme géographique tant, au demeurant, la parabole sociale revêt intrinsèquement une dimension quasi universelle.
Télérama
Les deux Bulgares ont l'humour rosse et le vitriol particulièrement efficace. Ils ont, visiblement, des comptes à régler avec leur pays, héritier d'une longue histoire de passivité (...). Mais leur propos dépasse la Bulgarie : c'est le récit logique et fatal d'un cave qui, soudain, se rebiffe. D'un mouton enragé.
aVoir-aLire.com
Un drame absurde et grave, tantôt drôle et effrayant, qui n'occulte rien de la corruption qui règne dans les démocraties d'Europe de l'Est.
L'Express
Nul besoin d'esbroufe, tout est là. La dignité bafouée, la probité moquée. Dommage que la fin soit expédiée à la va vite, toute finesse oubliée.
La Croix
Cette fable sociale glaçante sur les ravages de la corruption est portée par l’interprétation de son personnage principal et par une mise en scène frappante de vérité.
Le Figaro
Tsanko Petrov, cheminot bègue en marge de la société, trouve sur une voie de chemin de fer des billets qu'il donne à la police. La presse s'empare de ce héros. Mais l'honnêteté ne paie pas. Le film a reçu trois prix à Valence.
Le Parisien
Farce politique amère, "Glory" brosse aussi le portrait d'une femme intraitable, qui tire les ficelles d'un système déliquescent. Souvent drôle, le film devient plus grave au fil de l'intrigue, jusqu'à un dénouement saisissant.
Ouest France
Ça vire rapidement à la farce satirique, et finalement tragique, sur les ridicules communicants du ministère. Dommage que ce soit un peu lent et manichéen.
Paris Match
La fable noire glace le sang, surtout qu'elle est inspirée d'une histoire vraie datée de 2001. Dommage qu'au portrait de cet homme seul contre tous fait écho celui beaucoup moins nuancé d'une femme (...) prête à tout pour renforcer l'image de ses clients. (...) Reste le choc d'une fin sombre et nihiliste, sans espoir de rédemption.
Première
En l’affublant d’un bégaiement qui accentue ses difficultés (ainsi qu’en s’intéressant aux problèmes d’insémination de la dircom), les réalisateurs ont malheureusement un peu tendance à forcer le trait. Reste une charge amusante dont le dénouement, déroutant, vous travaille longtemps après la projection.
Critikat.com
Grozeva et Valchanov arborent leur posture de satiristes de la société sur le dos des individus, au moins aussi détestable que ce qu'elle prétend tourner en dérision.