Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Quand l’un des plus ténébreux des peintres polonais devient l’objet d’une chronique familiale existentielle, le biopic est aux antipodes des attentes, dans la truculence psychologique et un réalisme saillant qui permet d’approcher Beksinski au-delà de ses obsessions d’artiste (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La plus belle surprise que le cinéma polonais nous avait réservée depuis longtemps.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce qui fait l’essence de ce film mêlant matériau documentaire et science très maîtrisée du cadre est finalement très humain : cette faculté à vouloir vivre ensemble malgré le mal que l’on se fait. La solidité du béton n’empêche pas la fragilité de la chair.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Durant plusieurs années, le peintre surréaliste polonais Zdzislaw Beksinski conjugue son œuvre à une vie de famille dysfonctionnelle. Un premier film bouleversant, qui se fait la chronique d’un foyer en proie à l’injustice de la fatalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La plupart du temps, Matuszynski filme les Beksinski avec tendresse, laissant cette famille à son mystère, à l’opacité de ses psychoses. Il serait facile d’y voir en creux l’histoire de la Pologne, pays tordu par l’histoire, les guerres, le communisme, etc. Mais la folie était-elle l’apanage du soviétisme ? Matszynski parvient en tout cas à filmer avec une ligne clairement dessinée ce qui ne l’est absolument pas, avec un respect permanent pour la folie des êtres de chair qu’il filme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eric Derobert
(...) profondément dépressif (...).
Première
par Michaël Patin
D’une rigueur formelle rare, hypnotique et anti-sentimentale, ce faux biopic invoque le vertige existentiel là où d’autres tricotent des notices Wikipédia.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
En jouant à la fois sur le registre de la chronique et celui de la reconstitution du tournage d'images existantes du quotidien, "The Last Family" est bien autre chose qu'une énième chronique familiale, c'est un objet qu'on ne soupçonnait pas d'exister : le biopic familial, la biographie dont les membres de la famille sont les héros, un peu comme si les Simpson existaient bel et bien.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un jeune cinéaste polonais s’est plongé dans les archives foisonnantes d’un peintre surréaliste pour livrer un portrait familial fascinant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film parfois sombre mais habilement construit, porté par des acteurs inspirés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Jérémy Piette
(...) un portrait étonnant de cette tribu fantasque (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les non couleurs dominent dans une lumière éteinte, à l’image d’un film sombre à la conclusion traumatique. Nihiliste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
On voit bien ce qui a intéressé Jan P. Matuszynski pour ce premier film : la dinguerie de cette famille hors norme. Mais le film sent l'huile de coude et le chou. Tout est sinistre, même les scènes drôles. Pourquoi voir un film de deux heures sur des personnages glauquissimes ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
"The Last Family" est une sorte de sous-Haneke : faussement subversif et vraiment ennuyeux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’artiste, connu pour ses peintures morbides qualifiées de « dystopies surréalistes », documentait sa vie privée en audioet en vidéo, ce qui a certes facilité la tâche du cinéaste. Mais malgré (ou à cause de) cette masse d’informations, le film paraît bancal et excessif, ne faisant pas beaucoup ressentir le passage du temps.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
La longue chronique de cette famille dysfonctionnelle est censée raconter en creux les changements de la société polonaise. On voit surtout changer la coupe de cheveux de Tomasz.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
aVoir-aLire.com
Quand l’un des plus ténébreux des peintres polonais devient l’objet d’une chronique familiale existentielle, le biopic est aux antipodes des attentes, dans la truculence psychologique et un réalisme saillant qui permet d’approcher Beksinski au-delà de ses obsessions d’artiste (...).
Cahiers du Cinéma
La plus belle surprise que le cinéma polonais nous avait réservée depuis longtemps.
Le Monde
Ce qui fait l’essence de ce film mêlant matériau documentaire et science très maîtrisée du cadre est finalement très humain : cette faculté à vouloir vivre ensemble malgré le mal que l’on se fait. La solidité du béton n’empêche pas la fragilité de la chair.
Les Fiches du Cinéma
Durant plusieurs années, le peintre surréaliste polonais Zdzislaw Beksinski conjugue son œuvre à une vie de famille dysfonctionnelle. Un premier film bouleversant, qui se fait la chronique d’un foyer en proie à l’injustice de la fatalité.
Les Inrockuptibles
La plupart du temps, Matuszynski filme les Beksinski avec tendresse, laissant cette famille à son mystère, à l’opacité de ses psychoses. Il serait facile d’y voir en creux l’histoire de la Pologne, pays tordu par l’histoire, les guerres, le communisme, etc. Mais la folie était-elle l’apanage du soviétisme ? Matszynski parvient en tout cas à filmer avec une ligne clairement dessinée ce qui ne l’est absolument pas, avec un respect permanent pour la folie des êtres de chair qu’il filme.
Positif
(...) profondément dépressif (...).
Première
D’une rigueur formelle rare, hypnotique et anti-sentimentale, ce faux biopic invoque le vertige existentiel là où d’autres tricotent des notices Wikipédia.
Transfuge
En jouant à la fois sur le registre de la chronique et celui de la reconstitution du tournage d'images existantes du quotidien, "The Last Family" est bien autre chose qu'une énième chronique familiale, c'est un objet qu'on ne soupçonnait pas d'exister : le biopic familial, la biographie dont les membres de la famille sont les héros, un peu comme si les Simpson existaient bel et bien.
La Croix
Un jeune cinéaste polonais s’est plongé dans les archives foisonnantes d’un peintre surréaliste pour livrer un portrait familial fascinant.
Le Journal du Dimanche
Un film parfois sombre mais habilement construit, porté par des acteurs inspirés.
Libération
(...) un portrait étonnant de cette tribu fantasque (...).
Franceinfo Culture
Les non couleurs dominent dans une lumière éteinte, à l’image d’un film sombre à la conclusion traumatique. Nihiliste.
L'Obs
On voit bien ce qui a intéressé Jan P. Matuszynski pour ce premier film : la dinguerie de cette famille hors norme. Mais le film sent l'huile de coude et le chou. Tout est sinistre, même les scènes drôles. Pourquoi voir un film de deux heures sur des personnages glauquissimes ?
Studio Ciné Live
"The Last Family" est une sorte de sous-Haneke : faussement subversif et vraiment ennuyeux.
L'Humanité
L’artiste, connu pour ses peintures morbides qualifiées de « dystopies surréalistes », documentait sa vie privée en audioet en vidéo, ce qui a certes facilité la tâche du cinéaste. Mais malgré (ou à cause de) cette masse d’informations, le film paraît bancal et excessif, ne faisant pas beaucoup ressentir le passage du temps.
Le Figaro
La longue chronique de cette famille dysfonctionnelle est censée raconter en creux les changements de la société polonaise. On voit surtout changer la coupe de cheveux de Tomasz.