Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Toute une poétique du cinéma asiatique, du Taïwanais Hou Hsiao-hsien au Thaïlandais Apichatpong Weerasethakul, se déploie dans ce film au profit d’une vision politique par laquelle son auteur, le Japonais Katsuya Tomita, se distingue de ces modèles.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
De l’urbanité grouillante à la campagne reculée, des fantômes du passé aux corps éperdus du présent, de la vulgarité de la prostitution à l'impossibilité de l'amour, de la fortune à l'infortune, "Bangkok Nites" embrasse une foule de trajectoires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La beauté du film est d’être une mosaïque profuse de lieux, de langues, de musiques, où passe en fait beaucoup de vie.
Critikat.com
par Benoît Smith
Comme "Saudade", "Bangkok Nites" suit des pistes en restant à l'affût des bifurcations et des possibilités de s'enrichir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
À travers le parcours d'une jeune prostituée et d'un Japonais en errance, Katsuya Tomita dresse le portrait d'une Thaïlande marquée par son histoire. Dense et romanesque, son nouveau long métrage se montre à la hauteur de ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
La fresque de Katsuya Tomita brasse d’innombrables problématiques, sourdes ou éruptives, en ne se détachant jamais de l’humain. Une sève vivace se frotte à la mélancolie des exils.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un beau film lent et sensible, aux nuits étincelantes et aux personnages attachants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le film, par sa nature même si désinvolte à l’égard de toute idée d’œuvre commerciale, son mode de production, son goût de l’intempestif, est un manifeste de contre-culture incroyablement dynamique dans sa fureur insidieuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Cheze
Trois heures passionnantes donc - en dépit il faut l’admettre de quelques longueurs - et superbement éclairées par le directeur de la photo Takumi Furuya.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
En dépit de longueurs, le réalisateur réussit à susciter un trouble infini. C’est un futur grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène, en trouvant une distance qui n'est ni dans l'empathie apitoyée ni dans le sordide pittoresque, baigne le spectateur dans une léthargie mélancolique. Echo poignant de ces existences absentes d'elles-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Portrait superbement éclairé (...) du quotidien des filles de joie de Bangkok. (...) Ses trois heures lui permettent d'approfondir le sujet et d'éviter tout raccourci caricatural.
Positif
par Eithne O'Neill
(...) tout en dépeignant avec tendresse une pléthore de personnages, la mise en scène est une fresque kaléidoscopique qui entraîne un retour à la case départ et devient répétitive.
Le Monde
Toute une poétique du cinéma asiatique, du Taïwanais Hou Hsiao-hsien au Thaïlandais Apichatpong Weerasethakul, se déploie dans ce film au profit d’une vision politique par laquelle son auteur, le Japonais Katsuya Tomita, se distingue de ces modèles.
Les Inrockuptibles
De l’urbanité grouillante à la campagne reculée, des fantômes du passé aux corps éperdus du présent, de la vulgarité de la prostitution à l'impossibilité de l'amour, de la fortune à l'infortune, "Bangkok Nites" embrasse une foule de trajectoires.
Cahiers du Cinéma
La beauté du film est d’être une mosaïque profuse de lieux, de langues, de musiques, où passe en fait beaucoup de vie.
Critikat.com
Comme "Saudade", "Bangkok Nites" suit des pistes en restant à l'affût des bifurcations et des possibilités de s'enrichir.
Culturopoing.com
À travers le parcours d'une jeune prostituée et d'un Japonais en errance, Katsuya Tomita dresse le portrait d'une Thaïlande marquée par son histoire. Dense et romanesque, son nouveau long métrage se montre à la hauteur de ses ambitions.
L'Humanité
La fresque de Katsuya Tomita brasse d’innombrables problématiques, sourdes ou éruptives, en ne se détachant jamais de l’humain. Une sève vivace se frotte à la mélancolie des exils.
Les Fiches du Cinéma
Un beau film lent et sensible, aux nuits étincelantes et aux personnages attachants.
Libération
Le film, par sa nature même si désinvolte à l’égard de toute idée d’œuvre commerciale, son mode de production, son goût de l’intempestif, est un manifeste de contre-culture incroyablement dynamique dans sa fureur insidieuse.
Première
Trois heures passionnantes donc - en dépit il faut l’admettre de quelques longueurs - et superbement éclairées par le directeur de la photo Takumi Furuya.
Télérama
En dépit de longueurs, le réalisateur réussit à susciter un trouble infini. C’est un futur grand cinéaste.
L'Obs
La mise en scène, en trouvant une distance qui n'est ni dans l'empathie apitoyée ni dans le sordide pittoresque, baigne le spectateur dans une léthargie mélancolique. Echo poignant de ces existences absentes d'elles-mêmes.
Studio Ciné Live
Portrait superbement éclairé (...) du quotidien des filles de joie de Bangkok. (...) Ses trois heures lui permettent d'approfondir le sujet et d'éviter tout raccourci caricatural.
Positif
(...) tout en dépeignant avec tendresse une pléthore de personnages, la mise en scène est une fresque kaléidoscopique qui entraîne un retour à la case départ et devient répétitive.