Le Ruisseau, le pré vert et le doux visage : Critique presse
Le Ruisseau, le pré vert et le doux visage
Note moyenne
3,8
16 titres de presse
Libération
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
L'Humanité
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
Transfuge
Télérama
L'Obs
La Croix
Studio Ciné Live
Le Parisien
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
En suivant une famille de cuisiniers dans le tourbillon des préparatifs d’une noce, Yousry Nasrallah livre un portrait étincelant de l’Égypte contemporaine, mixant tous les désirs, excès et déséquilibres d’une société en constante ébullition.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Si Le Ruisseau emporte, c’est par la façon dont il empoigne le ressort vital, comme pour révéler l’urgence à le représenter, voire à s’en souvenir.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Tout entier articulé autour d’un mariage populaire organisé dans la campagne égyptienne, le film devient le petit théâtre des rapports de force et de séduction entre les personnages, empruntant volontiers aux codes du musical bollywoodien, rappelant que Yousry Nasrallah reste plus que jamais le digne héritier de Youssef Chahine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Avec son nouveau film, "Le ruisseau, le pré vert et le doux visage", le cinéaste égyptien, Yousry Nasrallah, décline le principe du plaisir tout en poursuivant sa cinématographie de conteur au présent de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Un film d'un réalisme sensuel qui décolle vers un pittoresque fabuleux, dans un style bollywoodien outrancier et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Rapports de pouvoir, loyauté et trahison, cupidité et volupté, traités avec une vitalité truculente à la Boccace. Une vision savoureusement critique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le cinéaste épouse les formes généreuses de ses actrices, dans une virevoltante comédie musicale sur une famille de restaurateurs.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Faire aujourd’hui en Égypte un film épicurien, célébrant la nourriture et l’amour, c’est faire preuve d’une belle liberté d’expression.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Synthèse parfaite entre l'influence du cinéma de Bollywood, qui affleure dans le décorum en général (et dans la musique de façon évidente), et celle de "La Règle du jeu" de Renoir, avec l'enchevêtrement des classes sociales, des petites histoires et des grandes, de l'anecdotique et du tragique, des saveurs et des sentiments.
Positif
par Bernard Génin
Un film touffu, étiré, épuisant par moments, mais un hymne courageux et généreux au plaisir, à la liberté et au droit à la dignité.
Transfuge
par Ilan Malka
Les couleurs vives, le mélange de réalisme et de légèreté voire de kitsch assumé, de romantisme et de violence sèche, font de ce film un objet déconcertant qui séduit par son aspect foisonnant.
Télérama
par Pierre Murat
Le cinéaste se faufile entre tous ses personnages, il passe constamment des coulisses où les cuisiniers s'affairent aux salons où les invités s'égaient et s'amusent. On se croirait dans un film choral de Robert Altman ("Un mariage"), en plus gai, plus extravagant, plus bondissant...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
C’est dynamique, souvent drôle, parfois un peu maladroit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
L’Égyptien Yousry Nasrallah, dans un film généreux et tourmenté, nous convie à un fastueux mariage où les désirs et les papilles s’aiguisent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
L'esthétique bollywoodienne confère un charme fou à cet hymne épicurien (...) mais le côté kitsch est épuisant sur la longueur.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'amour et le mariage sont la trame d'une histoire bien nourrie et très sensuelle. Mais il faut épouser l'accent de conte oriental qui la couvre d'un bout à l'autre et peut parfois, dans nos contrées, déconcerter.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
En suivant une famille de cuisiniers dans le tourbillon des préparatifs d’une noce, Yousry Nasrallah livre un portrait étincelant de l’Égypte contemporaine, mixant tous les désirs, excès et déséquilibres d’une société en constante ébullition.
Cahiers du Cinéma
Si Le Ruisseau emporte, c’est par la façon dont il empoigne le ressort vital, comme pour révéler l’urgence à le représenter, voire à s’en souvenir.
Critikat.com
Tout entier articulé autour d’un mariage populaire organisé dans la campagne égyptienne, le film devient le petit théâtre des rapports de force et de séduction entre les personnages, empruntant volontiers aux codes du musical bollywoodien, rappelant que Yousry Nasrallah reste plus que jamais le digne héritier de Youssef Chahine.
L'Humanité
Avec son nouveau film, "Le ruisseau, le pré vert et le doux visage", le cinéaste égyptien, Yousry Nasrallah, décline le principe du plaisir tout en poursuivant sa cinématographie de conteur au présent de l’histoire.
Le Figaro
Un film d'un réalisme sensuel qui décolle vers un pittoresque fabuleux, dans un style bollywoodien outrancier et réjouissant.
Le Figaroscope
Rapports de pouvoir, loyauté et trahison, cupidité et volupté, traités avec une vitalité truculente à la Boccace. Une vision savoureusement critique.
Le Monde
Le cinéaste épouse les formes généreuses de ses actrices, dans une virevoltante comédie musicale sur une famille de restaurateurs.
Les Fiches du Cinéma
Faire aujourd’hui en Égypte un film épicurien, célébrant la nourriture et l’amour, c’est faire preuve d’une belle liberté d’expression.
Les Inrockuptibles
Synthèse parfaite entre l'influence du cinéma de Bollywood, qui affleure dans le décorum en général (et dans la musique de façon évidente), et celle de "La Règle du jeu" de Renoir, avec l'enchevêtrement des classes sociales, des petites histoires et des grandes, de l'anecdotique et du tragique, des saveurs et des sentiments.
Positif
Un film touffu, étiré, épuisant par moments, mais un hymne courageux et généreux au plaisir, à la liberté et au droit à la dignité.
Transfuge
Les couleurs vives, le mélange de réalisme et de légèreté voire de kitsch assumé, de romantisme et de violence sèche, font de ce film un objet déconcertant qui séduit par son aspect foisonnant.
Télérama
Le cinéaste se faufile entre tous ses personnages, il passe constamment des coulisses où les cuisiniers s'affairent aux salons où les invités s'égaient et s'amusent. On se croirait dans un film choral de Robert Altman ("Un mariage"), en plus gai, plus extravagant, plus bondissant...
L'Obs
C’est dynamique, souvent drôle, parfois un peu maladroit.
La Croix
L’Égyptien Yousry Nasrallah, dans un film généreux et tourmenté, nous convie à un fastueux mariage où les désirs et les papilles s’aiguisent.
Studio Ciné Live
L'esthétique bollywoodienne confère un charme fou à cet hymne épicurien (...) mais le côté kitsch est épuisant sur la longueur.
Le Parisien
L'amour et le mariage sont la trame d'une histoire bien nourrie et très sensuelle. Mais il faut épouser l'accent de conte oriental qui la couvre d'un bout à l'autre et peut parfois, dans nos contrées, déconcerter.