Ce premier volet d'une nouvelle saga dystopique se regarde avec plaisir mais n'apporte rien de bien nouveau... Il plante le décor, les personnages et laisse présager une suite intéressante...
Pour ados attardés uniquement ... Plus daubé tu meures. Pas vraiment d’histoire, c’est long à mourir et les acteurs sont d’une nullité affligeante que c’en est gênant. Fuyez pauvres fous !
Voilà une histoire qui sur le papier semble dans la lignée des films de science-fiction que j'affectionne avec des héros adolescents dans le style "Hunger Games", "Divergente", "La 5ème Vague" ou même "Le Labyrinthe". Un virus inconnu et mortel a décimé 99% des moins de 18 ans de la planète et les seuls survivants développent des dons particuliers classés selon des couleurs (visibles dans le regard) : vert (QI hors norme), bleu (déplace les objets), jaune (contrôle de l'électricité), rouge (contrôle du feu) et les plus puissants, les oranges (contrôle des esprits). Ruby est une jeune fille orange et va tenter de survivre dans ce monde devenu vieux et fou. Il est regrettable et très décevant de gâcher un tel scénario alléchant par trop de bavardages inutiles et surtout par une approche trop puérile ciblant finalement les 8-12 ans et oubliant le public adulte. Le rendu final reste donc tiède, mièvre et cousu de fil blanc avec des jeunes comédiens sans véritable personnalité dans cette production. Vraiment dommage. --> Site CINEMADOURG <--
Film pour ado , tous les poncifs du genre sont la , donc rien de bien interressant pour adulte.Musique sirupeuse , facilite dans le scenario , histoire d'amour naissant. Maintenant dans le genre , il y a eu pire.
C'est bien mieux que je ne le pensais. J'ai préféré cette histoire aux diférents Hunger Games et autres Divergente et Labyrinthe que j'avais moyennement appréciés. spoiler: Ceux qui trouvent que c'est nul sont vraiment aigris et négatifs.
Malgré une idée de départ intéressante, "Darkest Minds : Rébellion" accumule les clichés du genre et ressemble à un mauvais mélange entre "Hunger Games" et "Divergente". Ce teen-movie sans âme souffre grandement de la comparaison avec ces autres références et ne parvient jamais à la dépasser. C'est un Mash-up complètement raté de ces succès populaires. Une bluette dont même les protagonistes ne parviennent à relever le niveau.
Mon fils qui a 10 ans a adoré et moi perso j'ai apprécié l'ambiance du film qui n'est pas qu'une débauche d'effets spéciaux. Le film prend son temps et nous présente les personnages principaux ainsi que les futurs intrigues.Le film est vraiment bon voir très bon. Je recommande ce film et suis sûr que cela deviendra une saga plutôt cool à l'avenir.
un film pour ados , où super pouvoirs se mélange a la romance...déjà vu. l'environnement d'un monde sans enfants nlest pas décrit ni visible, dommage cela aurait donné plus de force a l'intrigue.qui se devine facilement.
J'ai l'impression d’être le seul à avoir trouver ce film d'une médiocrité sans nom. C'est lent, pas si bien joué que ça. Le début était vraiment bien mais c'est parti dans un scénario prévisible et absurde. Bref, nul.
Avec Darkest Minds : Rébellion le convenu cesse d’être une facilité d’écriture pour devenir un système, vaste vase clos embourbé dans ses références et ses modèles d’inspiration qui désormais ne dit plus rien sur l’humain, se contente d’accumuler les ressorts bien huilés et parfaitement calibrés pour son public. Il semble même y avoir une nostalgie des camps de concentration, le film traitant cette thématique avec complaisance et naturel, sans jamais la remettre en cause. On martèle à l’enfant qu’il est exceptionnel, qu’il est doué de dons et donc destiné à une réalité supérieure ; pour cela, on lui offre des dialogues infâmes, des enjeux de type lambda. « N’aie jamais de honte à être qui tu es », « on a tous une place dans le monde », « personne ne pourra contrôler ce qui est en nous », un grand pouvoir nécessite de grandes responsabilités (en moins original et en moins bien dit). Les seules scènes touchantes relatent l’enfance de notre héroïne, le reste fonctionne en mode automatique : bref triangle amoureux à la Twilight, dilemmes à la Divergente, fausse brutalité à la The Maze Runner, pouvoirs et communauté cachée à la Harry Potter. Pauvre, pauvre mise en scène exécutée sans âme qui n’accroche jamais un spectateur lassé. Sans la moindre aspérité à l’horizon, terrifié à l’idée du risque au point de faire de ses jeunes les couleurs de l’arc-en-ciel (noir, métisse, asiatique, blanc, roux), Darkest Minds n’a rien à raconter, fait miroiter au spectateur une liberté qu’il ne s’accorde jamais. Malhonnête.