Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Positif
par Ariane Allard
Certains films ont une âme. Une sensibilité, une justesse, une profondeur si personnelles, si naturelles aussi, qu'elles donneraient presque le vertige. Le 7e long-métrage de Dominique Cabrera, adaptation délicate d'un roman de Maylis de Kerangal, est de ceux-là.
Transfuge
par Élise Lépine
Un film qui nous saisit de sa puissance jusque dans la bande-son, un rap tragique et obsédant écrit par Kamel Kadri, acteur révélé et gamin du cru.
20 Minutes
par Clément Carpentier
C’est une histoire comme seule Marseille peut en produire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
Un film infiniment aimable à l'égard de ses personnages et de ses acteurs.
L'Humanité
par Magali Jauffret
Le dosage de suspense, d’action, d’invention poétique rythme ce film complexe et attachant, crédité, en plus, de deux belles réussites (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Mehdi Omaïs
Dominique Cabrera s’installe entre ces deux eaux, sans jamais préjuger du comportement de ses héros imparfaits -même quand ils s’allient aux caïds du coin-, sans jamais donner de leçons, sans jamais cesser de les aimer pour leurs travers et leurs caractères.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Face à ces acteurs non professionnels, pour incarner Suzanne, elle (Dominique Cabrera) a choisi une comédienne confirmée, Lola Créton (...). Dans des registres distincts, tous sont d’une même justesse, la différence de trajectoire rendant palpable l’antinomie des milieux sociaux de leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Désireuse de coller à la réalité de la Cité phocéenne, la cinéaste souhaitait des acteurs non professionnels. (...) La réalisatrice ne s’est pas trompée. Ils sont étonnants de naturel. Elle a l’art de magnifier tous ceux qu’elle dirige.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans ce cinéma si sensible, ces vertiges de l'amour, rien n'est jamais appuyé, rien n'est jugement, tout est dignité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Adapté d’un roman de Maylis de Kerangal, un film puissant, subtil et sensuel sur cet instant de tous les possibles : l’adolescence.
Libération
par Anne Diatkine
Son originalité, et ce pour quoi il nous euphorise légèrement, est de parier que c’est la beauté qui est subversive, et non son saccagement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
En s'emparant de "Corniche Kennedy" avec modestie, avec énergie, Dominique Cabrera a réussi un joli pari, filmer "avec" l'écriture de Maylis de Kerangal.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Captivant.
Paris Match
par Alain Spira
Arrêtez-vous sur la bande d'urgence de votre cinéma, coupez le contact, et plongez les yeux grands ouverts dans ce film empli d'une saine fureur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre ciel et mer, un saut vertigineux à la rencontre de jeunes gens à l’enthousiasme brut et à la beauté sauvage. Iodé et vivifiant !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Les plongeons vertigineux sont ainsi filmés avec une certaine fluidité, une élégance qui permet d’opposer l’imminence du danger avec la beauté sauvage du décor.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Dans la confrontation à sa propre vie, le risque vaut acte d’accomplissement ; chaque préparation au saut est vécue avec l’intensité du dernier moment. La Corniche devient la brèche où se tiennent ces jeunes faisant face à l’existence : à chaque fois, avec le risque d’aller se fracasser sur la mer, se renouvelle le choix de céder à sa peur ou de la surmonter.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Deux mondes qui se rencontrent, symbolique d’une ville métissée, que la réalisatrice capte avec la précision réaliste du documentaire et avec la justesse sensible d’une fiction d’éducation sentimentale et sociale.
Le Figaro
par Françoise Dargent
De héros, les jeunes deviennent des victimes, et plouf, le film barbote, se disperse et s'étire. On l'aurait aimé encore plus resserré sur cette corniche qui donne son nom au film et des palpitations aux jeunes sauteurs. Elle se révèle en effet diablement photogénique sous la caméra de Cabrera.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La réalisatrice a eu la bonne idée de faire appel à des acteurs amateurs qui, s’ils ne jouent pas toujours très juste, apportent une rage de vivre et une belle authenticité au récit.
Télérama
par Jacques Morice
Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l'enquête policière est en revanche plus maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Tragédie adolescente dans un Marseille sublimé.
Voici
par La Rédaction
Cinéaste engagée, Dominique Cabrera filme Marseille avec amour et ces jeunes avec tendresse. Dommage que le côté polar inabouti parasite cette chronique solaire, poétique et attachante.
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Ce postulat attractif, entre corps rayonnants et regard envieux, est prometteur (…). Hélas, sur cette tension physique et fictionnelle se greffe un scénario policier décalé et factice.
L'Obs
par François Forestier
C’est chaleureux, attachant, mais ça laisse un goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Une fiction policière formatée, option folklore phocéen en prime, dont la mise en scène transparente échoue presque toujours à restituer la sensualité incroyable et la force épique du roman.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Entre chronique de moeurs et polar, le film ne trouve jamais son équilibre. Le sujet (...) pourrait être captivant, mais le tout est truffé d'incohérences.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Comme "Réparer les vivants", de Katell Quillévéré, "Corniche Kennedy" reprend une histoire imaginée par la romancière Maylis de Kerangal en occultant ce qui faisait la qualité du livre : son écriture tendue, tout en relief charnel, sa pulsation rythmée qui semble investie de toute la puissance libidinale de la jeunesse.
Positif
Certains films ont une âme. Une sensibilité, une justesse, une profondeur si personnelles, si naturelles aussi, qu'elles donneraient presque le vertige. Le 7e long-métrage de Dominique Cabrera, adaptation délicate d'un roman de Maylis de Kerangal, est de ceux-là.
Transfuge
Un film qui nous saisit de sa puissance jusque dans la bande-son, un rap tragique et obsédant écrit par Kamel Kadri, acteur révélé et gamin du cru.
20 Minutes
C’est une histoire comme seule Marseille peut en produire.
Elle
Un film infiniment aimable à l'égard de ses personnages et de ses acteurs.
L'Humanité
Le dosage de suspense, d’action, d’invention poétique rythme ce film complexe et attachant, crédité, en plus, de deux belles réussites (...).
LCI
Dominique Cabrera s’installe entre ces deux eaux, sans jamais préjuger du comportement de ses héros imparfaits -même quand ils s’allient aux caïds du coin-, sans jamais donner de leçons, sans jamais cesser de les aimer pour leurs travers et leurs caractères.
La Croix
Face à ces acteurs non professionnels, pour incarner Suzanne, elle (Dominique Cabrera) a choisi une comédienne confirmée, Lola Créton (...). Dans des registres distincts, tous sont d’une même justesse, la différence de trajectoire rendant palpable l’antinomie des milieux sociaux de leurs personnages.
Le Figaroscope
Désireuse de coller à la réalité de la Cité phocéenne, la cinéaste souhaitait des acteurs non professionnels. (...) La réalisatrice ne s’est pas trompée. Ils sont étonnants de naturel. Elle a l’art de magnifier tous ceux qu’elle dirige.
Le Parisien
Dans ce cinéma si sensible, ces vertiges de l'amour, rien n'est jamais appuyé, rien n'est jugement, tout est dignité.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’un roman de Maylis de Kerangal, un film puissant, subtil et sensuel sur cet instant de tous les possibles : l’adolescence.
Libération
Son originalité, et ce pour quoi il nous euphorise légèrement, est de parier que c’est la beauté qui est subversive, et non son saccagement.
Marianne
En s'emparant de "Corniche Kennedy" avec modestie, avec énergie, Dominique Cabrera a réussi un joli pari, filmer "avec" l'écriture de Maylis de Kerangal.
Ouest France
Captivant.
Paris Match
Arrêtez-vous sur la bande d'urgence de votre cinéma, coupez le contact, et plongez les yeux grands ouverts dans ce film empli d'une saine fureur de vivre.
aVoir-aLire.com
Entre ciel et mer, un saut vertigineux à la rencontre de jeunes gens à l’enthousiasme brut et à la beauté sauvage. Iodé et vivifiant !
Critikat.com
Les plongeons vertigineux sont ainsi filmés avec une certaine fluidité, une élégance qui permet d’opposer l’imminence du danger avec la beauté sauvage du décor.
Culturopoing.com
Dans la confrontation à sa propre vie, le risque vaut acte d’accomplissement ; chaque préparation au saut est vécue avec l’intensité du dernier moment. La Corniche devient la brèche où se tiennent ces jeunes faisant face à l’existence : à chaque fois, avec le risque d’aller se fracasser sur la mer, se renouvelle le choix de céder à sa peur ou de la surmonter.
Le Dauphiné Libéré
Deux mondes qui se rencontrent, symbolique d’une ville métissée, que la réalisatrice capte avec la précision réaliste du documentaire et avec la justesse sensible d’une fiction d’éducation sentimentale et sociale.
Le Figaro
De héros, les jeunes deviennent des victimes, et plouf, le film barbote, se disperse et s'étire. On l'aurait aimé encore plus resserré sur cette corniche qui donne son nom au film et des palpitations aux jeunes sauteurs. Elle se révèle en effet diablement photogénique sous la caméra de Cabrera.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice a eu la bonne idée de faire appel à des acteurs amateurs qui, s’ils ne jouent pas toujours très juste, apportent une rage de vivre et une belle authenticité au récit.
Télérama
Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l'enquête policière est en revanche plus maladroit.
VSD
Tragédie adolescente dans un Marseille sublimé.
Voici
Cinéaste engagée, Dominique Cabrera filme Marseille avec amour et ces jeunes avec tendresse. Dommage que le côté polar inabouti parasite cette chronique solaire, poétique et attachante.
Cahiers du Cinéma
Ce postulat attractif, entre corps rayonnants et regard envieux, est prometteur (…). Hélas, sur cette tension physique et fictionnelle se greffe un scénario policier décalé et factice.
L'Obs
C’est chaleureux, attachant, mais ça laisse un goût d’inachevé.
Les Inrockuptibles
Une fiction policière formatée, option folklore phocéen en prime, dont la mise en scène transparente échoue presque toujours à restituer la sensualité incroyable et la force épique du roman.
Studio Ciné Live
Entre chronique de moeurs et polar, le film ne trouve jamais son équilibre. Le sujet (...) pourrait être captivant, mais le tout est truffé d'incohérences.
Le Monde
Comme "Réparer les vivants", de Katell Quillévéré, "Corniche Kennedy" reprend une histoire imaginée par la romancière Maylis de Kerangal en occultant ce qui faisait la qualité du livre : son écriture tendue, tout en relief charnel, sa pulsation rythmée qui semble investie de toute la puissance libidinale de la jeunesse.