AlloCiné
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Votre avis sur L'un dans l'autre ?
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"si tu étais à ma place tu comprendrais... oui mais je ne suis pas à ta place" et puis vient la musique, les violons et le piano sur la scène de ce film à concept si rare dans le cinéma français depuis quelques années. C'est vrai, le film à concept qui tient sur un pitch écrit sur un ticket de métro développé par un groupe "d'auteurs" qui se disent "ouais, ça c'est top!" et produit par des potes qui leur disent "mais oui ça va cartonner!"; mais non ce n'est pas top, c'est devenu, entre "je suis radin", "je suis une femme et j'ai un zizi", "je partage la coloc avec mon mari" etc etc le fer de lance de la pauvre comédie pas drôle à la française. Et là, dans ce film, l'un dans l'autre, rien n'y est bon, original, de la réalisation à la musique pathétique et martelante (c'est triste on met des violons, c'est gai on met du rythme... ouaiiisss!) Mais non, et puis pour le coup, le scénario et les dialogues (l'outil de base) est déjà sur écrit, les situations, le rythme, rien de rien n'est bon, et du coup même ces comédiens ne s'en sortent pas, ils posent, physiquement, ils ne s'échangent pas, ne sont pas juste, ne savent pas s'en sortir avec les mots qu'on leur a proposé, la direction d'acteur qu'on leur a demandé... Et moi qui aimais tant louise bourgouin la trouvais si drôle et petillante, elle n'est plus rien de tout ça et ne joue même plus juste. Normal, me direz vous, mais il fallait lire le scénario et bien voir que le réalisateur n'allait rien en faire de bien mieux, au contraire... L'un dans l'autre c'est un naufrage. et la seule fois où j'ai ri c'est au tout début, il y a un figurant avec une mèche de cheveux à tomber par terre. Merci le figurant !
Simplicité assurément, Bruno Chiche offre une jolie affiche à Stéphane de Groodt et Louise Bourgoin avec « L’un dans l’autre’, un mic mac doux et drôle… Un peu bric à brac.
A vrai dire, tout commence dans le titre: « L’un dans l’autre ». L’expression peut paraître anodine car tournée à la dérision dans le film mais elle découle sur une finalité charnelle… « Charnelle » qui rime avec un interdit sexuel, à l’image de la relation entre nos deux personnages, amis et amants.
De là, c’est avec un déclic surprise que le lancement du film s’opère, un petit « choc » appuyant l’assimilation de la relation. L’exacte sentiment qui en ressort sent le déjà vu, en particulier dans l’excellent « Plan de Table »… Une mini surprise de départ qui sonne comme un rebondissement pervers mais qui fait tout de même sourire.
Le concept n’est autre qu’un échange d’identité intérieur : Physiquement, rien ne change, mais leur âme respective vont être interverties.
Alors que la découverte du sort s’avère très perturbante, le temps d’adaptation auquel doivent faire face nos amants et surtout nous, spectateur, est balayé. Le sujet est à peine lancé qu’il est sans encombres pour nos protagonistes ; Or, notre raisonnement étant perdu, une perte de crédibilité désavoue l’imagination du métrage.
En revanche, le jeu de Pierre et Pénélope repose admirablement sur de la communication verbale, des expressions de la gestuelle. Un travail de fond révélateur du talent de nos compères.
S’enchaîne tous les ingrédients nécessaires à la composition d’une comédie moderne et réformistes. Situations rocambolesques, malaises comiques, le fond de l’histoire permet un panel de péripéties extensibles, le sujet de la découverte de l’autre sexe étant vaste dans son exploration.
Aussi, « L’un dans l’autre » se dispense d’un explication qui se veut inconsciemment logique quant à cet échange corporel. Qu’elle soit rationnelle ou imaginative, le film finit par oublier le contexte au point de bâcler son final, toujours sans justification…
Voilà l’exact exemple de film français qu’une production américaine reprendra pour en faire une version outre-atlantique. Il est oser d’intégrer un scénario a fortiori psychologique dans une comédie, cependant, en ne se reposant uniquement que sur les jeux d’acteurs, le fil s’effrite et la qualité aussi. Dommage.
Bilan : Sympathique, gentil, léger, seulement, d’un travail de fond à un jeu d’acteur, l’un ne va pas sans l’autre…
Plus de critiques et de cinéma sur Cinephilion.net !
A vrai dire, tout commence dans le titre: « L’un dans l’autre ». L’expression peut paraître anodine car tournée à la dérision dans le film mais elle découle sur une finalité charnelle… « Charnelle » qui rime avec un interdit sexuel, à l’image de la relation entre nos deux personnages, amis et amants.
De là, c’est avec un déclic surprise que le lancement du film s’opère, un petit « choc » appuyant l’assimilation de la relation. L’exacte sentiment qui en ressort sent le déjà vu, en particulier dans l’excellent « Plan de Table »… Une mini surprise de départ qui sonne comme un rebondissement pervers mais qui fait tout de même sourire.
Le concept n’est autre qu’un échange d’identité intérieur : Physiquement, rien ne change, mais leur âme respective vont être interverties.
Alors que la découverte du sort s’avère très perturbante, le temps d’adaptation auquel doivent faire face nos amants et surtout nous, spectateur, est balayé. Le sujet est à peine lancé qu’il est sans encombres pour nos protagonistes ; Or, notre raisonnement étant perdu, une perte de crédibilité désavoue l’imagination du métrage.
En revanche, le jeu de Pierre et Pénélope repose admirablement sur de la communication verbale, des expressions de la gestuelle. Un travail de fond révélateur du talent de nos compères.
S’enchaîne tous les ingrédients nécessaires à la composition d’une comédie moderne et réformistes. Situations rocambolesques, malaises comiques, le fond de l’histoire permet un panel de péripéties extensibles, le sujet de la découverte de l’autre sexe étant vaste dans son exploration.
Aussi, « L’un dans l’autre » se dispense d’un explication qui se veut inconsciemment logique quant à cet échange corporel. Qu’elle soit rationnelle ou imaginative, le film finit par oublier le contexte au point de bâcler son final, toujours sans justification…
Voilà l’exact exemple de film français qu’une production américaine reprendra pour en faire une version outre-atlantique. Il est oser d’intégrer un scénario a fortiori psychologique dans une comédie, cependant, en ne se reposant uniquement que sur les jeux d’acteurs, le fil s’effrite et la qualité aussi. Dommage.
Bilan : Sympathique, gentil, léger, seulement, d’un travail de fond à un jeu d’acteur, l’un ne va pas sans l’autre…
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Une comédie simple mais efficace, avec un charisme brute et des aires de romantismes attendrissant. Avec en première ligne Louise Bourgoin ("Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec") et Stéphane De Groodt ("Barbecue"), suivi de Pierre-François Martin-Laval ("Les Profs 2") et Aure Atika ("Tout pour être heureux"). L'Un dans l'autre est une comédie fort sympathique, d'un ton enjoué. 4/5 ****
Bon, je ne vais pas écrire d'éloges ni critiquer ce film. Il est a voir ou pas, mais quand on l'a vu une fois je ne pense pas qu'on est envie de le revoir une nouvelle fois ! Le jeu d'acteur est bon, il n'y a rien à dire mais l'histoire est bof...
En faisant l'amour et avec une pluie de lumière de paillettes.... on est l'un dans l'autre mouai...Bon ba je crois que j'ai tout dit.
En faisant l'amour et avec une pluie de lumière de paillettes.... on est l'un dans l'autre mouai...Bon ba je crois que j'ai tout dit.
2/5 parce qu'il faut soutenir le cinéma français et que c'était tarif réduit ! Sinon pour le reste pas de quoi fouetter un chat. Quelques gags, mais rien d'hilarant au point de se rouler par terre.
une bonne comédie, on passe un bon moment de plaisir. ça reste simple mais efficace. moment de détente à partager
envie de vous changer les idées et de passer un agréable moment à rire alors pas de soucis faut foncer le voir. moi j ai apprécié très frais et une histoire sans problème
Encore une comédie très moyenne au sujet éculé. Encore une comédie qui ne fait pas rire. C’est bien fade et assez plat.
Le film fonctionne sur des quiproquos qui à la longue deviennent fatiguant. Pef me fera toujours rire mais bon le film passe rapidement et c’est pas si mal
Fillm très marrant je ne comprend absolument pas les critiques, bien que le début mitigé, j'avais peur que ca fasse sur-jouer mais enfaite non, ca s'enchaine petit a petit avec de vrai moment cocace!
Y'a pas 15min ou on sennuis avec les vrai stigmate des hommes et des femmes dans tout ca splendeur,absolument hilarant et bien joué,bien que simplet le jeu d'acteur.!
Y'a pas 15min ou on sennuis avec les vrai stigmate des hommes et des femmes dans tout ca splendeur,absolument hilarant et bien joué,bien que simplet le jeu d'acteur.!
L'idée qu'un homme devienne une femme et inversement, qui n'en a jamais rêvé ? Le Film exploite bien cette idée d'un point de vue de ce que les hommes et les femmes rêvent de faire dans le corps du sexe opposé, mais surtout sur les choses négatives qu'on ne pensent pas forcément. Tout ceci est assez drôle à voir, on y passe donc un bon moment. Le Film est surtout réussi grâce aux performances exceptionnelles de Louise Bourgoin et de Stéphane De Groodt ! Contrairement à ce que J'ai pu lire, la Fin n'est pas Trop prévisible à mon goût.
après avoir vu les critiques pas très élogieuses, je m'attendais à une catastrophe; en fait, pas du tout c'est sûr c'est pas la comédie de l'année mais cela reste convenable, mon point de vue. une histoire intéressante avec quelques bonne république bien trouvées ainsi que des moments assez drôle. aucun regret, donc, j'ai passée un bon petit moment en salle obscure.
Bonne étude des attitudes féminines ou masculines ainsi que la façon de penser associée. Les acteurs sont à la hauteur pour relever le challenge de changer de peau mais j'avoue ne jamais avoir vraiment ri. On passe néanmoins un bon moment.
Une bonne idée de scénario avec une réalisation plutôt réussie qui en fait une comédie drôle et sympathique, d'une durée raisonnable. Un bon moment de détente !
Les comédies françaises ont de plus en plus de mal à être de vraies comédies. L’histoire de changer de corps, un truc vieux comme le cinéma, a toujours mené à des situations burlesques, de la folie, des fous rires. Ici, bien que le moment ne fut pas désagréable, on n‘a jamais vraiment ri, c’est trop gentillet, trop dans la mesure, on se moque un peu des clichées sans aller jusqu’au bout. Pire, on essaie de donner un côté philosophique au truc, genre hommes et femmes pourraient se comprendre s’ils étaient à la place de l’un l’autre, mais même là ils ne font que gratter la surface du débat. Comme dirait l’expression, on est le cul entre deux chaises, à ne pas choisir entre film drôle ou psychanalytique, on n’est ni l’un ni l’autre. Le réalisateur lui doit plutôt avoir son postérieur tranquillement installé dans son canapé sans jamais chercher le risque ou l’originalité. Dommage, car entre Louise Bourgoin, Stéphane De Groodt et Pierre-François Martin-Laval, le casting est plutôt bon, les personnages sont sympathiques, mais ça ne va jamais au fond des choses alors que c’était bien là l’intérêt ! Bref, un film correct mais paresseux.
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