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    Gauguin - Voyage de Tahiti
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 septembre 2017
    Film mou, ennuyeux, et soporifique, (meme avec Cassel qui fait du Cassel). Un biopic qui se permet une adaptation bien particulière et édulcorée de la vie de Gauguin. Un scénario d’un vide absolu et un retour en arrière du cinéma francais. Un vrai gâchis car le sujet avait du potentiel. A éviter. Mieux vaut aller au musée !
    papalou
    papalou

    15 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Vincent Cassel est très crédible dans ce biopic très conformiste et édulcoré de ce Génie de la peinture.
    En effet Le décryptage de ce recit aboutit à la révélation que Guauguin est un pedophile et un colonisateur blanc particulièrement repoussant.
    Au final assez peu d'intérêt car rien n'est approfondi: superficielle à souhaits !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    Très beau film qui nous fait voyager au plus près des tiraillements de la vie d'un artiste, ne souhaitant pas s'abonner à ce qu'on attend de lui.
    Contrairement à ce que l'on peut lire dans les commentaires, Gauguin n'était pas encore atteint de la syphilis à cette époque. Laissez vous donc transporter par cette quête de l'absolu!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    glorifier un peintre malade qui a vécu des histoires de sexe avec des enfants . Le talent n'excuse pas tout !
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    Le film raconte un épisode de la vie de Paul Gauguin : son premier séjour à Tahiti débutant en 1891, jusqu’à son rapatriement.

    Laissant femme et enfants en Europe, sans le sou, Paul Gauguin espère trouver matière à créer et de quoi vivre en Polynésie Française. Il va y rencontrer Tehura. Si sa créativité est foisonnante, il ne parviendra pas à gagner sa vie.

    Le film d’abord, met en valeur l’île de Tahiti et ses habitants. Edouard Deluc dépeint des personnes simples et aimables, juste paisibles et accueillantes. La présence française fait un peu tache. Sinon, elle a apporté religion, médecine et nouvelles modes vestimentaires.

    Paul Gauguin apparaît comme un homme déchu et pauvre, malgré le long moment de bonheur que lui a apporté Tehura. C’est incroyable à quelle point la jeune actrice ressemble aux femmes des tableaux de l’artiste.

    J’apprécie les films sages, voire académiques lorsqu’il s’agit de parler d’artistes, même des avant-gardistes, cela leur laisse humblement toute la place sur l’écran.

    Le seul reproche : le manque de couleurs. Les tableaux du peintre sont à ce point colorés et lumineux, cette lumière n’est pas rendue par l’image cinématographique. La lumière vient des désirs de l’acteur, y compris celui de peindre, et de la jeune Tehura.
    Mon blog : larroseurarrose.com
    Johanna V.
    Johanna V.

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    [FEMINISME] [SEXISME] Hier, j'ai vu un film ou un monstre, pédophile, violeur, misogyne et syphilitique devient un grand peintre dévasté, pauvre et dont il faudrait avoir pitié.
    Hier, j'ai vu l'histoire d'une jeune fille de 13 ans, abusée, violée, contaminée, vendu et abandonnée, devenir une femme infidèle, consentante et détestable.
    Hier, je me suis détesté en regardant ces images, car même en sachant la vérité sur cette histoire, j'ai voulu détester cette femme qui n'a que trop souffert et à qui on enlève toutes chances encore une fois d'être reconnu comme victime.
    Hier, je pleurais de colère. Alors que l'histoire de l'art avance sur la vérité caché de ce personnage monstrueux qu'était Gauguin, le cinéma lui recule et pose encore une fois le doigt sur quelque chose de trop courant dans cette société : LA CULPABILISATION DES FEMMES ou même L'INVISIBILISATION DE LA SOUFFRANCE DES FEMMES (ou comme la BD de Emma "la faute des femmes").

    Gauguin à Tahiti c’était un colon, qui abusait des jeunes filles de 13 et 14 ans, dont il cachait cette forme de relation à sa fille, elle même âgé de 13 ans. Je vous cite un bout du texte de Chantal Spitz, écrivaine polynésienne :
    "«Cette jeune fille, une enfant d'environ treize ans, me charmait et m'épouvantait; que se passait-il dans son âme? et dans ce contrat si hâtivement conçu et signé j'avais la pudeur hésitante de la signature, moi presque un vieillard.» Noa noa.
    «Je vis avec 100 francs par mois, moi et ma vahine, une jeune fille de treize ans et demi.» Lettre à Monfreid, avril, 1896.
    «Il me reste à vous dire que Tahiti est toujours charmante, que ma nouvelle épouse se nomme Pahura, qu'elle a quatorze ans, qu'elle est très débauchée.» Lettre à Vallette, juillet, 1896.
    Gauguin vivant le mariage de Loti... mythe oblige... pense qu'il suffit de traverser les océans et s'installer à Tahiti pour se permettre impunément des comportements criminels réprimés par les lois de son pays car si ce n'est pas de la pédophilie c'est au moins un détournement patent de mineures. Que la vie sexuelle féminine commençât à la puberté dans un monde aux expressions humaines différentes de l'Europe ne dédouane nullement les Occidentaux qui se vautraient dans les corps du délit oublieux de la morale qu'ils exigeaient sans doute pour leurs filles restées aux pays."

    Ce film veut nous faire croire à une complicité entre la victime et son violeur. Ce film ne représente même pas l'âge réel de Tehura, masqué sous les traits d'une nouvelle actrice qui en parait bien 25. Peut être par peur d'un scandale ? Fort probable étant donné la scène de sexe au milieu de film entre les deux amants, avec une fille de 13 ans le public n'aurait pas apprécié. Autant caché la vérité.

    Ce film nous romance cette histoire atroce, voyant deux personnes s'aimant, égoïstement, séparé par deux cultures et deux manières de vie bien différente et ne cite à aucun moment la pédophilie, la syphilis ou la misogynie de ce personnage reconnu aujourd'hui dans l'histoire. Que reste-il dans ce film du vrai Gauguin ? Rien.

    Ce film est une honte pour toutes ces femmes non consentantes, utilisées pour des spectacles sexuels, offertes aux visiteurs, "confiées" par leur famille au premier colon qu'ils voient. (Source : écrits des voyageurs). Ce film est une honte qui ne défend pas la colonisation chrétienne certes, mais qui défend le sexisme, le pédophile et le violeur qu'était Gauguin, au détriment de l'histoire coloniale et de ses conséquences !

    Une question d'époque dirait vous , de culture ? Le consentement n'a ni culture, ni époque, ni continent.

    Non Monsieur Deluc, Non Monsieur Levy, même si je vous ai trouvé fort sympathique et ouvert à la discussion, vous prenez trop de liberté sur l'interprétation du livre Noa noa. Vous prenez trop de liberté sur la vie de Gauguin et continuez de déconstruire le travail de nombreux historien-nes et historien-nes de l'art durant des années au seul titre de montrer un beau film aux merveilleuses images (que je reconnais).

    Il faut qu'on arrête de propager l'image glorieuse de cet homme ! Partagez !

    Je vous invite donc à regarder cette vidéo d'une conférence d'une historienne de l'art, Lise Martinot, qui explique bien la vie, la peinture, le personnage de Gauguin, mais aussi elle analyse et cite des sources importantes pour comprendre où se situer aujourd'hui par ces nombreuses recherches et vérités : art d'histoire sur YouTube

    Je vous invite aussi à lire Chantal Splitz, écrivaine polynésienne, sur la question.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    L'acteur principal livre une belle prestation en tant que Gauguin.
    Aussi le film est bien réalisé et soigné.
    Et les paysages sont magnifiques.
    Ce film historique m'a plu et m'a permis de m'évader un peu.
    sunset124
    sunset124

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    Esthetisme dans les images. par contre décevant en terme de scenario et du jeu d acteur de vincent cassel. En 45 mn, l 'histoire était dite. Ayant lu une critique assez vive du magazine jeune afrique qui dénonce gauguin,un colonisateur blanc atteint de sysphillis qui profite de la naivite d une fille de 13 ans, je ne vois qu un artiste en quete d ailleurs et de muse pour transcender et survivre à son art, vivant dans le plus grand dénuement, enfin presque car ce film est d'un terrible ennui. Une fresque avec les oeuvres du peintre et des beaux paysages aurait sans doute suffit.
    Jean-Claude P.
    Jean-Claude P.

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2017
    Déçu, film nul !
    Film plat, sans charisme.
    J'aime Gauguin, j'aime Tahiti mais là c'est mal joué et pas de dialogue.
    Les images de Tahiti sont grises sans couleur, les peinture de Gauguin sont grises aussi.
    C'est très mal filmé.
    Où sont les couleurs vives de Gauguin, la beauté de l'île ?
    Cassel surjoue très mal, on s'ennuie pendant le film.
    Du pure film Français caricatural.
    Alors qu'il y avait un chef d'oeuvre à faire sur ce sujet.
    Quel gâchis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    C'est très beau, très bien filmé, très bien joué mais on s'ennuie pas mal. Le meilleur du film est dans la BA !
    Les tableaux de Paul Gauguin n'apparaissent pratiquement qu'avec le générique. Pourquoi ne pas nous en avoir distillé quelques-uns dans leur cadre d'oriigine ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 septembre 2017
    Ce film fait l'apologie d'un colon PEDOPHILE dont l'art portrait la nudité (et sexualité) de petites filles d'a peine 13ans, et ca personne n'en parle. Comment est ce que personne ne s'offusque du fait meme que les "femmes de Gauguin" dont le film parle sont toutes des gamines a peine pubères, ce qui est a peine mentionné dans le film. Meme en metropole en ces temps la, il serait allé en prison pour ce qu'ils faisait a ces filles. Et le fait de de l'ériger en artiste révolutionnaire sans parler de la face sombre et cachée de ses actes et de son art est tout simplement honteux.
    Corinne H
    Corinne H

    34 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    Beaucoup trop de mensonges dans ce film qui édulcorent cet épisode dans la vie de Gauguin. L'âge de ses maîtresses tahitiennes qui avaient 13-14 ans seulement. Et il n'avait pas du diabète mais la syphilis. Le film essaie de le faire passer pour un marginal alors qu'au fond il s'est comporté comme un colon blanc tout à fait typique.
    Étonnant qu'ne 2017 on ne parvienne toujours pas à faire un film qui n'édulcore pas notre passé colonial.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    Un film superbe, calme et serein, sur un personnage tourmenté et plein de contradictions. La mise en scène, précise et ample, porte magnifiquement le sujet, en évitant l'écueil de la carte postale dépaysante. La musique de Warren Ellis accompagne parfaitement le personnage de Gauguin. Un film qui ne ressemble à aucun autre (et surtout pas à un biopic!), et qui fait du bien au milieu d'un cinéma trop souvent porté sur le spectaculaire. Chaudement recommandé!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    Plus qu'un simple biopic, ce film est l'histoire d'un homme en (re)construction. L'artiste se cherche, se perd et se retrouve dans un univers polynésien fantasmé, où la temporalité semble totalement bouleversée.
    Les images sont sublimes, les acteurs (Vincent Cassel en tête) jouent à la perfection : Edouard Deluc est décidément un superbe conteur !
    Gerry O.
    Gerry O.

    23 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2017
    Ce film pourrait être un biopic convenu de plus consacré aux maîtres de la peinture, mais des ellipses opportunes dans le scénario en font une œuvre au mieux incroyablement maladroite, au pire parfaitement abjecte. Car malgré ce que pourrait laisser croire le biopic, elle ne fut pas la seule à partager la vie de l’artiste dans l’île : il y eut aussi la jeune prostituée métisse Titi, ainsi que Pau’ura et Vaeoho (toutes deux 14 ans. enfin, dernier oubli, le maître était atteint de syphilis, maladie sexuelle potentiellement mortelle, qu’il distribua généreusement à Tahiti. Dans le film, Gauguin se voit seulement diagnostiquer un méchant diabète… on en pleurerait de rire si ce n’était aussi grave.
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