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Votre avis sur Gauguin - Voyage de Tahiti ?
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Santu2b
Premier long-métrage d'Édouard Deluc, "Gauguin" aurait pu être intéressant par le point de vue choisie. L'oeuvre n'est en effet pas un biopic traditionnel mais plutôt une tranche de vie qui est racontée ; celle que le peintre passa en Polynésie à partir de 1891, marié à la jeune Téhura. Cependant pour l'originalité, on s'arrêtera là. Car bien que concentré sur cette tranche de vie, "Gauguin" n'en demeure pas moins une biographie ultra scolaire aux images léchées façon carte postale. Vincent Cassel est globalement bon. Hormis ces observations de forme, le film a déjà fait l'objet de nombreuses critiques sur le fond, portant sur la nature des relations sexuelles de l'artiste, la paternité des oeuvres, ou encore le contexte colonial ; autant d'éléments largement passés sous silence. L'ensemble est loin d'être un mauvais film, seulement on espère un prochain moins conventionnel à l'avenir.
Ayant vécu plus de 30 ans en Polynésie française, je trouve ce film juste. Il réhabilite quand même l’image de Gauguin qui a été en Polynésie sérieusement abîmée. C’est en fait une belle histoire d’amour, je la crois véritable. C’est aussi la démonstration de la fin de deux mondes : le monde des maori qui n’existe plus à Tahiti depuis l’arrivée de l’Évangile et des colons et le monde européen du XIXe siècle. Le réalisateur a su trouver sur l’île même de Tahiti, les derniers endroits où la nature ressemble à peu près à ce qu’elle était du temps de Gauguin. Il y a de magnifiques images et une belle lumière. Les Polynésiens qui jouent dans le film sont affables, gentils, sociaux et gracieux comme ils le sont encore aujourd’hui dans les îles les plus éloignées possible de Papeete.
Une excellente interprétation par un très grand Cassel justifie les deux étoiles.
Pour le reste c'est un film paresseux aux élipses insupportables.
Pour le reste c'est un film paresseux aux élipses insupportables.
Une belle photographie et l' interprétation convaincante de Vincent Cassel rendent le film agréable à suivre, il donne même envie de mieux connaitre l'oeuvre du peintre. Il reste tout même des passages un peu creux.
defleppard
Ennuyeux sur la longueur.................scénario très mince.....................manque d'épaisseur...............déçu...........2 étoiles......!!!!!!
Avec Gauguin - Voyage de Tahiti, le réalisateur Edouard Deluc évite de tomber dans le piège de la représentation carte postale de la Polynésie Française. Filmée avec simplicité et une certaine contemplation tout de même, cette beauté naturelle se suffit à elle-même, permettant au réalisateur de rester focaliser sur son personnage littéralement habité par Vincent Cassel (comme à son habitude) lui donnant à la fois un côté attendrissant mais aussi antipathique. Si la réalisation reste correcte et en soit assez académique, les choix de Deluc peuvent faire débats, comme toute adaptation de biopic, ce dernier se concentrant sur la quête de la perfection artistique et les troubles mentaux que cela impliquera chez l'artiste. Un point de vue, certes intéressant et faisant partie intégrante de l'histoire de Gauguin, mais qui délaisse complètement la technique artistique, ainsi que les problèmes de mœurs auxquels a été confronté le peintre.
Ma critique complète sur mon blog: mesmotsen169.blogpost.fr
Ma critique complète sur mon blog: mesmotsen169.blogpost.fr
Le premier voyage de Gauguin à Tahiti en 1891. Interprété par un Vincent Casse tranformé, affaibli , vielli, tourmenté, dépouillé, dévoré par sa passion de peindre inspiré uniquement par sa muse. Il incarne parfaitement la solitude du peintre sa maladresse de vivre le quotidien, d'aimer les autres, de vivre tout court.
Les paysages de Polynésie sont renversants, les Tahitiens aussi, mais on aurait aimé une biographie plus riche, pour mieux comprendre le parcours de ce peintre de génie, plus riche pour mieux comprendre sa souffrance son oeuvre.
Un peu trop de longueurs un scénario un peu scolaire et pauvre , on est plus dans la comptemplation plutot que dans certaines explications évidentes sur sa complexité et l'abandon des siens et surtout de sa muse, qui manquent au rythme du film, mais Vincent Cassel relève le film avec une interpretation impressionnante on y croit, mais c'est plus la peinture de Gauguin que Gauguin lui même qui y est consacré.
Les paysages de Polynésie sont renversants, les Tahitiens aussi, mais on aurait aimé une biographie plus riche, pour mieux comprendre le parcours de ce peintre de génie, plus riche pour mieux comprendre sa souffrance son oeuvre.
Un peu trop de longueurs un scénario un peu scolaire et pauvre , on est plus dans la comptemplation plutot que dans certaines explications évidentes sur sa complexité et l'abandon des siens et surtout de sa muse, qui manquent au rythme du film, mais Vincent Cassel relève le film avec une interpretation impressionnante on y croit, mais c'est plus la peinture de Gauguin que Gauguin lui même qui y est consacré.
Quelle honte !!! Ecrire que cette fille est devenue "SA FEMME" sous entend qu'ils se sont mariés. "SA FEMME" était une fillette de 13 ans qu'il a enlevée d'une institution religieuse dès son arrivée aux Marquises, la coupant ainsi définitivement de sa scolarité. Si des gens estiment que c'était de l'amour, alors c'est un type d'amour très ciblé, et répétitif à l'égard des jeunes filles à peine pubère. Le gauguin paul (minuscules de rigueur) n'en était pas à son coup d'essai puisque avant celle-ci il y en a eu une autre de 13 ans et une de 14 ans. Bref : du tourisme sexuel avant l'heure, mais celui-ci était totalement gratuit et sans risques judiciaires pour pédo-criminalité. On comprend mieux à la lumière de ces éclaircissements pourquoi le gauguin est revenu en Polynésie après son premier séjour, et pourquoi il a quitté Tahiti où il était grillé, pour venir aux Marquises dans un endroit "moins colonisé", c'est à dire où l'autorité étatique et les institutions françaises étaient moins fortes, lui permettant ainsi de pratiquer sa perversité sexuelle.
Ce film prétendument biographique ne se contente pas de mentir par omission, il ment en toute connaissance en présentant sa concubine-enfant sous l'apparence d'une jeune femme adulte.
Cette bien-pensance des responsables de ce film et de la plupart des critiques revient tout simplement à de la complicité pour ce genre de comportements criminels.
A DENONCER, et à BOYCOTTER !!!
Ce film prétendument biographique ne se contente pas de mentir par omission, il ment en toute connaissance en présentant sa concubine-enfant sous l'apparence d'une jeune femme adulte.
Cette bien-pensance des responsables de ce film et de la plupart des critiques revient tout simplement à de la complicité pour ce genre de comportements criminels.
A DENONCER, et à BOYCOTTER !!!
Les paysages sont jolis mais le film est lent. Je ne participerai pas à la polémique car un film reste une oeuvre et n'est pas un documentaire mais celles ci ont tout de même tâché la toile
Malgré un Vincent Cassel en tête d’affiche qui attire l’œil, Gauguin est un biopic très lent, qui certes s’amuse à filmer une star, de la même façon que dans Lost in translation. Un film de 2017 à oublier, malgré certaines scènes assez intéressantes. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 2/5
quel honte d'aller exhiber un artiste qui a pratiqué la pédophilie ! on ne peut pas concevoir que l'art excuse tout ... Gauguin a peut être fait de beaux tableaux, mais il aussi transmis la syphillis à toute une région et a profité de jeunes filles sans se poser de question.
Vincent Cassel est plutôt très bon dans ce film et très crédible dans le rôle de Gauguin.
Le contexte est bien reconstitué, la fuite en avant avec les cimes artistiques atteintes par le peintre se sentent bien, et l'ambiance du film donne une évidence. Beau voyage.
Le contexte est bien reconstitué, la fuite en avant avec les cimes artistiques atteintes par le peintre se sentent bien, et l'ambiance du film donne une évidence. Beau voyage.
L'atmosphère ressentie à la lecture de Noanoa est bien retranscrite à l'écran. Les deux acteurs principaux sont excellents. Mention spéciale pour Tuhei Adams une merveilleuse Tehura.
Conseil : lire Noanoa avant d'aller au cinéma sinon le spectateur peut être un peu sceptique devant le film.
Conseil : lire Noanoa avant d'aller au cinéma sinon le spectateur peut être un peu sceptique devant le film.
Il y a certes quelques longueurs, un peu de noirceur, mais la découverte d'une part de la vie de l'artiste, ses questionnements, les revers de l'art popularisé rentable face à l'oeuvre unique mais qui ne fait pas forcément vivre.
Clémentine K.
Une histoire prometteuse mais un film qui débute très lentement et de manière assez "bordélique". Je ne m'attendais pas à une telle introduction mais je suis restée attentive à la suite et n'ai pas été déçue.
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