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    Gauguin - Voyage de Tahiti
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    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    32 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2019
    Edouard Deluc nous dresse un portrait de Gauguin méticuleux mais quelque peu ennuyeux. Cependant, Vincent Cassel livre une belle performance.
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 décembre 2018
    un film ennuyeux très lent malgré l'interprétation impeccable de vincent cassel. On n'apprends pas beaucoup de chose sur l'artiste qui a fini dans la misère et la solitude.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 novembre 2018
    Dans le biopic ici présent, on n’en apprend que peu du processus créatif qui prévalait chez Paul Gauguin, simplement qu’il fut sans doute essentiel pour lui de tout plaquer et de filer à l’autre bout du monde s’abreuver d’un imaginaire lointain et vivre dans une sorte de paix des premiers âges pour passer à la postérité : en 1891, le peintre quitte la France et s’installe sur un îlot polynésien isolé, où il s’amourache de la jeune Téhura, à la fois muse, modèle et jouet sexuel. La faute de goût est évitée : les îles Marquises ne sont pas filmées comme une destination de vacances exotique : c’est une terre dure, humide, de roches rugueuses et de terre noire, même si le film ne résiste pas à l’envie d’opposer de manière maladroite les Indigènes simples et bienheureux et le civilisé tordu et pathétique...car ce qu’Edouard Deluc essaye surtout de montrer, c’est la déchéance d’un homme : derrière ses postures libertaires, Gauguin est un être égoïste, jaloux, tracassier, frustré en permanence par le manque de reconnaissance de son art, dont les conditions de vie vont se détériorer à mesure qu’il sombrera dans la pauvreté et la solitude. Le tableau à charge étant déjà bien rempli, la réalisation jette un voile pudique sur le fait que Téhura était en outre bien plus jeune que le laisse supposer l’actrice qui l’incarne à l’écran. Sans qu’on puisse lui reprocher d’être ennuyeux ou mal fagoté, il n’y a guère de raisons qu’on se souvienne avec émotion d’un film où on en apprend peu sur Gauguin (d’ailleurs phagocyté à l’écran par Vincent Cassel), encore moins sur la Polynésie de l’époque coloniale et encore un peu moins sur la peinture.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    300 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2018
    La performance de Cassel est là, c'est certain. Mais difficile de ne pas pousser des bâillements polis devant cette histoire certes intéressante, ce portrait d'un homme rongé par ses démons autant que sa maladie. La mise en scène est très classique, et le réalisateur n'apporte pas de grande plus value par rapport à son sujet. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 mai 2019
    Avec Gauguin - voyage de Tahiti, le film fait le choix de nous plonger sur une partie de la vie de cet artiste. L'histoire nous montre bien la personnalité et les tourments de Gauguin. J'etais loin de penser la vie qu'il a mener et la relation particuliére qu'il a noué avec la population locale. L'interprétation de Vincent Cassel est remarquable. On sent l'investissement et le personnage ancré au fond de lui pour livrer une très belle prestation.

    Pour la culture et comprendre l'inspiration de Gauguin, le film vaut le coup d'oeil !
    didbail
    didbail

    31 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Quelle déception ! Ce film ne raconte rien d'intéressant, ne parvient à aucun moment à saisir ce qui a pu unir Tehura et Gauguin, est loin de la sensualité des toiles du peintre. On ne retrouve jamais l'univers de Gauguin.
    DarioFulci
    DarioFulci

    107 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Bonne idée que de se pencher uniquement sur un épisode de la vie de Gauguin plutôt que de se vautrer dans les tartines existentielles d'une vie que l'on veut raconter du début à la fin.
    Sauf que le film est désespérément mou. L'incandescence du jeu de Vincent Cassel n'y peut rien. On s'ennuie ferme après les 20 premières minutes.
    Comme si le réalisateur n'avait pas grand chose à dire finalement et finit par baisser les armes pour réduire son récit à une ligne académique. Ce fameux piège où les biopics se cassent presque tous la figure. Quel dommage de n'avoir rien à raconter sur les idéaux, les déceptions, les découvertes du peintre en dehors de scènes explicatives vertement expédiées. Tout ce qui a trait à sa famille est caricatural. Caricature qui guette malheureusement chacune des intentions du film, jusqu'aux acteurs dans la dernière partie.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    Une tranche de vie, les dernières apparemment de Gauguin. Celle concernant son exil volontaire à Tahiti. Il avait un grand besoin de fuir Paris et la vieille Europe où il semblait nous dire, à travers ses potes artistes, qu’elle n’était plus source d’inspiration. Il est vrai que Tahiti offre aux artistes une palette de couleurs, de contraste, de lumière, de portraits assez extraordinaire. Et l’on voit notre Gauguin aussi pauvre qu’à Paris mais au soleil, sous d’autres tropiques, loin de l’agitation hystérique de la capitale. Et quand il pleut, la grisaille est plus supportable et plus colorée qu’à Paris. Quant aux femmes, elles sont sources de ravissement. Un Gauguin acétique, souffreteux, l’artiste maudit par excellence. L’artiste qui vit sa passion sans concession, jusqu’au boutisme. Encore une tranche de vie instructive. On y voit aussi un Gauguin sensible, miné par le fait de ne pas pouvoir assurer le minimum à sa jeune compagne, son égérie, Tehura. Classique comme dirait l’autre. Quand le film fut terminé, je saluais la prestation de Vincent Cassel, l’incarnation de son personnage était saisissante. Un film par moments contemplatif, qui prend le temps de prendre son temps, comme on devait le prendre avec évidence en cette fin de siècle sous les tropiques. Comme tout biopic, j’approfondis le sujet et de lignes en sites comme celui de « France Afrique » je m’aperçois que le Gauguin décrit n’a rien à voir avec celui du réalisateur. Je creuse ma recherche dans les critiques et m’aperçois que ceux qui n’ont pas aimé ignorent complètement l’aspect artistique du film pour s’en prendre au personnage à qui l’on a gommé ses mauvais côtés. Je le dis et le répète : peu importe la façon dont le réalisateur aborde son biopic. Peu m’importe que ce soit académique, de la naissance à la mort ; peu m’importe que ce soit traité de façon originale ; peu m’importe que cela ne concerne qu’un moment de vie ; il en est de même des faits historiques, des faits divers. Pour ce genre, peu importe la forme, c’est le fond qui m’importe, la force de conviction qu’on y met dedans ; l’essentiel c’est apprendre quelque chose. Si c’est superficiel, j’approfondis sur le Net. Par contre, je demande à l’auteur d’être sincère. Je ne doute pas de la sincérité d’Edouard Deluc mais ce que je n’accepte pas c’est la manipulation. Je l’avais déjà évoqué avec « Chocolat » ; Roschdy Zem a volontairement gommé quelques aspects déplaisants de son personnage préférant jouer sur la corde sensible des spectateurs en provoquant l’indignation. Gommer volontairement un ou des traits de caractère d’un personnage historique, c’est gommer une partie de notre Histoire avec un grand H. Gauguin fait évidemment partie de l’Histoire, Histoire du monde, Histoire de France, Histoire de l’Art, Histoire de la peinture. Moi j’ai vu un Gauguin sensible comme tout artiste. J’ai aimé ce personnage, cet artiste, l’homme. Sa sensibilité, sa délicatesse envers sa femme, son désespoir de la perdre ; cette relation amoureuse qui l’inspire et qui se dégrade petit à petit. Au moment où il s’apprête à tuer sa femme et son amant, on le voit hésitant, sa colère fait place à la raison et à la résignation. On y voit un Gauguin réfléchi. Certes, il s’est montré dur en l’enfermant pour l’éloigner de son amant. Il a sa fierté. Personne n’est parfait. Son comportement reste dans le domaine de l’acceptable. En plus, il mettait sa passion entre parenthèses pour un travail de forcené afin de rapporter quelques sous, et tenter de retrouver l’amour. En vain, il finit par admettre sa défaite et rentre à Paris pour se faire soigner d’un infarctus. Son départ, lui dans une barque qui va l’amener au bateau, elle sur le quai, est émouvant. Comme toutes relations amoureuses chacun est de l’autre côté du quai en partance vers un ailleurs. Guéri ou retapé, il choisira une autre destination : les îles Marquises. A partir de cet instant, les violons cessent brusquement pour une toute autre musique, et pas celle d’Edouard Deluc ! En vérité, notre Gauguin a une vie sexuelle débridée. Tant mieux pour lui, ce n’est pas bien grave mais ce qui le serait c’est le fait qu’il était entouré de trois jeunes filles… mineures. Et il butinait de l’une à l’autre sans vraiment les aimer. Ces jeunes filles n’étaient pas que sources d’inspiration artistique, elles étaient objets de plaisirs à loisir. Son infarctus lorgnait plutôt du côté de la syphilis ! Aux Îles Marquises, il paraîtrait que sa mort fut bien accueillie tant ce personnage était encombrant et insupportable, voire effrayant envers les adolescentes dont il abusait. Quid de cette partie de sa vie ? Pourquoi nous vendre un Gauguin qui n’a rien à voir avec la réalité ? Quel intérêt de nous vendre un Gauguin faux ? Deluc serait-il faussaire ?! Pourquoi Vincent Cassel accepte d’interpréter un personnage qui ne correspond pas à la réalité ? Pour le réhabiliter ? Réhabiliter de quoi ? Auprès de qui ? Deluc avait peur qu’on n’aime pas Gauguin. Que son film participe à un boycottage soudain de ses oeuvres ? Voilà bien longtemps que les toiles de ce pauvre Gauguin valent une fortune bien après sa mort. Tout acheteur se moque de la vie intime de Gauguin. Si en plus on peut spéculer avec ses toiles ! Voilà bien longtemps que l’art et l’argent se passent de morale ! Bref, je suis tombé dans le panneau. Edouard Deluc m’a manipulé. Comme on dirait à Groland : « Avec du gravier !» Pourquoi nous avoir pondu un bisounours ! Comme le chantait Serge Lama (ou le chante encore sans doute) dans « Les poètes » : « S’il faut les aimer morts, il faut les fuir vivants. Reste à distance d’yeux, ne t’approche pas d’eux ». On peut aimer l’artiste et ne pas aimer l’homme. Pourquoi chercher à fouiller dans l’artiste l’homme. Souvent la déception vient de l’homme. Et si on est objectif, mais l’est-on vraiment, on trouvera des circonstances pour l’artiste qui nous a touchés. On ne peut pas tout à coup le rejeter. Il y aurait beaucoup à débattre sur l’artiste et l’homme mais ce n’est pas le lieu. En tout cas, Deluc est non seulement manipulateur mais aussi menteur et pleutre. Il me ment sur la maladie de Gauguin, sur le comportement de Tehura qu’il fait passer pour une infidèle. Et pleutre car il a manqué de courage en refusant sciemment les zones d’ombre de l’artiste. J’aurais aimé que Deluc me peint un portrait réel, déplaisant soit-il de l’artiste. Je me serais dit : « J’ai appris quelque chose, je ne savais pas que cet homme était exécrable, était pédophile eh oui, appelons un chat un chat ! » Etait-il considérée comme tel à l’époque ? Justement, à Deluc de nous convaincre en rappelant au spectateur le contexte de l’époque. Ne pas inviter le spectateur à pardonner mais à comprendre. A travers sa mise en scène, à travers son point de vue personnel et un tantinet objectif. Etre l’avocat du Diable. Nous rappeler qu’il ne faut pas plaquer un raisonnement du XXIè siècle sur un raisonnement de XIXè siècle. Deluc a manqué d’imagination pour tenter de trouver de la grâce et il doit y en avoir dans le personnage de Gauguin. A commencer par ses oeuvres, qui, entre parenthèses, n’étaient pas vraiment valorisées dans le film. Une étoile pour l’interprétation de Vincent Cassel et de la jeune Tuheï Adams dont c’est le premier film. Pour le reste, ni ne pardonne ni ne comprends la démarche du réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 août 2018
    Comment peut-on réaliser un film sur Gauguin sans couleur dans une ile aussi colorée que Tahiti . Où sont les ocres , les roses , les bleus qui ont rendu son oeuvre si forte .
    Quel ennui de ne voir que le visage d'un acteur quand on parle de l'oeuvre d'un peintre .
    moket
    moket

    541 abonnés 4 348 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2018
    Une étoile pour Vincent Cassel, complètement habité par son rôle, une autre pour l'esthétique et les paysages joliment filmés. Pour le reste, le film est globalement ennuyeux et passe sciemment sous silence les zones d'ombres de l'artiste.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2018
    Choisir l'intimiste, refuser la restitution biographique scolaire : tel est le parti pris judicieux et réussi de ce Gauguin, Voyage de Tahiti. Sa plus grande force réside dans le desarroi de son protagoniste principal, perdu dans une forêt qui le dépasse, dans des repères à rétablir : beaucoup de plans suivent le peintre de dos, nous plongeant dans son errance vers un au-delà de soi et des siens. Le souci, c'est que le film prétend mettre en scène l'avant-garde en l'étouffant dans une forme figée et strictement contemplative : le réalisateur ne prend aucun risque, ne traduit jamais la quête de Gauguin d'une manière cinématographique. Les références à Terrence Malick se contentent de servir un propos mais ne bouleversent jamais, la voix off de Vincent Cassel n'ouvre jamais vers quelque chose d'autre que le peintre lui-même. Nous suivons les inspirations d'un misanthrope difficilement attachant, hanté par le spectre de Vincent Cassel jouant Paul Gauguin sans vraiment parvenir à le transcender. Une œuvre soignée et élégante mais quelque peu anecdotique. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 août 2018
    Sans relancer le débat sur la prétendue pédophilie, ou le colonialisme, de Gauguin (la morale universelle du XXIème siècle ne pouvant servir à analyser des situations particulières du XIXème), le film est artificiel parce que, censé décrire les affres de la création, il nous le "dépeint" avec un modèle unique, adulte, épouse infidèle, source de tourments... quand on sait qu'il cumula des liaisons avec des adolescentes. On est donc un peu berné sur les ressorts de son art.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 juillet 2018
    On reste scotché par la perf de Vincent Cassel sur ce film , mème si on s'en doutait par avance . Ce type est exceptionnel dans les rôles de héros trash et torturés . Les images sont splendides et le rendu de l'époque est très réussi . Reste la question de la moralité de tout cela , car le parti pris scénaristique élude la question de l'age de sa fiancée tahitienne . Qu'en pense Danny le rouge ? Toutefois l'actrice est vraiment très ressemblante aux toiles du peintre . Sur le fond , Il est toujours difficile de juger le passé colonial à l'aune de notre toute nouvelle pensée néopuritano égalitaro mondialisante , et des progrès de la médecine .
    shindu77
    shindu77

    95 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juillet 2018
    Le film avait tout pour être très intéressant. Il serait Révèle moyen dans l’ensemble. Ce n’est sans doute pas à cause des acteurs et en particulier de Vincent Cassel, c’est surtout dans la réalisation que cela pêche. Il sensation de lourdeur et d’un manque de rythme flagrant. Dommage surtout pour un film qui dure 1h40.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 juillet 2018
    Juste pour les paysages.... Gauguin a fait certes de très belles toiles mais ce film ne le présente absolument pas tel qu il était.... Abjecte: misogyne, violeur d'enfants de 13 ou 14 ans... Bref un beau pourri ! Pourquoi ne pas avoir raconté la vérité ?! Les images sont belles mais le film est d'une neteur épouvantable... Bref...
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