Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Vincent Cassel prête à merveille son charme de baroudeur cabossé au personnage de Gauguin.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Vincent Cassel apporte au personnage un feu intérieur impressionnant.
Elle
par La Rédaction
C'est le film biographique de la rentrée, dans lequel Vincent Cassel incarne Paul Gauguin avec flamboyance.
L'Obs
par Bernard Genies
Tournée à Tahiti, cette épopée sentimentale et artistique concilie la majesté des décors et une quête intime, rythmée par la présence d'une nature puissante et celle d'un monde où rôdent parfois, dans la nuit, les fantômes d'esprits maléfiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Pour échapper aux traditionnelles reconstitutions académiques des biopics de peintre, Edouard Deluc mise sur un Vincent Cassel au visage buriné, en aventurieur d’un éden perdu et retrouvé dans la forêt, la chaleur et l’océan des îles : le choix est judicieux.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Le réalisateur Edouard Deluc trouve le ton juste, sans emphase, pour raconter le premier voyage de Paul Gauguin à Tahiti en 1891.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Avec son visage cabossé et sa haute silhouette, Cassel s'impose avec évidence dans un personnage dépouillé de tout artifice. Si le film est parfois menacé par l'illustratif, l'acteur est âpre, habité, et emporte le spectateur (...).
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une belle réussite.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'occasion pour Vincent Cassel d'interpréter une partition de rêve à laquelle il apporte sa silhouette affamée et son beau visage au couteau.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une balade magnétique, sauvage, poétique. Vincent Cassel dans son plus beau rôle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le film cherche l’épure pour mieux montrer le combat de Gauguin face à lui-même et à une nature qui le fascine et le dévore en même temps.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un portrait qui peut parfois manquer un peu de chair, mais qui reste juste, sensible et élégant.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Au crédit du film, le tournage à Tahiti, le choix de Tuheï Adams, sobre et convaincante dans le rôle de la vahiné (...), le recours à la langue et aux choeurs tahitiens. (...) On sera plus circonspect sur la façon dont Vincent Cassel semble modeler son Gauguin sur Gainsbourg dernière manière, hirsute, alcoolique, autodestructeur.
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat, entre ultra réalisme convaincant et contemplation un peu vaine, vaut avant tout pour la prestation hors normes de Vincent Cassel, amaigri et vieilli, qui parvient à rendre concrète la solitude abyssale de l’artiste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Jessica Saval
Bien que ce Voyage de Tahiti soit une réussite tant filmique que picturale, on regrettera néanmoins une trop grande mise en abîme d’une œuvre colossale, reléguée en toile de fond quand elle aurait pu servir d’élégante conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On aurait aimé un supplément d'éléments de biographie pour saisir pleinement la complexité de l'homme, de l'artiste et de son oeuvre. Toutefois, ce voyage crépusculaire et sensoriel au coeur de sa peinture envoûte, loin des clichés idylliques attachés à Tahiti.
Voici
par Lola Sciamma
Un film suspendu hors du temps, silencieux.
L'Express
par Christophe Carrière
Ce n'est donc pas un biopic, mais plutôt une tranche de vie du parcours du peintre, à la fois enrichissante et douloureuse. Un choix assez original et intéressant, sauf qu'Edouard Deluc, parce qu'il se focalise sur les impressions de l'artiste, élude les explications et ne s'adresse qu'à un public d'initiés.
La Croix
par Sabine Gignoux
Malheureusement, la caméra agace en forçant trop souvent le trait, à l’image de ce premier plan sur le visage de Cassel, ahanant en portefaix ! En figure sacrificielle, quittant sa famille et ses amis, ruinant sa santé pour son art, ce Gauguin-là ne convainc qu’à demi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Deluc veut donner à tout ça un petit air de western. Il cite Jeremiah Johnson de Sydney Pollack et Le Nouveau Monde de Terrence Mallick. Des références un peu trop grandes pour lui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Plus de contexte, de sens accordé à l’époque et à la peinture auraient permis de mieux embrasser cette expérience.
Libération
par Guillaume Tion
Le film d’Edouard Deluc narre de façon trop sage et scolaire le voyage à Tahiti du peintre avec un Vincent Cassel hirsute et prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film ambitieux mais boursouflé, qui est loin, très loin, d'atteindre le niveau des meilleurs biopics, comme "Van Gogh", ou "Mr Turner", de Mike Leigh.
Télérama
par Pierre Murat
Reste une belle performance d’acteur, noyée, hélas, dans une mollesse qu’on aimerait bien secouer, comme la célèbre boisson orangée, pour lui rendre pétillement et saveur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Chour
Le film tombe dans le piège qui guette la plupart des biopics compassés : se contredire en mettant en scène l’avant-garde dans un style des plus académiques. Et en l’absence d’une écriture un minimum complexe, Gauguin finit par rendre très mal à l’aise à force de préjugés et de poncifs d’un autre âge.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On peut apprécier en théorie ce refus du spectaculaire mais l’ennui finit par dominer. (…) CQFD : la peinture de Gauguin demeure beaucoup plus puissante que le film qui lui est consacré.
Femme Actuelle
Vincent Cassel prête à merveille son charme de baroudeur cabossé au personnage de Gauguin.
Ouest France
Vincent Cassel apporte au personnage un feu intérieur impressionnant.
Elle
C'est le film biographique de la rentrée, dans lequel Vincent Cassel incarne Paul Gauguin avec flamboyance.
L'Obs
Tournée à Tahiti, cette épopée sentimentale et artistique concilie la majesté des décors et une quête intime, rythmée par la présence d'une nature puissante et celle d'un monde où rôdent parfois, dans la nuit, les fantômes d'esprits maléfiques.
Le Dauphiné Libéré
Pour échapper aux traditionnelles reconstitutions académiques des biopics de peintre, Edouard Deluc mise sur un Vincent Cassel au visage buriné, en aventurieur d’un éden perdu et retrouvé dans la forêt, la chaleur et l’océan des îles : le choix est judicieux.
Le Parisien
Le réalisateur Edouard Deluc trouve le ton juste, sans emphase, pour raconter le premier voyage de Paul Gauguin à Tahiti en 1891.
Le Point
Avec son visage cabossé et sa haute silhouette, Cassel s'impose avec évidence dans un personnage dépouillé de tout artifice. Si le film est parfois menacé par l'illustratif, l'acteur est âpre, habité, et emporte le spectateur (...).
Studio Ciné Live
Une belle réussite.
Sud Ouest
L'occasion pour Vincent Cassel d'interpréter une partition de rêve à laquelle il apporte sa silhouette affamée et son beau visage au couteau.
Bande à part
Une balade magnétique, sauvage, poétique. Vincent Cassel dans son plus beau rôle.
Le Journal du Dimanche
Le film cherche l’épure pour mieux montrer le combat de Gauguin face à lui-même et à une nature qui le fascine et le dévore en même temps.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait qui peut parfois manquer un peu de chair, mais qui reste juste, sensible et élégant.
Positif
Au crédit du film, le tournage à Tahiti, le choix de Tuheï Adams, sobre et convaincante dans le rôle de la vahiné (...), le recours à la langue et aux choeurs tahitiens. (...) On sera plus circonspect sur la façon dont Vincent Cassel semble modeler son Gauguin sur Gainsbourg dernière manière, hirsute, alcoolique, autodestructeur.
Première
Le résultat, entre ultra réalisme convaincant et contemplation un peu vaine, vaut avant tout pour la prestation hors normes de Vincent Cassel, amaigri et vieilli, qui parvient à rendre concrète la solitude abyssale de l’artiste.
Rolling Stone
Bien que ce Voyage de Tahiti soit une réussite tant filmique que picturale, on regrettera néanmoins une trop grande mise en abîme d’une œuvre colossale, reléguée en toile de fond quand elle aurait pu servir d’élégante conclusion.
Télé 7 Jours
On aurait aimé un supplément d'éléments de biographie pour saisir pleinement la complexité de l'homme, de l'artiste et de son oeuvre. Toutefois, ce voyage crépusculaire et sensoriel au coeur de sa peinture envoûte, loin des clichés idylliques attachés à Tahiti.
Voici
Un film suspendu hors du temps, silencieux.
L'Express
Ce n'est donc pas un biopic, mais plutôt une tranche de vie du parcours du peintre, à la fois enrichissante et douloureuse. Un choix assez original et intéressant, sauf qu'Edouard Deluc, parce qu'il se focalise sur les impressions de l'artiste, élude les explications et ne s'adresse qu'à un public d'initiés.
La Croix
Malheureusement, la caméra agace en forçant trop souvent le trait, à l’image de ce premier plan sur le visage de Cassel, ahanant en portefaix ! En figure sacrificielle, quittant sa famille et ses amis, ruinant sa santé pour son art, ce Gauguin-là ne convainc qu’à demi.
Le Figaro
Deluc veut donner à tout ça un petit air de western. Il cite Jeremiah Johnson de Sydney Pollack et Le Nouveau Monde de Terrence Mallick. Des références un peu trop grandes pour lui.
Le Monde
Plus de contexte, de sens accordé à l’époque et à la peinture auraient permis de mieux embrasser cette expérience.
Libération
Le film d’Edouard Deluc narre de façon trop sage et scolaire le voyage à Tahiti du peintre avec un Vincent Cassel hirsute et prévisible.
Marianne
Un film ambitieux mais boursouflé, qui est loin, très loin, d'atteindre le niveau des meilleurs biopics, comme "Van Gogh", ou "Mr Turner", de Mike Leigh.
Télérama
Reste une belle performance d’acteur, noyée, hélas, dans une mollesse qu’on aimerait bien secouer, comme la célèbre boisson orangée, pour lui rendre pétillement et saveur.
Critikat.com
Le film tombe dans le piège qui guette la plupart des biopics compassés : se contredire en mettant en scène l’avant-garde dans un style des plus académiques. Et en l’absence d’une écriture un minimum complexe, Gauguin finit par rendre très mal à l’aise à force de préjugés et de poncifs d’un autre âge.
Les Inrockuptibles
On peut apprécier en théorie ce refus du spectaculaire mais l’ennui finit par dominer. (…) CQFD : la peinture de Gauguin demeure beaucoup plus puissante que le film qui lui est consacré.