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    The Square
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    305 critiques spectateurs

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    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    The Square, malgré quelques idées intéressantes et une scène de réception des plus marquantes, est bien trop figé pour convaincre pleinement. Cette satire du milieu de l'art contemporain aurait gagné en efficacité si elle avait été délesté d'une bonne demi-heure. Froide comme le milieu qu'elle dépeint, la mise en scène marque néanmoins la singularité d'un film qui manque de finesse dans le traitement de certaines situations. On reste un peu sur sa faim tant l'ensemble assez répétitif manque d'enjeux dramatiques. The Square aurait pu être un film passionnant, il n'est qu'un joli objet un brin conceptuel au discours redondant et convenu mais qui réussit, par intermittences, à nous fasciner. Il aurait fallu peut-être pousser la farce plus loin ou au contraire aller plus loin dans l'expérimental, entre les deux, le bas blesse un peu... Pas désagréable à regarder mais loin de mériter la palme d'or.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    Le cru 2017 de Cannes semble ressembler à un jeu de massacre de l'égoïsme occidental, si on se réfère à Faute d'Amour, Happy End ou encore ce Square, métaphore du creuset riches-pauvres, de l'élitisme artistique et de l'illogisme des comportements. Le film comporte des moments de droleries plutot irrésistibles, notamment avec une journaliste américaine, mais par contre n'arrive pas vraiment à toucher dans le mille quand la critique se tente constructive, dense et universel sur le comportement humain, Haneke peut se reposer sur ses lauriers... Dommage car la mise en scène s'avère très précise et incisive, l'acteur principal brillant mais l'ironie du film empèche le film de donner la pleine mesure de sa critique qui reste bien superficielle et confuse, le même défaut que le prédent opus du réalisateur, Snow Therapy. Intéressant mais surfait.
    Henning P
    Henning P

    61 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2017
    Ce film ne plaira pas à tout le monde, c'est une certitude. Mais pour savoir si vous allez l'apprécier, le mieux c'est d'aller voir par vous-même et non pas d'écouter telle ou telle critique qui vous découragerait de le visionner.

    Ce film est original et cela change des productions actuelles, bien formatées où l'on n'attend seulement qu'elles nous divertissent.

    Ce film est plus dérangeant (rien que la scène avec l'homme singe) et interroge sur les limites de notre civilisation consommatrice et de communication. Même s'il critique une certaine population friande d'art conceptuel, il montre également les doutes et la difficulté d'un homme qui voit ses certitudes ébranlées;

    Des moments très drôles et d'autres plus introspectifs et une montée en puissance au fur et à mesure ont donné à ce film la palme d'or à Cannes.
    Pour ma part c'est plutôt mérité. J'ai beaucoup apprécié même si le film est loin d'être un chef d'oeuvre.
    16/20
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    80 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2017
    Ruben Östlund me fait rire. En ce qui concerne le comique, je suis une très mauvaise spectatrice, impossible à dérider. Omar Sy ne me fait pas rire, pas plus que Danny Boon. Leurs prestations m'inspirent de l'ennui, au pire une légère pitié. Mais Snow Therapy m'avait réjouie! Et devant The Square, je me suis marrée tout le temps, nonobstant le fait que le rythme du film est étonnamment lent et qu'Östlund étire ses scènes  au delà du raisonnable.... Sans doute peut on dire que les gens qu'il décrit sont plus proches de ceux que je rencontre qu'un douanier lillois débile; on ne se moque bien que de ceux qu'on connait....

           Ca se passe dans un Musée d'Art Contemporain (En Suède ... où il y a des mendiants partout, pleurnichards ou arrogants, contrepoints à l'univers doré où évoluent les héros du film) et dès le début, au vu des oeuvres présentées [par exemple un arrangement régulier de tas de graviers, sous le titre "nous ne sommes rien", qu'un technicien de surface va bousculer avec se machine à lustrer, l'ignare! agression flagrante à la créativité] je me suis crue à  la Biennale d'Art Contemporain de Lyon, que je visite assidûment tous les deux ans. 

            Le magnifique Claes Bang qui promène à peu près sur tous les plans sa belle gueule, sa grande carcasse et ses mimiques à la Cary Grant en est le directeur, de ce Musée, Christian -par ailleurs père divorcé de deux charmantes minettes. Au début du film il se fait avoir comme une bleusaille par un trio d'escrocs qui attire son attention sur la fausse agression d'une jeune femme pour mieux  le délester de son portefeuille et de son smartphone. Le smartphone est localisé dans un HLM d'un quartier pourri, et pour le récupérer l'adjoint de Christian a l'idée d'une fausse lettre de menaces à distribuer dans les boites aux lettres. Faut voir la terreur avec laquelle les deux se rendent dans cette endroit mal famé (dans la voiture électrique de Christian, évidemment) qu'ils n'auraient jamais eu l'idée de fréquenter autrement - une de ces petites notes sociologiques qui parsèment le film. Mauvaise idée: cela va entraîner une cascade de problèmes dont vous jugerez sur place. En plus, Christian est harcelé par Anne (l'excellente Elisabeth Moss) une journaliste américaine avec qui il a eu la mauvaise idée de coucher alors qu'il était fin saoul à la suite d'un vernissage. [Conférences de presse et interviews hilarantes rythment le film; je vous recommande tout particulièrement celle où assiste un amateur d'art..... atteint du syndrome Gilles de la Tourette.]           Et tout cela alors qu'il est dans un moment capital de sa carrière: présenter une nouvelle oeuvre très importante: un carré blanc tracé à terre, lourd de symboles. Qu'on en juge par la prose de sa conceptrice "Le Square est un sanctuaire où règnent confiance et altruisme. Dedans, nous sommes tous égaux en droits et en devoirs". 

             Il faut donc organiser une campagne de pub qui frappe les esprits. Deux jeunes créatifs ont une idée: provoquer en montrant le contraire de ce que Le Square veut promouvoir. Montrer une petite mendiante bien suédoise, bien blonde traînant sa couverture souillée (pour corser le tout on lui met un chaton dans les bras, on connait bien l'effet chaton sur les réseaux sociaux..) qui rentre le carré..... et explose.  Autrement dit, les créatifs pubeux en prennent tout autant pour leur grade que le petit monde des amateurs d'un "art" qui passe surtout son temps à se regarder le nombril....

             Le film culmine lors de la scène du grand dîner (smokings, robes longues) des actionnaires du musée où un artiste (Terry Notary) présente une performance: il joue les gorilles, suscite la gêne (sourires crispés lorsque le faux singe s'arrête à une table), puis le malaise (mais c'est le but de la performance!), puis dépasse les cadres de sa prestation, ca finit en jeu de massacre, et la lâcheté des assistants nous évoque une certaine Snow Therapy....

              Ce film d'un brillant exceptionnel, d'une cruauté feutrée, se moque d'une certaine bourgeoisie cultivée qui se  rengorge de sa supériorité, qui s'imagine donner des leçons. Il est très finement drôle mais, je le répète, il prend son temps; et sans doute faut il connaître un peu ce milieu là pour vraiment s'en amuser.
    colombe P.
    colombe P.

    130 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2017
    Normalement chaque année je vais voir le film qui a reçu la Palme d'Or, quel que soit le sujet du film.
    "The Square" s'avère être une oeuvre haut de gamme, avec une réalisation impeccable et une interprétation parfaite.
    Aussi ce que dénonce le réalisateur est très bien vu.
    Même si le film peut s'avérer pompeux par moments, on passe un bon moment de cinéma et quelques situations vécues par le directeur du musée sont à la fois stupéfiantes, inquiétantes et drôles.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2017
    Voici enfin la Palme d'Or 2017. Le public plébiscitait "120 battements par minute", "Faute d'amour "ou "Les proies". Le jury présidé par Pedro Almodovar leur a préféré ce film suédois d'un réalisateur peu connu au sujet ingrat. Ce refus de la facilité force l'admiration. Mais il ne suffit pas pour emporter l'adhésion.

    "The Square" arrive sur nos écrans avec un parfum de scandale. Comme les romans de Houellebecq, comme les films de Haneke, "The Square" interrogerait notre bien-pensance et choquerait le bourgeois.

    C'est autour de Christian, le héros, que le film gravite - au point d'effacer tous les rôles secondaires (même hélas celui de Elisabeth Moss remarquée dans les séries "Mad Men" et "Top of the lake"). Le Danois Claes Bang est censé incarner le mâle suédois contemporain et toutes ses certitudes inébranlables. À la tête du musée d'art moderne de Stockholm, Christian est un quarantenaire de son temps : divorcé, père de deux filles, séduisant et séducteur, ouvert d'esprit et ouvert aux autres, à la pointe de l'avant-garde artistique. Mais une série d'événements vont mettre à mal son humanisme : le vol de son portefeuille, la désastreuse campagne publicitaire de la prochaine exposition de son musée, une nuit d'amour ratée avec une journaliste américaine...

    Avec ses faux airs de James Bond, Claes Bang promène la même mimique mal réveillée durant tout le film alors que le réalisateur était censé nous montrer la transformation d'un homme. Ce jeu monotone est l'écho d'une faiblesse du scénario : son immobilisme. "The Square" n'est pas tant l'histoire d'une évolution qu'une accumulation de saynètes. Une succession de nouvelles - certes fédérées autour d'un même thème - plutôt qu'un roman. Certaines sont plus réussies que d'autres : on n'oubliera pas de sitôt ce dîner d'inauguration collet-monté au cours duquel un "performer" mime le comportement d'un singe dominant en terrifiant les participants. Le problème de cette scène d'anthologie est qu'elle figure déjà sur l'affiche du film, que sa bande-annonce en a montré de larges extraits et qu'elle s'étire beaucoup trop longtemps.

    On imagine volontiers ce qu'un réalisateur de la puissance de Haneke aurait fait du désir de vengeance de Christian après qu'il s'est fait volet son portefeuille. On est frappé de la pauvreté de sa réaction et des conséquences finalement limitées qu'elle provoque. Alors qu'il s'agissait du principal ressort du film, de son fil narratif censé le tenir en tension pendant plus de deux heures, cette intrigue sans intérêt fait vite long feu.

    Au lieu de la satire annoncée de la bien-pensance de nos sociétés social-démocrates, "The Square" se révèle au bout du compte un film trop long sur la crise de la quarantaine d'un Édouard Baer suédois.
    dillinger75
    dillinger75

    10 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2017
    The Square est la palme d'Or du festival de Cannes 2017 présidé par Almodovar. Film étrange, inclassable, qui s'apparente à de la comédie et qui amène à réfléchir sur la façon dont on vit ensemble en société, est ce qu'on se comporte comme il le faudrait ? La scène la plus marquante du film est sans nul doute le moment du diner "expérimentale" et l'apparition de l'homme-singe, les invités sont prévenus et jouent le jeu puis finalement l'homme-singe reste dans son incarnation, comme si il se sentait mieux dans la peau de ce singe qui au final s'amuse des convives et ridiculise meme l'artiste contemporain. Il y a également des allusions à toutes ces nouvelles technologies, le smartphone, les réseaux sociaux et qui font parties de notre quotidien et qui nous empêchent de vivre ensemble, d'être à l'écoute des autres et d'apprécier les moments présent, et qui peuvent même nous détruire.
    Le film pose aussi la question de l'Art. Qu'est ce que l'art contermporain au fond ?
    Bref un film à aller voir
    nadège P.
    nadège P.

    131 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2017
    Voilà une oeuvre forte, originale, très amusante par moments.
    C'est bien étudié, percutant et cela m'a bien plu.
    etoile_du_jaguar
    etoile_du_jaguar

    3 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 octobre 2017
    Comme d’habitude, invariablement, le festival de Cannes attribue sa palme à un navet ennuyeux, sans rythme, au scénario au fil de l’eau (et encore).
    Le seul moment qui attire un peu l’attention est la découverte des tas de cailloux. C’est tout dire.
    A fuir
    angelo F.
    angelo F.

    46 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2017
    A part une scène très pénible et difficile à visionner spoiler: (la grande réception avec l'homme imitant un singe)
    , ce film s'avère dans l'ensemble très bon.
    Ce réalisateur met bien en évidence l'humanité et la société.
    L'acteur principal est excellent et c'est captivant de bout en bout.
    La scène avec la journaliste spoiler: le soir au lit
    est très drôle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 octobre 2017
    A fuir d'urgence !! 2h30 d'une histoire sans scénario sur une bande son tout droit sorti de l'enfer , ni drôle, ni nouveau , ni gênant .....

    Le pire film de ma vie et de loin !
    cylon86
    cylon86

    2 513 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2017
    C'était la surprise de Cannes 2017. Alors que tout le monde avait "120 battements par minute" en tête pour obtenir la Palme d'Or, c'est "The Square" qui l'a emporté. Un film impertinent portant un regard corrosif sur l'art contemporain et sur le fossé qui sépare les humains : leur richesse, leur culture, leurs préjugés, leur égoïsme. Christian, conservateur d'un musée d'art moderne, voit sa vie basculer lorsqu'il se fait voler son téléphone et son portefeuille. Dès lors, c'est tout son petit monde qui semble s'écrouler, la vie dévoilant son absurdité la plus totale... On avait découvert Ruben Ostlund avec "Snow Therapy" où il égratignait la notion de couple et de famille, le voilà qui égratigne l'humain dans une sorte de patchwork artistique impertinent et lucide, aidé par une mise en scène aux cadres très soignés. Seulement voilà : si "The Square" comporte de sacrées bonnes idées, brocardant un art qui mise plus sur le happening que sur le message qu'il fait passer, il finit cependant par dangereusement ressembler à ce qu'il critique : un objet d'art un peu vain qui se regarde et qui s'admire. Les longueurs du film (2h20 quand 30 minutes en moins auraient été bienvenues) alliées au manque de subtilité de certains passages trop démonstratifs finissent par nuire à la virulence du film et renvoient Ostlund à son image de cinéaste qui s'amuse à être impertinent mais qui ne semble pas se rendre compte de l'objet qu'il produit. "The Square" est donc à double tranchant et ne doit que son intérêt maintenu à une mise en scène extrêmement précise et à son acteur principal, Claes Bang, dont le charisme envahit l'écran dans un rôle si proche de nous que c'en est tout de même terrifiant. En cela, on peut dire que "The Square" met dans le mille.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 octobre 2017
    Un GRAND film!
    The Square reprend une société occidentale en mal où l'individualisme, la lâcheté et une dénonciation à deux vitesses ont pris le dessus.
    spoiler: Parmi les scènes qui m'ont marqué: - l'Occident (Christian) va vers l'orient (un enfant typé turc, irakien...) l'accusent à tort et l'attaque (chute dans l'escalier, dans le silence, sans aucune caméra...), l'orient en mal frappe à toutes les portes mais pas âme qui vive... de l'autre côté (dans un carré où l'on est tous égaux) une enfant suédoise, démunie et à la rue, explose :(le cas de nombre d'enfants syriens.l'égalité dans le mal)Les médias dénoncent et la société demande des comptes aux directeurs de l'exposition... - L'homme sauvage (nos chers lascars, notre extreme droite?) humilie d'honnêtes citoyens (l'analogie peut s'apparenter à une station de métro), il commence par un homme de couleur, enleve son voile à une musulmane, harcelé une jeune demoiselle européenne quand tout le monde fait l'autruche...il a fallu qu'il passe au viol pour que l'ancienne génération (des hommes âgés dans la scène) réagissent...(l'image des quadragénaires véhiculée par fight club est très presente)...dehors, rien n'a changé...

    Chaque scène est une dénonciation de la société moderne, une réflexion intense et orientée... Chapeau!
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    203 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2017
    The square est un véritable collage de sketchs, certains très réussis, d'autres beaucoup moins. On ne sait pas trop où le réalisateur a voulu en venir. En ironisant sur l'art moderne et la publicité, il enfonce tout de même des portes ouvertes. D'autant que son film donne lui-même l'impression d'avoir été conçu pour faire le buzz. Son "morceau de bravoure", le dîner agrémenté d'un spectacle qui tourne mal, n'a ainsi aucun lien avec le reste de l'histoire. Recherche de l'originalité à tout prix, volonté de choquer, Östlund s'embourbe dans le système qu'il prétend dénoncer. Quant à la morale développée ici, elle semble se résumer à nous dire que les pauvres sont aussi des êtres humains dont les bobos ne doivent pas avoir peur. Ajoutons que c'est très long et que certains plans sont interminable, de sorte qu'on s'ennuie souvent. Très décevant de la part du réalisateur de Snow therapy.
    dominique P.
    dominique P.

    836 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2017
    Voilà la palme d'or de cette année.
    Quand on visionne la bande annonce, cela ne donne pas du tout envie de voir ce film.
    J'y suis allée par curiosité et au final j'ai bien apprécié.
    C'est une histoire originale, particulière et spéciale qui ne peut que diviser les spectateurs.
    Ce n'est pas un film commercial ni tout public.
    En Suède, un directeur de musée, la quarantaine divorcé et deux enfants, vit confortablement et prépare une nouvelle exposition.
    On va suivre sa vie sur quelques semaines : à son travail, avec ses enfants, avec une journaliste avec qui il a une relation sexuelle, et surtout il a été victime en pleine rue du vol de son portable et de son portefeuille.
    Il va faire en sorte de retrouver ses affaires volées et suite à cela il aura quelques soucis.
    Il devra gérer sa vie quotidienne, son travail, ses enfants, la journaliste, et les soucis causés par le vol qu'il a subi.
    Un bémol cependant qui me fait mettre 4 étoiles (et pas 5), c'est qu'il y a une scène horrible spoiler: (le grand dîner avec l'homme qui imite un singe, c'est vraiment très dérangeant cette scène inutile).
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