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    The Square
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    3,3
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    305 critiques spectateurs

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    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 novembre 2017
    Un film vraiment antipathique, extrêmement long, ennuyeux, théorique, censément drôle et juste navrant (on est censés rire devant la scène de la capote ou celle avec l'homme affligé du syndrome de la Tourette ?). La critique du monde de l'art contemporain et de l'hypocrisie des sociétés occidentales est très appuyée, et la représentation des sans-abris carrément de mauvais goût. A fuir et il ne faut en aucun cas que la Palme d'Or donne le sentiment d'être obligé de voir cette daube sinistre dont on ne sait pas toujours ce qu'elle veut nous dire et si elle a au fait quelque chose de vraiment intéressant à nous dire (scène très douteuse et dilatée de l'homme singe qui agrippe une femme par les cheveux et la traîne au sol). Enfin, Dominic West, bon acteur de séries - notamment "The Affair" - et dont le nom figure sur l'affiche est extrêmement sous-exploité et n'apparaît que deux fois brièvement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2018
    Des acteurs formidables. Une direction artistique originale. Le thème de la confiance aux autres est décortiqué avec intelligence et humour.
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 novembre 2017
    La sport à la mode chez les réalisateurs c'est de faire un film pour choper une palme d'or. Xavier Dolan s'y essaie tous les ans, pleurnichant sur scène de son insuccès annuel, Ruben Ostlund a lui parfaitement réussi son coup. Il a compris qu'il faut donner dans le social lacrymal ou satirique, qu'il faut donner bonne conscience à ce milieu du cinéma pourri d'argent en leur montrant soit de vrais pauvres qui luttent soit d'aussi riches qu'eux mais dont on se moque. Tout y est : les poncifs sur l'art contemporain, la voiture électrique, le gars prêt à tout pour récupérer son portefeuille mais à condition qu'un gars basané fasse le sale boulot. C'est efficace, ça marche, c'est juste putassier.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 novembre 2017
    "The Square est un sanctuaire où règne confiance et altruisme". Quand on regarde "The Square" on ne peut être confiant face au personnage (déroutant) de Christian ; conservateur-bobo-artiste-hypocrite en constant désaccord avec ses principes.
    Mais on ne peut s'empêcher de prendre goût à cet altruisme par l'art, cet altruisme dans l'art, cet altruisme pour l'art ?
    The Square est une magnifique fable naturaliste qui peind le portrait d'une société dont nous faisons partie. The Square est un reflet, le reflet d'un monde tiraillé entre théorie et pratique et dans lequel l'intellect triomphe toujours.
    Le film du réalisateur Suedois - Ruben Östlund - est une satire de la bien-pensance par la bien pensance. Un contre-exemple à voir (et à re-re-voir !)
    Barry.L
    Barry.L

    28 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2017
    ''The Square'' est un film réalisé par Ruben Ostlund (''Snow Therapy'', 2014). Il reçut la Palme d'or au Festival de Cannes en 2017 et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il divise énormément la critique (qui aurait préféré voir couronner ''120 battements par minute'' de Robin Campillo) et le public. Il faut reconnaître que ''The Square'' n'est pas un film qui laisse indifférent, loin de là.

    Mais The Square, qu'est-ce que c'est ? C'est une installation d'art contemporain que Christian est fier de présenter dans son musée. Un carré installé au sol, défini comme étant ''un sanctuaire où règnent confiance et altruisme. Dedans, nous sommes tous égaux en droits et en devoirs'' ''Confiance'', ''altruisme'' et égalité... que de mots et de préceptes que défend Christian et toute cette bourgeoisie suédoise ! Mais le jour où Christian se fait voler son portable et son portefeuille, Christian va bien vite renoncer à cette règle.

    ''The Square'' : un film pour cynique, pour mysanthrope... mais aussi un film qui dresse un bilan terrible mais hélas réel de notre société. A travers le regard de Christian, Ruben Ostlund arpente ce monde suédois peuplé d'immeubles glauques, de SDF. Et à côté de cela, qu'en est-il de ceux qui ont tout ? Comme un Chabrol suédois, Ostlund s'engouffre dans le monde des aisés et dresse une féroce critique de notre monde bien élevé, bien éduqué, bien instruit... Et surtout, surtout, le plus important, montrer l'hypocrisie ignoble de tous ces bobos, passionnés d'art. Ils paraissent et peut-être sont humanistes, ouvert d'esprit et bienveillants. Mais, au fond, c'est tout le mépris dissimulé que filme Ruben Ostlund. En remettant la Palme à ''The Square'', Almodovar, alors président du Jury parlait d'un film qui dénonçait la ''dictature du politiquement correct''. Christian achète des sandwichs à des SDF, leur donne de l'argent... et meurt de trouille à l'idée de devoir retrouver son voleur dans une banlieue moins chic que la sienne. Le plus terrible, semble nous dire Ostlund, ce n'est pas le mépris dont fait preuve la bourgeoisie envers les classes plus populaires, mais le fait que ce dernier soit dissimulé sous un flot de bonnes intentions. C'est la raison pour laquelle ''The Square'' est un film dérangeant, qui tape là où ça fait mal. Un film qui n'est pas sans rappeller ''Toni Erdmann'' de Maren Ade, qui se trouvait justement à Cannes, en 2016.

    Cependant, si la satire d'Ostlund est féroce et ludique (le film a aussi beaucoup d'humour), elle manque de nuance. En effet, ''The Square'' n'est pas vraiment un film d'une grande finesse, la faute surtout à un scénario qui charge, tout le temps, les personnages. A la rigueur, on aurait pu excuser ce manque de subtilité dans un film d'1h 20 : la concision peut empêcher d'entrer dans la nuance. Mais dans un film de 2h 20, on est en droit de réclamer plus de développement et plus de subtilité. Et ce n'est pas ce qu'on a avec ''The Square'', dans lequel le ''background'' des personnages est assez pauvre (voire inexistant) et dans lequel s'installe une certaine monotonie cynique. Sans parler d'effets trop facile, comme cette succession de plans qui montre des SDF... spoiler: Quant à la moindre lueur d'espoir, elle est très vite balayée dans la scène finale.


    Film bourrée d'humour et de noirceur, ''The Square'' n'est cependant pas dénué de défauts. Ostlund a en effet la main trop lourde pour nous convaincre tout-à-fait. Pour nous dire que le monde est égoiste et foutu, fallait-il vraiment 2h 20 ? Pas sûr. Chose néanmoins intéressante : voir comment la Palme d'or de 2017 est le double inversé de celle de 2016 : ''Moi, Daniel Blake'', de Ken Loach. Si les deux films dénoncent les inégalités sociales, il est fort de voir que la vision de Loach et d'Ostlund sur le sort de l'humanité ont pour point commun d'être empreintes de noirceur. La différence ? Là où Ken Loach surligne à gros trait son amour pour les personnages, Ruben Ostlund surligne lui aussi à gros trait... son dégoût pour l'homme. Dans un cas ou dans l'autre, on aurait aimé voir d'avantage de finesse dans l'écriture.
    pgioan
    pgioan

    30 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2017
    Chef d'oeuvre absolu !!! D'une créativité incroyable, jamais vu , ou presque....Quand on croit que la scèquence qu'on vient de voir était formidablement originale....La suivante surprend encore plus...

    Tout ce que contient le film de message est tout aussi interessant , et tout à fait intelligent : ni snob, ni puriste, ni mode, ni retrograde...

    UN CHEF D OEUVRE !!!!!!!

    Quand je suis sorti , je me suis dit que je savais déja que je retournerais le voir dans la semaine...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2017
    Eh bah… Une palme cannoise qui ne me laisse pas indifférent, ça remonte à loin ma parole ! Ça remonte à… 2003 et « Elephant » de Gus Van Sant tout de même ! Alors après, ne nous mentons pas non plus : j’avoue qu’au final, ce « The Square » combine à la fois ce que j’aime voir au cinéma d’un côté et tout ce qui m’horripile dans la mécanique politico-idéologico-morale que des festivals comme Cannes finissent par imposer aux auteurs de l’autre… Et en gros, si au final je mets une note plutôt tiède (enfin, un bon tiède hein : 3/5 pour moi c’est quand même chouette), c’est parce qu’à bien tout prendre, j’ai eu durant ce film une vraie alternance de saunas revigorants et de douches bien froides. Côté saunas, je louerai d’abord la beauté plastique de ce film. C’est propre et léché. C’est élégant. Idem pour la narration. Le film sait vaciller habilement entre absurdité d’un côté et humour noir de l’autre. Tout cela est notamment permis par d’astucieuses associations d’éléments qui s’opposent, d’humour par le hors-champ, ou bien encore tout simplement par l’effeuillage progressif du vernis bourgeois dont chaque personnage se recouvre. Tout ça se développe le long d’une histoire qui a le mérite d’explorer pas mal de situations et d’éléments d’intrigue en même temps. En somme, on a donc à faire là à une forme riche, à une démarche intelligente, et tout cela au service d’un film qui a indéniablement une identité qui lui est propre… Seulement, au milieu de tout ça, il y a aussi toutes ces douches froides. La longueur d’abord. Même si les situations sont nombreuses, on a quand même droit à un film qui est bien plus dans une logique de regard sur une situation plutôt que de regard sur une dynamique, ce qui fait que tenir presque trois heures sur ça, ça fait quand même un peu beaucoup. Surtout qu’au fond, le propos n’est pas non plus si diversifié que ça. En gros, tout tourne essentiellement autour de spoiler: bourgeois qui ne cessent de réfléchir sur comment rendre les gens sensibles à la misère du monde alors qu’eux-mêmes n’y sont pas sensibles.
    Tenir autant de temps avec si peu en guise de fond, forcément ça peut nous conduire à percevoir certaines scènes – bien que convenables – assez superficielles sur le temps long. Et enfin, dernière douche, c’est justement ce propos. Bon, en soi, il ne me dérange pas plus que ça, même si ça fait encore une fois cinéma de bourgeois par des bourgeois pour des bourgeois (…ce qui, dans le contexte cinématographique français actuel m’agace toujours un peu). Non, ce qui m’agace au fond, c’est le martelage. Une fois ça va, mais là le propos est illustré à satiété, jusqu’à ce qu’on arrive carrément à un long monologue du personnage principal qui récite carrément la morale de l’histoire. Plus que superflu, c’est juste lourd. Et dans un film de trois heures qui aime souvent jouer d’un rythme posé, le lourd, c’est juste vraiment pas une bonne idée… Mais enfin bon, comme je le disais donc, je trouve que l’un dans l’autre ce film vaut le détour. Au final il est malin et a clairement sa patte. Ce sont là deux qualités suffisamment rares dans le cinéma d’aujourd’hui pour être grossièrement boudées… Après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 novembre 2017
    Un film d'un grand intérêt, avec un jeu intéressant de contre-champ comme le souligne la critique positive de Télérama. Des musiques formidables et bien à propos. Mais des longueurs. Le film semble traîner, traîner et traîner sans s'arrêter. Toujours est-il qu'il surprend, et séduit, pour une dernière demi-heure oscillant entre l'agréable et le beau. La scène, centrale sans doute, du banquet et de l'homme-singe, est quant à elle aussi jouissive que superbe, et non dénuée de poésie. La production de Östlund fait par ailleurs réfléchir, donne à penser et surtout à repenser notre monde, sans tomber dans l'opacité totale. Sans tomber non plus dans les clichés grâce à des personnages ambivalents parfois, et grâce à un personnage principal qui se remet en question et que le spectateur remet en question, Östlund sait nous les rendre attachant. Elisabeth Moss est superbe, Claes Bang est génial, et le tout donne une production esthétique, intéressante et sympathique, qui continue de résonner après qu'on a vu le film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    Je ne comprends pas les nominations au festival 2017 pour ce film, car je n'ai pas du tout aimé, c'était long l'histoire sans émotion
    mmarie13
    mmarie13

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    Que de réflexions et de questionnements suscités. Jeu d’acteurs plus que réussi. J’ai adoré. The square bouscule notre relation à l’art contemporain et au monde du luxe
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    Palme d'or décrié, "The square" est loin de faire l'unanimité et je comprends pourquoi tant le film n'est pas facile d'accès. En fait, je vois aussi bien les raisons qui ont valu au film une palme d'or que les raisons qui expliquent les critiques qui lui sont adressés. Pour les points positifs, il faut bien entendu mettre en avant la mise en scène. Ruben Östlund est sans aucun doute un très bon réalisateur qui nous livre ici une mise en scène fluide et élégante. Le film prend son temps (peut-être un peu trop parfois) et Östlund accorde beaucoup d'importance à la composition de chaque plan. Les acteurs peuvent également être féliciter, le film réunissant un casting judicieux porté par le très charismatique Claes Bang.
    Cependant, l'écriture et le message porté par le film m'a énormément posé problème. Je m'explique, le long-métrage tente d'apporter un regard critique sur notre société en développant de nombreuses thématiques. On a affaire à une comédie qui porte un regard cynique sur le monde qu'il nous entoure en abordant des thèmes aussi variés et intéressantes que la différence entre l'homme et l'animal, l'immigration, le sexisme, notre rapport à la violence ou même notre rapport à l'art. Chacune de ses thématiques a un réel intérêt mais il est néanmoins impossible de faire un film sur des thématiques aussi vastes et nombreuses même en 2h20. Rapidement le film est trop foisonnant et on perd de vue le message général du film tant la narration se dilue et se disperse. Mais ce qui m'a encore plus posé problème, c'est la manière dont Östlund aborde ses différentes thématiques. Le réalisateur suédois a une vision assez péjorative de la bourgeoisie et il emploie clairement un ton cynique pour les critiquer. Ce cynisme m'a agacé à la longue surtout que Östlund finit par confondre cynisme et condescendance. Il finit par s'ériger en petit donneur le leçon moralisateur et tombe dans une critique un peu facile du milieu bobo, méprisant autant le spectateur que ses propres personnages.
    J'ai conscience que c'est un ressenti assez personnel mais je considère que Östlund est tombé dans une critique finalement assez consensuel et faussement subversive. Le film avait de grandes ambitions artistiques, peut-être même trop car il se perd un peu dans sa narration et tombe finalement dans ce qu'il tente de dénoncer. "The square" est pour ma part une déception, un film qui avait un beau potentiel et dont on ne peut pas nier ces qualités, mais qui se révèle très difficile d'accès et finalement peu efficace au vu de ses ambitions.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    J'avais beaucoup aimé "Snow Therapy", j'ai été un peu déçu par "The Square", moins maitrisé, même si certaines séquences sont formidables. L'ensemble est trop décousu, presque abstrait (un peu comme les oeuvres exposés dans ce musée, peut être est-ce le but?). Certaines séquences pourraient être coupées sans aucune incidence sur le story telling, ce qui prouve bien le côté un peu "en kit" de ce film. Malgré tout, plein de bonnes choses à picorer et une scène de sexe mémorable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 novembre 2017
    On croira peut-être que le film se disperse en une série de scénettes sans unité. On croira peut-être que la critique d'un art contemporain abscons est facile, pensant qu'il s'agit là du leitmotiv du film. Enfin, on croira sûrement que l'on peut clairement voir ce que le réalisateur veut nous faire penser de tel ou tel personnage - et, dès lors, s'en indigner ou y adhérer.

    Il n'en est rien. Je sors rarement d'une séance de cinéma en ignorant autant où il faut me positionner : faut-il se moquer de Christian ? N'est-il qu'un lâche ? De nombreux passages nous interdisent d'en rester là. Ou encore, concernant la vidéo réalisée par le musée, c'est évidemment la stratégie du buzz qui est critiquée. Mais, en réaction à cette vidéo, les critiques des journalistes s'avèrent complètement creuses et ces derniers, cherchant à tout prix le conflit avec les responsables du clip, montent en épingle l'affaire pour en faire elle-même un buzz...

    Concernant le reproche du caractère dispersé du film, je crois que son unité est assez simple à discerner : il s'agit très globalement d'une réflexion sur le contraste entre l'autorité des "beaux discours" et des conventions et la réalité qu'ils tentent de masquer. Plus précisément, voilà ce qui se passe tout au long du film : la classe intellectuelle bourgeoise crée des pseudo valeurs humanistes dont la fausseté est immédiatement prouvée dès que le réel fait irruption dans leur monde avec violence. Or cette violence, à l'évidence, est engendrée par leur propre classe. Ces riches Suédois se mettent donc à distance du réel pour refuser de se voir eux-mêmes et la violence qu'ils engendrent. The Square est un film magistral sur le thème du réel qui rattrape l'apparence.
    CharlIe Parker
    CharlIe Parker

    4 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2017
    Un film rare, atypique, incroyablement original mais pas totalement maîtrisé.
    Des moments d'une méchanceté jubilatoire. A voir pour comprendre
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 décembre 2017
    Sévères, oui, je suis sévère mais 2h22 de bien pensance pour dénoncer la bien pensance, c'est très très long, et pesant. Y a t il eu un scénariste dans cette galère ? Le réalisateur nous impose des dialogues creux, des scènes incongrues, des plans longs, longs, qu'on a peine pour les comédiens (par ailleurs plutôt Bob's).
    Finalement la scène de l'homme singe du dîner est peut-être la plus intéressante, la plus emblématique et la plus justifiable. Le reste n'est que bonne conscience de l'homme blanc européen se couvrant la tête de cendres. Almodovar à disjoncté à Cannes, hélas pour nous.
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