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    The Square
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    3,3
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    305 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 octobre 2017
    Le festival de Cannes est capable du meilleur comme du pire. Après avoir consacré récemment des œuvres bouleversantes comme Moi, Daniel Blake ou encore The Tree Of Life, le jury a dut faire face cette année à une cuvée d’un faible niveau. Alors tout n’était pas à jeter évidemment, on aurait imaginé et aimé que la palme d’or revienne à 120 battements par minutes ou Okja, c’est finalement un film suédois passé inaperçu qui l’emporta, The Square.
    On suit les pas de Christian, un directeur de musée en pleine préparation d’une nouvelle exposition intitulé The Square, un lieu où chacun s’interroge sur son rapport à l’autre. Pour ce qui est de l’histoire, on s’arrêtera là, en même temps le film ne raconte pas grand-chose de plus. Du réalisateur Robin Ostlund, on ne connaissait pas grand-chose et après ces deux heures vingt interminables, on n’as pas forcément envie d’en savoir plus. Ce film, à la bande annonce alléchante, est vendu comme une critique féroce du monde de l’art et de la bourgeoisie, il n’as en fait rien de mordant. A vrai dire le film est ce qu’il dénonce, le comble ultime d’une œuvre soit disant virulente.
    Le quotidien de son personnage principal est filmé dans des scènes d’un ennui abyssal assommé de conversations futiles et inintéressantes. Il passe par exemple la moitié de son temps dans une histoire de téléphone volé dont on se moque complétement. Dans une autre partie du film, le réalisateur tente de la jouer un peu provoc en tirant de très grosses ficelles, ‘Oh regarde comme ma scène est dérangeante’. Tout cela pour se terminer dans une scène de banquet où l’on se coltine une ‘performance’ d’un homme singe malaisante et insupportable. Savoir déranger le spectateur en le scotchant au fond de son siège est un art dont tout le monde ne maitrise pas les codes visiblement. De plus la place donnée aux Roms dans le film est tellement caricaturale, une petite dose de racisme, histoire de conforter certains spectateurs sans doute.
    A cela, on ajoute une réalisation plate. Esthétiquement et pour un film parlant d’art, c’est très laid avec une colorimétrie juste repoussante. On pourrait aussi parler de la musique mais ça ne remonterait pas le niveau du film. Ah si, il y a un morceau de Justice plutôt bien amené, pour le reste on doit se coltiner tout le long une atroce reprise de Bach et d’autres morceaux insignifiants.
    The Square n’est donc pas loin d’être le plus mauvais film vu cette année. Prétentieux, ennuyeux, insignifiant et surchargé de longueurs, on se demande encore comment il a pu obtenir la si prestigieuse palme d’Or.
    elriad
    elriad

    433 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2018
    La métaphore distillée avec finesse tout au long du film est plus que jamais d'actualité dans notre société verrouillée de plus en plus par une "police de pensée", le "politiquement correct" . Quand doit-on arrêter la provocation ? La censure se situe où ? A quel niveau devons-nous mettre des garde-fous à notre humour ? Le thème de l'exposition en construction, "l'empathie pour les communautés fragiles et particulièrement ici les SDF", donne lieu à un scandale lorsque la boite de Com. qui doit faire la publicité pour l'expo. réalise une vidéo trash devenue virale. Truffée de scènes très drôles, le film en rebutera certains par ses plans séquence qui s'étirent à l’extrême, d'autres par une fin un peu abrupte, mais l'originalité et le thème en font un film à part qui pour ma part aura retenu mon attention.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 novembre 2017
    Qu’importent les prix ; l’opinion sur un film ne doit pas être affectée par la question de savoir s’il devait ou non recevoir la fameuse palme. Celui-ci est captivant, on ne voit pas le temps passer et d’ailleurs, pour le critiquer honnêtement, il faudrait le revoir tellement les propos et les pistes ouvertes sont riches. C’est à l’évidence un film dérangeant comme peut l’être un hurluberlu qui perturbe la conférence d’un artiste d’art contemporain en criant des propos salaces du genre « montre tes nichons ! ». Syndrome de la Tourette ? Provocation contre l’art provocateur ? Faut-il être tolérant comme le réclame sentencieusement l’un des spectateurs ? Jusqu’où peut-on aller ? Dans le film, toutes les scènes, toutes les situations posent le problème de la norme et de la déviance dans une société dont le discours officiel affirme que les déviances sont normales. Et, bien sûr, au fond, personne n’y croit mais fait semblant d’y croire jusqu’à ce que les masques tombent et que les gêneurs soient sauvagement massacrés, comme dans la grande scène de l’homme-singe lors du dîner de gala. Le point de vue du réalisateur n’est jamais tranché ; il se contente d’explorer la vaste zone grise située entre la permissivité affichée et la rigidité des préjugés : de race, de classe, de sexe, etc. Il serait injuste de lui prêter des intentions réactionnaires ou cyniques ; il nous force à nous interroger nous-même. Ce qui est dérangeant, mais salubre.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    138 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Le film propose une confrontation entre l'art contemporain, parfois abscons, et la réalité idiosyncratique.
    Mariana D.
    Mariana D.

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2017
    Intelligent. Bien conçu drôle un vrai film. Beaux décors. Personnages véridiques pour une histoire emballante
    Maxence!
    Maxence!

    15 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    Plongée dans le chaos suite à un fait banal: quand l'œuvre d'art sème la panique dans un dîner mondain, que le conservateur de musée se noye dans les poubelles, les scènes brillantes mettent le spectateur sous tension, le promènent entre la réalité et l'absurde.
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 novembre 2017
    La sport à la mode chez les réalisateurs c'est de faire un film pour choper une palme d'or. Xavier Dolan s'y essaie tous les ans, pleurnichant sur scène de son insuccès annuel, Ruben Ostlund a lui parfaitement réussi son coup. Il a compris qu'il faut donner dans le social lacrymal ou satirique, qu'il faut donner bonne conscience à ce milieu du cinéma pourri d'argent en leur montrant soit de vrais pauvres qui luttent soit d'aussi riches qu'eux mais dont on se moque. Tout y est : les poncifs sur l'art contemporain, la voiture électrique, le gars prêt à tout pour récupérer son portefeuille mais à condition qu'un gars basané fasse le sale boulot. C'est efficace, ça marche, c'est juste putassier.
    LeFilCine
    LeFilCine

    178 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 octobre 2017
    Où voir un singe se maquiller, une enfant explosée (au sens premier), un homme faire les poubelles et bien d’autres incongruités du même genre ? Dans la dernière palme d’or du festival de Cannes bien sûr ! Et s’il y a bien une chose à dire à propos de The Square, c’est qu’il s’agit d’un film qui ne laisse absolument pas indifférent. Vous me direz, c’est déjà un mérite que l’on peut trouver au long-métrage : savoir se rendre inoubliable. Souvent horripilant, plus rarement captivant, souffrant de terribles longueurs, le film de Robin Östlund ne peut donc pas laisser de marbre. Découpé en saynètes qui s’étirent parfois excessivement en longueur, il y a dans chacune d’elles une tentative de faire passer son petit message pernicieux sur la médiocrité de l’homme contemporain. Soit ! Mais le trait est parfois si grossier et la mise en scène si éprouvante que cela en devient très vite assez exaspérant pour le spectateur. En effet, le film n’est pas très agréable à regarder sur le plan visuel, le cadre étant trop souvent resserré sur les personnages. Et l’habillage sonore n’est jamais très agréable. Il y a pourtant cette séquence remarquable qui a beaucoup fait parler d’elle, celle qui fait l’affiche, à savoir cette performance incroyable d’homme-singe qui va bien au-delà de l’attendu et qui scotche le spectateur à son siège. The Square peut éventuellement être vu comme une satire de l’art contemporain mais force est de constater qu’il rentre plus dans cette case qu’il ne s’y oppose. Il atteint peut-être son objectif en taquinant le spectateur mais, forçant trop le trait, il échoue à être appréciable.
    mateo-57
    mateo-57

    16 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2017
    Je n’ai pas compris ce que l’on peut retirer de ce film - si coup rien (pour moi) qui compense le fait qu’il soit long et assez ennuyeux à part quelques scènes vraiment drôles
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 octobre 2017
    On voit des gens marcher à gauche, la caméra leur suit. Dans le bruit des rues, on croit entendre une femme crier "Au secours!". Seulement le protagoniste du film tourne sa tête, contrarié. Au même temps qu'ils essaye de trouver la source du cri, personne s'arrête, la caméra est toujours en mouvement, suivant les piétons. L'homme retourne la tête vers le front et il continue son chemin. "Au secours!", deuxième fois. Plus fort et plus claire qu'avant. Maintenant, plusieurs gens se tournent. mais personne s'arrête après le deuxième appel. C'est pour ceci que la caméra suit la direction des personnages sur l'écran, incapables de trouver ce femme qui crie, donc ils marchent encore comme si de rien n'était. Un troisième "Au secours!" si assourdissant que menaçant, fait que tout le monde s'arrête. Les gens regardent en dehors du cadre, vers leur droite, vers cette femme qui n'arrête pas de crier et qu'on entend de plus en plus fort selon, on suppose, qu'elle s'approche. Mais les gens se sent menacés et ils fuient la dame en détresse. Tous sauf notre protagoniste, paralysé par la frayeur, qui se trouve seul avec un inconnu à protéger contre son choix cette femme en danger. L'homme n'a pas exprimé une volonté d'aider cette femme, sinon qu'il se trouve piégé dans cette situation: il est obligé à l'aider.

    Cet homme, victime d'une obligation morale dans cette scène si efficace, c'est le directeur du musée d'art moderne de la ville, qui travaille en ce moment dans la présentation d'une nouvelle oeuvre, The square. Il s'agit d'un mètre carré marqué en blanc par terre qui sert comme capsule de paix, justice et harmonie pour celui qui entrerait dedans. Östlund utilise ce carré comme métaphore dans cette satire sur les limites de l'éthique et de l'art, mais surtout aussi des limites de l'hypocrisie des bourges. Pour ceci, il compile des gags absurdes au rythme reposé et très froidement filmés. Pur style scandinave, mais beaucoup plus efficace que dans son précédent film, Snow therapy.

    Pour inaugurer l'oeuvre du titre du film, une bonne promotion est essentielle. Le musée a besoin de créer une image puissante, qui apparaisse dans tous les médias pour attirer un nouveau public. C'est pour ceci que le département de marketing proposera une campagne publicitaire qui mettra en colère la société suédoise. Une campagne cruelle, violente et misérabiliste qui, en plus, va contre le but de l'oeuvre elle-même. Premier coup de poigne du réalisateur contre le marketing qui règne aujourd'hui le secteur de l'audiovisuel. Il fat que tout soit virale, qui provoque du buzz, qui fasse du hype, qui génère des likes, des followers, des shares et de commentaires. À n'importe quel prix.

    La mauvaise gestion de l'affaire provoquera un tel chaos qu'une question sera posé par la presse, Ils sont où les limites de l'expression artistique? La réponse, ou le manque d'une, mettra en évidence une élite culturelle qui se vante d'un statut cultivé privilégié mais incapable d'analyser le fond morale pour se défendre de la rage du peuple heurté. Tout au long du film on voit des SDF par tous les coins de la ville, description d'un état d'urgence sociale ignoré par ces personnages trop occupés par leur fêtes dans leurs châteaux. Pire encore, ils attendent une médaille comme réponse aux gestes banales vers les pauvres et ce qui reçoivent dans leurs têtes surprises ce n'est que la colère des impuissants face à l'injustice. Une élite ignorante, inutile et incapable. Le manque d'empathie mène à la catastrophe. Comme exemple, le protagoniste met sens dessus dessous dans un immeuble de banlieue pour récupérer son smartphone. Les conséquences, inespérées, serviront au moins comme leçon, vu ses remords vers la fin du film.

    Tous ces sujets: les limites de l'expression artistique, de l'hypocrisie et le manque de réaction de la bourgeoisie apparaissent dans la scène la plus remarquable du film: la performance d'un artiste imitant un gorille dans l'inauguration de la nouvelle saison du musée. Une bête qui répondra de façon agressive à tout mouvement dans la salle. Une image surréaliste où on voit les tout-puissant baisser la tête, sans oser respirer. Et d'un coup, comme au début du film, une femme demande de l'aide sans réponse. "Au secours!" Rien. "Au secours!" Personne. "Au secours!" Trop tard.

    ////////////////////////////////////// Encore plus de fautes et d'erreurs sur hommecinema.blogspot.fr
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2017
    " the square " dernier gagnant décrié du dernier festival de cannes ne mérite pas selon moi la récompense suprême. En effet le film qui est une satire du monde de l'art et de la classe bourgeoise de notre société met bien 40 minutes à s'installer de plus j'ai trouvé certains passages irritant et sans intérêt cependant le réalisateur réussit grâce à des séquences cocasses et originale ( celle du singe et celle de la capote ) à dénoncer les travers des êtres humains. De là en en faire un gagnant du dernier festival de cannes? Non il y avait largement mieux en face.
    tostaki
    tostaki

    3 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2017
    Une mise en scène impecable pour ce film qui explore les bassesses de l'être humain. On se sent très mal à l'aise lorsqu'on est confrontés à des scènes de lâcheté. Humour noir nordique déshabillant l'homme et mettant à nu ses instincts les plus bas. Également une critique de la société suédoise et de sa propension à l'acceptation des règles de politiquement correct.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 juillet 2020
    The Square réalisé par Ruben Östlund est un long métrage de 2h30 qui, dans son expression artistique aurait pu être réduit à un court métrage de 45 minutes. Il comportait quelques scènes intéressantes et viscérales qui ont été dépeintes de manière convaincante et révolutionnaire. Cependant, cela ne compense pas le gâchis d'un film dont l'intention était beaucoup plus ambitieuse que la portée réelle de sa réalisation. Une direction pauvre et lente combinée à un thème directement ennuyeux a donné lieu à un film avec lequel je ne peux pas m'aligner personnellement. Le film pourrait plaire au public même qu'il cherche à dépeindre de façon satirique. Du un cinéma scandinave prétentieux qui plaira sans aucun doute a la critiques dite "spécialisées"...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 mai 2017
    Trop long et sans intérêt... En tout cas pour ma part je n'ai pas apprécié ce film. Il ne merite pas pour moi la palme d'or de Cannes de cette année....
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 octobre 2017
    Il est des palmes d’or à Cannes qui laissent perplexe … c’est le cas de « The square » du suédois Ruben Östlund !
    Ce film mêle plusieurs aspects :
    1) Le concept de l’art contemporain avec des propos « pour les bobos culutureux » parfois si alambiqués que le Directeur du X-Royal Museum de Copenhague ( Claes Bang) doit même relire un propos qu’il a tenu précédemment pour répondre à une journaliste (Elisabeth Moss) … La recherche incessante d’un nouveau concept va aboutir à imaginer ce ce Directeur de musée à imaginer un carré dans lequel chacun qui y entrera devra se faire confiance et être altruiste et in fine être égaux en droits et devoirs. Ce concept va être « détruit » par la mise en ligne sur YouTube d’un clip non validé par le Directeur mais moralement très choquant. La question étant alors de savoir si « l’art peut entraver la liberté d’expression » … alors que la réponse est calirment oui pour les publicistes qui se réjouissent de ce buzz qui a « fait plus de 300 000 clics » ... mais va causer quelques soucis au Directeur.
    2) Une histoire dans la rue où ce Directeur très nickel, sûr de ses valeurs morales, garant de la bonne éducation de ses filles (il est bien sûr divorcé) … va suite au vol de son téléphone, de son portefeuille et des « boutons de manchettes de son grand-père », s’engouffrer dans la distribution de tracts dans un immeuble de banlieue où il n’ose pas entrer avec sa Tesla toute neuve... et finalement avoir une confrontation tendue avec un jeune immigré d’une dizaine d’années qui crie « je vais créer le chaos ». Certes on peut y voit l'ambiguïté des bien-pensants mais …
    3) Une critique de la société avec d’un côté des milliardaires investissant dans des œuvres d’art moderne et de l’autre à plusieurs reprises des plans de mendiants auxquels notre Directeur ne tend ni une pièce ni même un regard. Et assez curieusement on verra lors d’une conférence de presse annonçant la démission du Directeur, une rom lui posait la question sur « ce qu’il a fait pour les démunis « … C’est probablement cette note « politico-sociale » qui a dû plaire au Jury de Cannes ?
    Dommage car il y a de très beaux plans notamment d’escaliers et une « performance » remarquable même si je n’ai pas bien compris le pourquoi de cette performance « agressive et simiesque » au cours d’un repas de gala pour l’inauguration de l’exposition sur le carré ... sauf à vouloir critiquer la « bonne société » forcément de droite qui ne s’émouvra que lors d’une scène de viol simulé ? Je passe sous silence la relation entre le Directeur et la journaliste qui – en dehors d’égratigner un peu plus le masque « soft » du personnage – est assez irréaliste dans les remontrances de la journaliste et une « poubelle à cotes » dont je n’ai pas compris la subtilité. Bref un film qui pour part est souvent confus et bien trop long (2 h 22).
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