Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Une œuvre d’art. Un joyau de modernité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le grinçant Ruben Östlund privilégie le plan-séquence, étirant les scènes jusqu’au malaise jusqu’à parfois évoquer le Paul Thomas Anderson de Punch-Drunk Love. L’art de la comédie à son paroxysme !
Positif
par Alain Masson
Cette nouvelle fable réjouissante vise ainsi la cible favorite de cet auteur scandinave émule de Buñuel : la bourgeoisie (dont il est issu) et à travers elle, bien sûr, les ambiguïtés du fameux "modèle suédois". Sauf qu'elle le fait d'une manière plus ample qu'auparavant. Ici, Ruben Östlund repousse en effet les limites de la performance artistique... comme celles de la morale. C'est dire si "The Square" est percutant (...).
Transfuge
par Frédéric Mercier
Un film aussi soigné que vénéneux.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cinéaste suédois se moque joyeusement du milieu de l’art dans cette comédie grinçante dont le personnage principal est un conservateur de musée d’art contemporain (Claes Bang, une découverte) peinant à concilier ses idéaux altruistes et son comportement égocentrique.
CNews
par La Rédaction
(...) cette satire sociale grinçante n’est pas une coquille vide, puisque cette maestria se double d’une réflexion intense et ambitieuse sur l’individualisme, la perte des valeurs collectives et la liberté d’expression.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Ruben Östlund n’a pas peur des clichés ni de forcer le trait pour servir sa farce. Mais à la manière de son compatriote Thomas Vinterberg (Festen, La Chasse, La Communauté), il réussit aussi à être saisissant et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Doté d'une mise en scène impressionnante et d'un humour caustique tordant, "The Square", à défaut de contenter tous les esprits, les marquera assurément. L'empreinte des grands films.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Attention, fou rire !
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Corrosif et jubilatoire.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Puissant et hilarant, le film a obtenu la Palme d'or du Festival de Cannes 2017. La mise en scène est là, le cadre et la lumière. A voir, absolument. Pour rire. De nous, notamment.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Autour du comédien danois Claes Bang, Elisabeth Moss, Dominic West, ainsi que le jeune et stupéfiant Elijandro Edouard, composent une affiche impressionnante, tous faisant la démonstration d’un jeu singulièrement affûté – une des grandes réussites du film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une satire cruelle de la société libérale avancée, et une ironie non moins acerbe à l’égard d’une création contemporaine dont on ne sait jamais trop si c’est de l’art ou du cochon, dans un film dérangeant, où le rire se fige peu à peu dans un fort sentiment de malaise.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
The Square, qui fait semblant de régler son compte à l'art contemporain, est un jeu de massacre tout-terrain. L'homme moderne, avec sa bonne conscience, en sort crucifié, éviscéré. Le spectacle est réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
"The Square" pose sur notre société un regard formidablement satirique. D'une lucidité salubre.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette chronique à l’humour tantôt grinçant tantôt absurde dépeint avec un réalisme saisissant le monde fascinant de l’art contemporain, des installations énigmatiques aux énoncés abscons aux performances qui provoquent le malaise voire dégénèrent carrément, en passant par les pique-assiette de vernissage, le tout rythmé par un Avé Maria entêtant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Cynique, drôle, assez mtello tout en sachant aborder des thèmes de société comme les migrants, « The Square » repose entièrement sur les épaules de Claes Bang, qui est de tous les plans.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Quoi qu'il en soit, même si "The Square" est un peu long, il y a des grands moments de rire, voire des scènes d'anthologie, une critique salutaire de la bien-pensance et un film qui dérange à souhait. C'est ça aussi le cinéma.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Quelle mise en scène brillante ! Chaque plan est une composition rigoureuse jouant sur le champ et le hors-champ, où le cinéaste suédois explore les rapports tendus entre nature et culture, entre dominants et dominés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Le film décortique les faux-semblants de notre société avec un mélange de lucidité, de virulence et de résignation susceptibles de servir de référence aux historiens du futur sur le mode : "c’est ainsi que les hommes vivaient".
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par La Rédaction
Un jeu de massacre à la fois brillant et trop démonstratif, à l'humour caustique et à l'interprétation subtile.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
POUR : Bel objet étrange aux antipodes de l’académisme, ce film mélange les genres avec audace et échappe au ton consensuel, proposant une réflexion subtile sur le rôle de l’intellectuel dans des sociétés inégalitaires.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Ruben Östlund griffe l'art contemporain avec malice et sourire, mais son cinéma joue l'élitisme. "The Square" se referme sur lui-même et tombe dans le piège qu'il dénonce.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Après “Snow Therapy”, Ruben Östlund revient avec cette satire vacharde des milieux artistiques. Trop systématique dans sa méchanceté, le film ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Derrière la polémique sur le palmarès, se cache un objet qui méritait moins de surexposition et sans doute une réévaluation au calme : allez donc voir "The Square", mais n’allez pas voir la Palme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Plus court, le film eût probablement été une réussite notable. En l'état, "The Square séduit, mais irrite.
Première
par Christophe Narbonne
La lourdeur de la charge est quelque peu atténuée par la drôlerie de certaines séquences décalées et par une mise en scène tape-à-l’œil qui détourne parfois l’attention. C’est long (2h20). Très long.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une farce très sûre d'elle et manquant cruellement d'élégance.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ruben Östlund accumule les scènes grinçantes mais ne parvient pas vraiment à installer un enjeu ni une progression dramatique.
Libération
par Didier Péron
Les bourgeois, les journalistes, les femmes, les immigrés, les pubards, les enfants, tout le monde aura pris au passage sa petite éclaboussure à peine salissante. Au fond, Ostlund est trop calculateur, didactique ou idéologue pour faire entrer dans son film cette part de vraie trivialité qui trahirait sa vulnérabilité, ses doutes, les failles qui rendraient du coup plus sympathique son insatiable besoin d’être reconnu et plébiscité par ce monde qu’il croit si aisément pouvoir encadrer dans une farce glacée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La mise en scène, très "épate bourgeois" et "sorrentinesque", enveloppe de ses certitudes ce film bien trop carré pour être honnête. Bof.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il y a des moments de bravoure, une ironie cinglante et pas mal de longueurs. Surtout, une façon démonstrative de procéder, entre culpabilisation et enfoncement de portes ouvertes, qui amenuise le plaisir. Cela n’a pas empêché Pedro Almodovar de lui donner sa palme d’or au dernier festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Enrobé dans des dispositifs de mise en scène froids et systématiques qui ressemblent à des caricatures de l’art qu’il dénonce, The Square n’arrive même plus à le dire avec humour : pesant et sentencieux derrière son vernis de cocasserie, le film joue à l’épate creuse. La Palme d’or est venu parachever l’entreprise, en confirmant Östlund dans son pré carré.
Critikat.com
par Fabien Reyre
"The Square" (...) compile toute l’horreur contemporaine en prenant bien soin de ne rien oublier ni d’épargner personne, et se révèle effroyablement misanthrope, sans recul et avec l’humour d’un caricaturiste paresseux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
Malgré une mise en scène maîtrisée et des acteurs magistraux, le film fuit tout mystère, tout questionnement, toute déroute. Il se déroule sous nos yeux comme un long ruban creux, aussi vain que ce qu’il s’efforce de montrer du doigt, espérant susciter indignation, colère ou engouement, là où il se fond sur la rétine dans l’ennui et la torpeur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Östlund veut l'art et le cochon. Tout, pour lui, relève de la performance. C'est le Michael Haneke de l'humour Stimorol. Il lui manque, ainsi qu'aux deux heures trente de "The Square", la rigueur et la finesse qu'appelle son ambition.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Engourdi par une sociologie de galeriste, son film incarne malgré lui précisément ce qu’il vilipende.
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : Östlund ne dérange pas, il agace. Quant à sa satire de l’art contemporain, elle est aussi subtile que les gribouillis d’Omar Sy vendus à prix d’or dans Intouchables…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
CONTRE : Malgré quelque chose d’assez stimulant intellectuellement, le cinéaste se perd en chemin si bien que l’on en oublie le pourquoi de l’intrigue et du destin des protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Une œuvre d’art. Un joyau de modernité.
La Voix du Nord
Le grinçant Ruben Östlund privilégie le plan-séquence, étirant les scènes jusqu’au malaise jusqu’à parfois évoquer le Paul Thomas Anderson de Punch-Drunk Love. L’art de la comédie à son paroxysme !
Positif
Cette nouvelle fable réjouissante vise ainsi la cible favorite de cet auteur scandinave émule de Buñuel : la bourgeoisie (dont il est issu) et à travers elle, bien sûr, les ambiguïtés du fameux "modèle suédois". Sauf qu'elle le fait d'une manière plus ample qu'auparavant. Ici, Ruben Östlund repousse en effet les limites de la performance artistique... comme celles de la morale. C'est dire si "The Square" est percutant (...).
Transfuge
Un film aussi soigné que vénéneux.
20 Minutes
Le cinéaste suédois se moque joyeusement du milieu de l’art dans cette comédie grinçante dont le personnage principal est un conservateur de musée d’art contemporain (Claes Bang, une découverte) peinant à concilier ses idéaux altruistes et son comportement égocentrique.
CNews
(...) cette satire sociale grinçante n’est pas une coquille vide, puisque cette maestria se double d’une réflexion intense et ambitieuse sur l’individualisme, la perte des valeurs collectives et la liberté d’expression.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ruben Östlund n’a pas peur des clichés ni de forcer le trait pour servir sa farce. Mais à la manière de son compatriote Thomas Vinterberg (Festen, La Chasse, La Communauté), il réussit aussi à être saisissant et glaçant.
Ecran Large
Doté d'une mise en scène impressionnante et d'un humour caustique tordant, "The Square", à défaut de contenter tous les esprits, les marquera assurément. L'empreinte des grands films.
Elle
Attention, fou rire !
Femme Actuelle
Corrosif et jubilatoire.
Franceinfo Culture
Puissant et hilarant, le film a obtenu la Palme d'or du Festival de Cannes 2017. La mise en scène est là, le cadre et la lumière. A voir, absolument. Pour rire. De nous, notamment.
La Croix
Autour du comédien danois Claes Bang, Elisabeth Moss, Dominic West, ainsi que le jeune et stupéfiant Elijandro Edouard, composent une affiche impressionnante, tous faisant la démonstration d’un jeu singulièrement affûté – une des grandes réussites du film.
Le Dauphiné Libéré
Une satire cruelle de la société libérale avancée, et une ironie non moins acerbe à l’égard d’une création contemporaine dont on ne sait jamais trop si c’est de l’art ou du cochon, dans un film dérangeant, où le rire se fige peu à peu dans un fort sentiment de malaise.
Le Figaro
The Square, qui fait semblant de régler son compte à l'art contemporain, est un jeu de massacre tout-terrain. L'homme moderne, avec sa bonne conscience, en sort crucifié, éviscéré. Le spectacle est réjouissant.
Le Figaroscope
"The Square" pose sur notre société un regard formidablement satirique. D'une lucidité salubre.
Le Journal du Dimanche
Cette chronique à l’humour tantôt grinçant tantôt absurde dépeint avec un réalisme saisissant le monde fascinant de l’art contemporain, des installations énigmatiques aux énoncés abscons aux performances qui provoquent le malaise voire dégénèrent carrément, en passant par les pique-assiette de vernissage, le tout rythmé par un Avé Maria entêtant.
Le Parisien
Cynique, drôle, assez mtello tout en sachant aborder des thèmes de société comme les migrants, « The Square » repose entièrement sur les épaules de Claes Bang, qui est de tous les plans.
Ouest France
Quoi qu'il en soit, même si "The Square" est un peu long, il y a des grands moments de rire, voire des scènes d'anthologie, une critique salutaire de la bien-pensance et un film qui dérange à souhait. C'est ça aussi le cinéma.
Télérama
POUR : Quelle mise en scène brillante ! Chaque plan est une composition rigoureuse jouant sur le champ et le hors-champ, où le cinéaste suédois explore les rapports tendus entre nature et culture, entre dominants et dominés.
VSD
Le film décortique les faux-semblants de notre société avec un mélange de lucidité, de virulence et de résignation susceptibles de servir de référence aux historiens du futur sur le mode : "c’est ainsi que les hommes vivaient".
Voici
Un jeu de massacre à la fois brillant et trop démonstratif, à l'humour caustique et à l'interprétation subtile.
aVoir-aLire.com
POUR : Bel objet étrange aux antipodes de l’académisme, ce film mélange les genres avec audace et échappe au ton consensuel, proposant une réflexion subtile sur le rôle de l’intellectuel dans des sociétés inégalitaires.
L'Express
Ruben Östlund griffe l'art contemporain avec malice et sourire, mais son cinéma joue l'élitisme. "The Square" se referme sur lui-même et tombe dans le piège qu'il dénonce.
Les Fiches du Cinéma
Après “Snow Therapy”, Ruben Östlund revient avec cette satire vacharde des milieux artistiques. Trop systématique dans sa méchanceté, le film ne convainc pas.
Les Inrockuptibles
Derrière la polémique sur le palmarès, se cache un objet qui méritait moins de surexposition et sans doute une réévaluation au calme : allez donc voir "The Square", mais n’allez pas voir la Palme.
Marianne
Plus court, le film eût probablement été une réussite notable. En l'état, "The Square séduit, mais irrite.
Première
La lourdeur de la charge est quelque peu atténuée par la drôlerie de certaines séquences décalées et par une mise en scène tape-à-l’œil qui détourne parfois l’attention. C’est long (2h20). Très long.
CinemaTeaser
Une farce très sûre d'elle et manquant cruellement d'élégance.
Le Monde
Ruben Östlund accumule les scènes grinçantes mais ne parvient pas vraiment à installer un enjeu ni une progression dramatique.
Libération
Les bourgeois, les journalistes, les femmes, les immigrés, les pubards, les enfants, tout le monde aura pris au passage sa petite éclaboussure à peine salissante. Au fond, Ostlund est trop calculateur, didactique ou idéologue pour faire entrer dans son film cette part de vraie trivialité qui trahirait sa vulnérabilité, ses doutes, les failles qui rendraient du coup plus sympathique son insatiable besoin d’être reconnu et plébiscité par ce monde qu’il croit si aisément pouvoir encadrer dans une farce glacée.
Studio Ciné Live
La mise en scène, très "épate bourgeois" et "sorrentinesque", enveloppe de ses certitudes ce film bien trop carré pour être honnête. Bof.
Sud Ouest
Il y a des moments de bravoure, une ironie cinglante et pas mal de longueurs. Surtout, une façon démonstrative de procéder, entre culpabilisation et enfoncement de portes ouvertes, qui amenuise le plaisir. Cela n’a pas empêché Pedro Almodovar de lui donner sa palme d’or au dernier festival de Cannes.
Cahiers du Cinéma
Enrobé dans des dispositifs de mise en scène froids et systématiques qui ressemblent à des caricatures de l’art qu’il dénonce, The Square n’arrive même plus à le dire avec humour : pesant et sentencieux derrière son vernis de cocasserie, le film joue à l’épate creuse. La Palme d’or est venu parachever l’entreprise, en confirmant Östlund dans son pré carré.
Critikat.com
"The Square" (...) compile toute l’horreur contemporaine en prenant bien soin de ne rien oublier ni d’épargner personne, et se révèle effroyablement misanthrope, sans recul et avec l’humour d’un caricaturiste paresseux.
Culturopoing.com
Malgré une mise en scène maîtrisée et des acteurs magistraux, le film fuit tout mystère, tout questionnement, toute déroute. Il se déroule sous nos yeux comme un long ruban creux, aussi vain que ce qu’il s’efforce de montrer du doigt, espérant susciter indignation, colère ou engouement, là où il se fond sur la rétine dans l’ennui et la torpeur.
L'Obs
Östlund veut l'art et le cochon. Tout, pour lui, relève de la performance. C'est le Michael Haneke de l'humour Stimorol. Il lui manque, ainsi qu'aux deux heures trente de "The Square", la rigueur et la finesse qu'appelle son ambition.
La Septième Obsession
Engourdi par une sociologie de galeriste, son film incarne malgré lui précisément ce qu’il vilipende.
Télérama
CONTRE : Östlund ne dérange pas, il agace. Quant à sa satire de l’art contemporain, elle est aussi subtile que les gribouillis d’Omar Sy vendus à prix d’or dans Intouchables…
aVoir-aLire.com
CONTRE : Malgré quelque chose d’assez stimulant intellectuellement, le cinéaste se perd en chemin si bien que l’on en oublie le pourquoi de l’intrigue et du destin des protagonistes.