Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film cherche constamment une sorte de moment idéal, celui où juste après un moment d’harmonie (une rencontre, une promenade, une prise de rendez-vous, un baiser, un dîner), il peut prendre congé du drame, sans perturber l’harmonie inspirante qu’il vient de réveiller en plein cœur de cet hiver de banlieue.
L'Humanité
par Emile Breton
C’est un « petit film ». D’abord par sa durée : un tout petit peu moins d’une heure. Et par son exposition : il sort à Paris, dans une salle. Fragile, donc. Mais riche. Car c’est un film « rêveur » ou plutôt qui ouvre sur des rêves, tant le rapport à la réalité y est travaillé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Mathieu Macheret
Rythmé par la marche et les conversations, flottant dans les velléités de son héros, le film contourne un récit qui n’advient jamais, et trouve à sa place, parmi les récurrences anonymes du mobilier urbain, une douce et lancinante poésie de la déambulation, qui dessille le regard et guérit les coeurs.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
La ville, l'espace, le plan sont au cœur d'un moyen métrage qui a souvent l'air d'écrire du même trait la topographie des lieux et celle des sentiments. (...) "Les Rues de Pantin" appartient à la tradition d'un cinéma français d'humeur malicieuse, teint d'un humour en mode mineur, pétri d'un esprit littéraire joliment désuet.
Libération
par Luc Chessel
Rien ne se passe, sinon la valse en mode mineur de l’homme approximatif et des femmes tranchantes, un pas de danse où nos deux lignées, la passion de l’échec comme seule fiction vivable de l’existence et l’affolement cruel du désir sous les bonnes manières, se rencontrent l’air de rien dans les Rues de Pantin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) le film, dialogué dans une langue soutenue et filmé avec un beau sens de l'épure, évoque à la fois les tribulations des surréalistes et les tranquilles libertinages de certains récits du 18e siècle.
L'Obs
par François Forestier
Nicolas Leclère se réclame de Jean-Claude Biette et de Chantal Akerman : cinéma de la contemplation auquel il faut s’abandonner, et suivre le personnage sans réticence. Une poésie douce qui a le charme d’une musique de Satie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
par Nicola Brarda
Leclère recherche dans le cadre un peu banal de la banlieue une esthétique du silence, de la discrétion, des petits riens suscitant la curiosité. Esthétique qui, malheureusement, est mise à mal par la pléthore de références qui surchargent son film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce film (...) n'a rien pour lui : situations ennuyeuses, dialogues sans inspiration, interprétation insipide et mise en scène fade.
Cahiers du Cinéma
Le film cherche constamment une sorte de moment idéal, celui où juste après un moment d’harmonie (une rencontre, une promenade, une prise de rendez-vous, un baiser, un dîner), il peut prendre congé du drame, sans perturber l’harmonie inspirante qu’il vient de réveiller en plein cœur de cet hiver de banlieue.
L'Humanité
C’est un « petit film ». D’abord par sa durée : un tout petit peu moins d’une heure. Et par son exposition : il sort à Paris, dans une salle. Fragile, donc. Mais riche. Car c’est un film « rêveur » ou plutôt qui ouvre sur des rêves, tant le rapport à la réalité y est travaillé.
Le Monde
Rythmé par la marche et les conversations, flottant dans les velléités de son héros, le film contourne un récit qui n’advient jamais, et trouve à sa place, parmi les récurrences anonymes du mobilier urbain, une douce et lancinante poésie de la déambulation, qui dessille le regard et guérit les coeurs.
Les Inrockuptibles
La ville, l'espace, le plan sont au cœur d'un moyen métrage qui a souvent l'air d'écrire du même trait la topographie des lieux et celle des sentiments. (...) "Les Rues de Pantin" appartient à la tradition d'un cinéma français d'humeur malicieuse, teint d'un humour en mode mineur, pétri d'un esprit littéraire joliment désuet.
Libération
Rien ne se passe, sinon la valse en mode mineur de l’homme approximatif et des femmes tranchantes, un pas de danse où nos deux lignées, la passion de l’échec comme seule fiction vivable de l’existence et l’affolement cruel du désir sous les bonnes manières, se rencontrent l’air de rien dans les Rues de Pantin.
Positif
(...) le film, dialogué dans une langue soutenue et filmé avec un beau sens de l'épure, évoque à la fois les tribulations des surréalistes et les tranquilles libertinages de certains récits du 18e siècle.
L'Obs
Nicolas Leclère se réclame de Jean-Claude Biette et de Chantal Akerman : cinéma de la contemplation auquel il faut s’abandonner, et suivre le personnage sans réticence. Une poésie douce qui a le charme d’une musique de Satie.
Critikat.com
Leclère recherche dans le cadre un peu banal de la banlieue une esthétique du silence, de la discrétion, des petits riens suscitant la curiosité. Esthétique qui, malheureusement, est mise à mal par la pléthore de références qui surchargent son film.
Studio Ciné Live
Ce film (...) n'a rien pour lui : situations ennuyeuses, dialogues sans inspiration, interprétation insipide et mise en scène fade.