Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Transfuge
par Sidy Sakho
En faisant face de scène en scène aux charges physiques et affectives de son personnage, Fabien Gorgeart livre ici la meilleure comédie française de cette année.
Voici
par La Rédaction
Un premier long métrage sensible, porté par Clotilde Hesme.
20 Minutes
par Caroline Vié
"Diane a les épaules" évoque la gestation pour autrui par le rire et évite les clichés.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Diane a les épaules" est une énorme surprise, tout autant que l'acte de naissance d'un réalisateur qu'il va falloir suivre de très près ces prochaines années. Totalement dévoué à son histoire, à son public et à sa magnifique comédienne, il nous venge de toutes les comédies pourries qu'on nous assène à longueur de temps en nous permettant en plus de réfléchir à notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Epatante et pleine de charme, Clotilde Hesme irradie dans cette comédie réjouissante et intelligente, qui amène à s'interroger sans juger sur un sujet très actuel.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Très belle surprise que ce premier film, comédie farfelue qui s'autorise à ne plus l'être quand on ne s'y attend pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Clotilde Hesme porte le tout, bébé et film, avec la liberté et la décontraction qui conviennent.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sans chercher à faire la morale ou être prosélyte, le réalisateur prend le prétexte de la GPA pour parler des nouveaux codes du couple et de l’éclatement des modèles familiaux. Piquante, émouvante, sexy, agaçante, Clotilde Hesme, lumineuse, a les épaules de jouer toutes les émotions.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Un premier film subtil sur la parentalité, l’amour et l’amitié, porté par une lumineuse Clotilde Hesme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le primo-cinéaste Fabien Girgeart libère le débat sur la GPA avec une comédie fine et gracieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Réflexion contemporaine sur la maternité et le lien filial (...), "Diane a les épaules" explore en parallèle le vaste champ féminin à travers cette héroïne virile, gaffeuse, soupe au lait et fière, qui ressemble parfois à un grand adolescent dégingandé perdu dans le corps d’une femme enceinte.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Avec son pitch qui fleurait bon le vaudeville, Fabien Gorgeart, dont c’est le premier long-métrage, accouche d’une comédie subtile et douce-amère qui, sous ses airs de ne pas y toucher, évoque la GPA, l’instinct maternel et les nouvelles formes de parentalité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Bien que s'inscrivant volontiers dans la veine de la comédie romantique - très fréquentée par les jeunes réalisateurs et réalisatrices français -, le premier long métrage de Fabien Gorgeart se distingue pourtant joliment.
Première
par Christophe Narbonne
Un premier long métrage prometteur avec la formidable Clotide Hesme en célibattante décalée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
En apparence léger, le film se révèle plus profond qu'il n'y paraît. Au-delà de l'essai sociétal auquel le sujet l'invitait pourtant, le scénario de Fabien Gorgeart esquisse surtout un beau portrait de femme, magnifiquement interprétée par Clotilde Hesme.
Sud Ouest
par Sophie Avon
C'est d'ailleurs toute la virtuosité de "Diane a les épaules" que de partir d'une figure superficielle et de la rendre aussi profonde au fur et à mesure de sa progression, comme si l'héroïne, qui accepte de porter un enfant par amitié pour deux amis homosexuels, gagnait en gravité à mesure qu'elle prend du poids et que son bébé se forme.
Télérama
par Samuel Douhaire
Clotilde Hesme révèle un corps burlesque et en joue avec une extrême précision, dans la liberté et le mouvement d’abord, dans la gêne, ensuite, alors que son ventre s’arrondit. On ne l’a jamais vue aussi drôle, aussi solaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Fabien Gorgeart trouve toujours la bonne distance, filmant avec jubilation ce regard doux, dur et dingue qui rend Clotilde Hesme si passionnante.
Bande à part
par Isabelle Danel
"Diane a les épaules" est à la fois un portrait de femme bien dans son époque, une histoire d’amour, et une magnifique histoire d’amitié.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Céline Rouden
Il fallait une actrice subtile pour incarner cette Diane qui oscille en permanence entre le rire et les larmes. Cela tombe bien, Fabien Gorgeart a écrit le film pour Clotilde Hesme, dont la prestation prouve, s’il en était encore besoin, l’étendue de son talent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Catherine Balle
Souvent drôle, toujours nuancé, le film ne défend aucune théorie sur la GPA. Ce qui en fait sa force et sa délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marcos Uzal
On regrette d’abord que ce film assez distendu rate l’occasion de pousser à bout toutes les pistes narratives qu’ouvre son sujet, comme le ferait une grande comédie à la Blake Edwards. Mais cette nonchalance a aussi son charme et, surtout, il apparaît progressivement que le vrai moteur du film n’est pas son sujet mais son actrice principale, Clotilde Hesme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Fabien Reyre
Le film semble osciller en permanence entre plusieurs aspirations (...) sans que ces pièces semblant provenir de plusieurs puzzles différents ne réussissent à s’assembler de façon convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
(...) une cruelle absence d'idées de cinéma dans la mise en scène et un déséquilibre entre certaines séquences trop étirées et d'autres mal exploitées.
La Septième Obsession
par Gaël Martin
En confrontant le corps des acteurs à la majesté unique de celui qui se transforme, Fabien Gorgeart rappelle la primauté de la femme dans le choix d’enfanter.
Le Monde
par Murielle Joudet
Sous ses apparences de néovaudeville, le film défile au rythme de la grossesse de son héroïne, qui finit par être cernée par le doute. Mais Fabien Gorgeart peine à orchestrer sa prise de conscience.
Le Figaro
par La Rédaction
Une comédie poussive qui esquive les enjeux de son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Transfuge
En faisant face de scène en scène aux charges physiques et affectives de son personnage, Fabien Gorgeart livre ici la meilleure comédie française de cette année.
Voici
Un premier long métrage sensible, porté par Clotilde Hesme.
20 Minutes
"Diane a les épaules" évoque la gestation pour autrui par le rire et évite les clichés.
Ecran Large
"Diane a les épaules" est une énorme surprise, tout autant que l'acte de naissance d'un réalisateur qu'il va falloir suivre de très près ces prochaines années. Totalement dévoué à son histoire, à son public et à sa magnifique comédienne, il nous venge de toutes les comédies pourries qu'on nous assène à longueur de temps en nous permettant en plus de réfléchir à notre époque.
Femme Actuelle
Epatante et pleine de charme, Clotilde Hesme irradie dans cette comédie réjouissante et intelligente, qui amène à s'interroger sans juger sur un sujet très actuel.
L'Obs
Très belle surprise que ce premier film, comédie farfelue qui s'autorise à ne plus l'être quand on ne s'y attend pas.
Le Dauphiné Libéré
Clotilde Hesme porte le tout, bébé et film, avec la liberté et la décontraction qui conviennent.
Le Journal du Dimanche
Sans chercher à faire la morale ou être prosélyte, le réalisateur prend le prétexte de la GPA pour parler des nouveaux codes du couple et de l’éclatement des modèles familiaux. Piquante, émouvante, sexy, agaçante, Clotilde Hesme, lumineuse, a les épaules de jouer toutes les émotions.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film subtil sur la parentalité, l’amour et l’amitié, porté par une lumineuse Clotilde Hesme.
Les Inrockuptibles
Le primo-cinéaste Fabien Girgeart libère le débat sur la GPA avec une comédie fine et gracieuse.
Marie Claire
Réflexion contemporaine sur la maternité et le lien filial (...), "Diane a les épaules" explore en parallèle le vaste champ féminin à travers cette héroïne virile, gaffeuse, soupe au lait et fière, qui ressemble parfois à un grand adolescent dégingandé perdu dans le corps d’une femme enceinte.
Paris Match
Avec son pitch qui fleurait bon le vaudeville, Fabien Gorgeart, dont c’est le premier long-métrage, accouche d’une comédie subtile et douce-amère qui, sous ses airs de ne pas y toucher, évoque la GPA, l’instinct maternel et les nouvelles formes de parentalité.
Positif
Bien que s'inscrivant volontiers dans la veine de la comédie romantique - très fréquentée par les jeunes réalisateurs et réalisatrices français -, le premier long métrage de Fabien Gorgeart se distingue pourtant joliment.
Première
Un premier long métrage prometteur avec la formidable Clotide Hesme en célibattante décalée.
Studio Ciné Live
En apparence léger, le film se révèle plus profond qu'il n'y paraît. Au-delà de l'essai sociétal auquel le sujet l'invitait pourtant, le scénario de Fabien Gorgeart esquisse surtout un beau portrait de femme, magnifiquement interprétée par Clotilde Hesme.
Sud Ouest
C'est d'ailleurs toute la virtuosité de "Diane a les épaules" que de partir d'une figure superficielle et de la rendre aussi profonde au fur et à mesure de sa progression, comme si l'héroïne, qui accepte de porter un enfant par amitié pour deux amis homosexuels, gagnait en gravité à mesure qu'elle prend du poids et que son bébé se forme.
Télérama
Clotilde Hesme révèle un corps burlesque et en joue avec une extrême précision, dans la liberté et le mouvement d’abord, dans la gêne, ensuite, alors que son ventre s’arrondit. On ne l’a jamais vue aussi drôle, aussi solaire.
VSD
Fabien Gorgeart trouve toujours la bonne distance, filmant avec jubilation ce regard doux, dur et dingue qui rend Clotilde Hesme si passionnante.
Bande à part
"Diane a les épaules" est à la fois un portrait de femme bien dans son époque, une histoire d’amour, et une magnifique histoire d’amitié.
La Croix
Il fallait une actrice subtile pour incarner cette Diane qui oscille en permanence entre le rire et les larmes. Cela tombe bien, Fabien Gorgeart a écrit le film pour Clotilde Hesme, dont la prestation prouve, s’il en était encore besoin, l’étendue de son talent.
Le Parisien
Souvent drôle, toujours nuancé, le film ne défend aucune théorie sur la GPA. Ce qui en fait sa force et sa délicatesse.
Libération
On regrette d’abord que ce film assez distendu rate l’occasion de pousser à bout toutes les pistes narratives qu’ouvre son sujet, comme le ferait une grande comédie à la Blake Edwards. Mais cette nonchalance a aussi son charme et, surtout, il apparaît progressivement que le vrai moteur du film n’est pas son sujet mais son actrice principale, Clotilde Hesme.
Critikat.com
Le film semble osciller en permanence entre plusieurs aspirations (...) sans que ces pièces semblant provenir de plusieurs puzzles différents ne réussissent à s’assembler de façon convaincante.
L'Express
(...) une cruelle absence d'idées de cinéma dans la mise en scène et un déséquilibre entre certaines séquences trop étirées et d'autres mal exploitées.
La Septième Obsession
En confrontant le corps des acteurs à la majesté unique de celui qui se transforme, Fabien Gorgeart rappelle la primauté de la femme dans le choix d’enfanter.
Le Monde
Sous ses apparences de néovaudeville, le film défile au rythme de la grossesse de son héroïne, qui finit par être cernée par le doute. Mais Fabien Gorgeart peine à orchestrer sa prise de conscience.
Le Figaro
Une comédie poussive qui esquive les enjeux de son scénario.