Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Film noir, SF, cinéma d’aventures et surtout épopée romanesque : après un Dharma Guns qui cherchait sa voie entre expérimentation et thriller, F.J. Ossang fait feu de tout bois dans son nouvel opus au délicieux parfum feuilletonnesque.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Avec F.J. Ossang, on ne sait jamais si l’aventure continue ou recommence. Depuis une région inconnue et une dimension parallèle au cinéma français, contre vents et marées, Ossang continue à chaque film de refaire du cinéma pour la première fois.
L'Humanité
par Emile Breton
Polar, aventures en mer, espionnage, dandysme, 9 Doigts est tout cela : c’est un film de F. J. Ossang, cinéaste, poète, romancier, fondateur du groupe punk DDP (De la destruction pure), qui ne s’attache à dire la beauté du monde, des Açores à l’immensité de l’océan, d’une ville la nuit aux soutes d’un cargo graisseux, que pour en souligner la fragilité. Par là chacun de ses films, courts ou longs, est une mise en garde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film d'aventures surnaturelles d'une poésie fantasque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Le cinéaste punk tente un polar singulier, très référencé mais à contre-courant des canons français.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le punk F.J. Ossang nous emmène dans un étrange voyage qui part du film noir pour déboucher sur la science-fiction la plus folle, et où les références intimidantes comptent moins qu’une approche sensorielle propre à stimuler l’imaginaire du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Télérama
par Frédéric Strauss
C’est la grâce perdue du cinéma muet qui renaît dans ces images dont la beauté nous transporte et suffit à nous faire voyager.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Véritable OVNI sur le fond comme sur la forme, cet étrange long-métrage est le fruit d’un artiste multiple. Alors, faisons-lui confiance pour nous embarquer dans une fresque lyrique déjantée et, pourquoi pas, de chercher la clef de son film noir labyrinthique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
"9 doigts" s’apparente à un « naufrage » superbe et volontaire, un prêche absurde dans le désert, une sorte de film auto-sabordé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Machination de l'obscur, inquiétant jeux d'ombres profondes et de lumières ténues : les références et le style d'Ossang sont toujours aussi affirmés, mais ils se délitent dans un scénario prétexte, hommage trop cérébral aux genres, qui n'ose pas s'aventurer dans le fétichisme et la sexualisation de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film dessine l’errance de ses personnages dans un monde où les narrations collectives sont devenues illisibles et d’où émanent des bouffées paranoïaques. On ne revient pas d’un tel voyage au bout de la nuit. p
Le Parisien
par La Rédaction
Filmé dans un noir et blanc très esthétique qui rappelle les films expressionnistes allemands, « 9 doigts » est un voyage poétique étrangement beau. Il séduira les cinéphiles exigeants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
À la suite d’un braquage, une bande de gangsters embarque sur un cargo maléfique. Ce cinquième long métrage de F.J. Ossang - cinéaste, écrivain et musicien - prolonge avec bonheur une œuvre tout à fait personnelle et singulière.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Le résultat est parfois longuet, souvent intriguant, toujours surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par William Le Personnic
Ossang filme des personnages noctambules sans rêverie, le voyage comme une stagnation.
L'Express
par A.L.F.
Un cinéma un peu condescendant et surtout (très) agaçant.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Là où le polar aurait pu être théorique ou abstrait, il est juste prétentieux et interminable.
Bande à part
Film noir, SF, cinéma d’aventures et surtout épopée romanesque : après un Dharma Guns qui cherchait sa voie entre expérimentation et thriller, F.J. Ossang fait feu de tout bois dans son nouvel opus au délicieux parfum feuilletonnesque.
Cahiers du Cinéma
Avec F.J. Ossang, on ne sait jamais si l’aventure continue ou recommence. Depuis une région inconnue et une dimension parallèle au cinéma français, contre vents et marées, Ossang continue à chaque film de refaire du cinéma pour la première fois.
L'Humanité
Polar, aventures en mer, espionnage, dandysme, 9 Doigts est tout cela : c’est un film de F. J. Ossang, cinéaste, poète, romancier, fondateur du groupe punk DDP (De la destruction pure), qui ne s’attache à dire la beauté du monde, des Açores à l’immensité de l’océan, d’une ville la nuit aux soutes d’un cargo graisseux, que pour en souligner la fragilité. Par là chacun de ses films, courts ou longs, est une mise en garde.
Les Inrockuptibles
Un film d'aventures surnaturelles d'une poésie fantasque.
Libération
Le cinéaste punk tente un polar singulier, très référencé mais à contre-courant des canons français.
Mad Movies
Le punk F.J. Ossang nous emmène dans un étrange voyage qui part du film noir pour déboucher sur la science-fiction la plus folle, et où les références intimidantes comptent moins qu’une approche sensorielle propre à stimuler l’imaginaire du spectateur.
Télérama
C’est la grâce perdue du cinéma muet qui renaît dans ces images dont la beauté nous transporte et suffit à nous faire voyager.
aVoir-aLire.com
Véritable OVNI sur le fond comme sur la forme, cet étrange long-métrage est le fruit d’un artiste multiple. Alors, faisons-lui confiance pour nous embarquer dans une fresque lyrique déjantée et, pourquoi pas, de chercher la clef de son film noir labyrinthique.
Critikat.com
"9 doigts" s’apparente à un « naufrage » superbe et volontaire, un prêche absurde dans le désert, une sorte de film auto-sabordé.
L'Obs
Machination de l'obscur, inquiétant jeux d'ombres profondes et de lumières ténues : les références et le style d'Ossang sont toujours aussi affirmés, mais ils se délitent dans un scénario prétexte, hommage trop cérébral aux genres, qui n'ose pas s'aventurer dans le fétichisme et la sexualisation de ses acteurs.
Le Monde
Le film dessine l’errance de ses personnages dans un monde où les narrations collectives sont devenues illisibles et d’où émanent des bouffées paranoïaques. On ne revient pas d’un tel voyage au bout de la nuit. p
Le Parisien
Filmé dans un noir et blanc très esthétique qui rappelle les films expressionnistes allemands, « 9 doigts » est un voyage poétique étrangement beau. Il séduira les cinéphiles exigeants.
Les Fiches du Cinéma
À la suite d’un braquage, une bande de gangsters embarque sur un cargo maléfique. Ce cinquième long métrage de F.J. Ossang - cinéaste, écrivain et musicien - prolonge avec bonheur une œuvre tout à fait personnelle et singulière.
Première
Le résultat est parfois longuet, souvent intriguant, toujours surprenant.
Positif
Ossang filme des personnages noctambules sans rêverie, le voyage comme une stagnation.
L'Express
Un cinéma un peu condescendant et surtout (très) agaçant.
Le Journal du Dimanche
Là où le polar aurait pu être théorique ou abstrait, il est juste prétentieux et interminable.