Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Libération
par Guillaume Gendron
En mélangeant onirisme [...] et hyperréalisme 3D, Savona explose les codes du documentaire pour raconter toutes les rues Samouni du monde, ces impasses oubliées de l’histoire où coagule le sang des victimes. Sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ophir Levy
Dès lors, le film va s'attacher à se transformer en un dispositif testimonial dont le caractère saisissant tient autant à sa force immersive qu'à sa beauté.
Bande à part
par Isabelle Danel
Un documentaire, implacable et subtil, sur la résilience.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Le dispositif gagne en profondeur pour acquérir une vraie qualité mémorielle et dédoubler le présent du film en un avant et un après-drame, selon la logique de la réminiscence.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le réalisateur se garde de toute obscénité dans son exposition.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Samouni Road", présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes, n'a pas volé son œil d'or du meilleur documentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Le résultat est un film symptomatique de cette tendance du documentaire à utiliser des formes très fictionnelles pour raconter le plus sincèrement possible les événements passés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Un document fascinant par son entrelacement de régimes d’image, ce qui en fait sa force première (la sidération des changements de rythme) et sa légère limite (le risque de trop-plein d’informations).
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Un documentaire plein d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un témoignage saisissant et nécessaire qui dénonce, à travers le destin tragique d’une famille de la bande de Gaza, les blessures à jamais inconsolables, laissées par le conflit entre Israël et la Palestine, grâce à l’alternance subtile d’images de reconstitution de guerre, d’images d’animation et d’images documentaires.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
(...) un léger voile sur une entreprise dont la finalité et la démarche globale s'avèrent pourtant salutaires - un refus de laisser les médias de masse s'accaparer la représentation du monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
S’il aurait gagné à être raccourci, ce documentaire à la fois douloureux et lumineux touche en plein cœur.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Stefano Savona, qui avait gagné Gaza en janvier 2009 pour y tourner sous les bombardements, ne prétend pas à la neutralité. Mais la richesse des moyens qu’il s’est octroyés pour raconter l’histoire des Samouni lui permet de mettre en scène une histoire riche, contradictoire, marquée par la tragédie sans s’y réduire tout à fait.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Son pouvoir d’évocation est bien inférieur à l’incroyable force du récit oral que les survivants livrent face caméra. Malgré ce déséquilibre, "Samouni Road" reste un passionnant documentaire, qui, à l’instar de l’excellent "Homeland : Irak année zéro" d’Abbas Fahdel (2015), donne de la guerre une vision à hauteur d’enfants d’une rare pertinence.
Première
par Eric Vernay
Moins radicale que chez le cinéaste franco-cambodgien, plus littérale, cette hybridation entre documentaire et animation produit néanmoins quelques belles échappées oniriques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
En mélangeant onirisme [...] et hyperréalisme 3D, Savona explose les codes du documentaire pour raconter toutes les rues Samouni du monde, ces impasses oubliées de l’histoire où coagule le sang des victimes. Sidérant.
Positif
Dès lors, le film va s'attacher à se transformer en un dispositif testimonial dont le caractère saisissant tient autant à sa force immersive qu'à sa beauté.
Bande à part
Un documentaire, implacable et subtil, sur la résilience.
Cahiers du Cinéma
Le dispositif gagne en profondeur pour acquérir une vraie qualité mémorielle et dédoubler le présent du film en un avant et un après-drame, selon la logique de la réminiscence.
L'Humanité
Le réalisateur se garde de toute obscénité dans son exposition.
L'Obs
"Samouni Road", présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes, n'a pas volé son œil d'or du meilleur documentaire.
Le Parisien
Le résultat est un film symptomatique de cette tendance du documentaire à utiliser des formes très fictionnelles pour raconter le plus sincèrement possible les événements passés.
Les Fiches du Cinéma
Un document fascinant par son entrelacement de régimes d’image, ce qui en fait sa force première (la sidération des changements de rythme) et sa légère limite (le risque de trop-plein d’informations).
Télérama
Un documentaire plein d’espoir.
aVoir-aLire.com
Un témoignage saisissant et nécessaire qui dénonce, à travers le destin tragique d’une famille de la bande de Gaza, les blessures à jamais inconsolables, laissées par le conflit entre Israël et la Palestine, grâce à l’alternance subtile d’images de reconstitution de guerre, d’images d’animation et d’images documentaires.
Critikat.com
(...) un léger voile sur une entreprise dont la finalité et la démarche globale s'avèrent pourtant salutaires - un refus de laisser les médias de masse s'accaparer la représentation du monde.
Le Journal du Dimanche
S’il aurait gagné à être raccourci, ce documentaire à la fois douloureux et lumineux touche en plein cœur.
Le Monde
Stefano Savona, qui avait gagné Gaza en janvier 2009 pour y tourner sous les bombardements, ne prétend pas à la neutralité. Mais la richesse des moyens qu’il s’est octroyés pour raconter l’histoire des Samouni lui permet de mettre en scène une histoire riche, contradictoire, marquée par la tragédie sans s’y réduire tout à fait.
Les Inrockuptibles
Son pouvoir d’évocation est bien inférieur à l’incroyable force du récit oral que les survivants livrent face caméra. Malgré ce déséquilibre, "Samouni Road" reste un passionnant documentaire, qui, à l’instar de l’excellent "Homeland : Irak année zéro" d’Abbas Fahdel (2015), donne de la guerre une vision à hauteur d’enfants d’une rare pertinence.
Première
Moins radicale que chez le cinéaste franco-cambodgien, plus littérale, cette hybridation entre documentaire et animation produit néanmoins quelques belles échappées oniriques.