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Un visiteur
1,0
Publiée le 26 juillet 2018
si ce n'est pas un nanard , ce n'en est pas loin ; l'histoire ne tiens pas debout , evec des gadjets de sf et d' autre de brocantes scenario branland, et inconsistant , même jodie foster que j'adore est completement a coté de ses pompes... à eviter
Premier film pour Drew Pearce qui avant cela s'est fait connaitre notamment pour avoir participé à l'écriture des scénarios de "Mission: Impossible - Rogue Nation" et de "Iron Man 3". Pour sa première derrière la caméra, il s'entoure d'un casting plutôt sympa dans un huis clos qui réunit pas mal de "méchants", certains qui le sont plus que d'autres. Ce qu'ils font ici ? C'est simple, ils viennent dans cet hôtel qui est en fait une sorte de maison de repos et hôpital pour criminels. Ils paient cher pour être membres de ce lieu et ainsi profiter des soins, du calme et de la discrétion de l'endroit. Dans ce cadre très 90's à l'ambiance cyberpunk, tout le monde vit ensemble sans problème jusqu'à l'arrivée d'une personne importante qui va faire basculer cet équilibre. Au-delà du lieu, le contexte est également instable puisque cela se passe à une époque, en 2028 pour être précis, où la ville de Los Angeles est au bord de la guerre civile. Un contexte pas exploité qui renferme encore plus les personnages sur eux-mêmes. Un choix logique, car ce sont eux les "stars" du film et non pas cette histoire finalement très classique et prévisible dès les premières minutes même si elle est longue à se mettre en place. En plus d'être simple, elle n'est pas très bien ficelée avec les différentes histoires des personnes qui s’emboîtent mal ce qui rend l'ensemble brouillon, mais pas incompréhensible pour autant. Tout est fait pour nous amener jusqu'à cette dernière partie explosive durant laquelle Sofia Boutella s'en sort bien, mais qui est trop courte pour être réellement divertissante. Au final, il y a beaucoup de choses dans ce film, mais ça reste une série B sans enjeux qui se laisse regarder sans déplaisir, mais qui sera vite oubliée.
Le synopsis du film est très bon, mais très vite on comprend que le réalisateur n'en a pas fait grand chose et se contente de cumuler des personnages caricaturaux et quelques scènes de bastons, le tout sous un pseudo-suspense, moyennement emballant. Reste le plaisir de retrouver Jodie Foster.
Il semblerait que je me sois trompé d'hôtel, j'avais cru lire sur la porte Hôtel Continental... Pourtant, au cours d'un ennuis profond, je pense avoir croisé quelques têtes connues. Jeff Goldblum, Jodie Foster... Hotel Artemis restera de ces premiers films au bon goût promotionnel, qui laisse pantois. Ça commence tel un objet inclassable, puis lorgne de partout en s'efforçant de copier, puis se perd totalement sans formuler la moindre idée.
Fiction d’anticipation qui m’a déplue, un style de mise en scène qui s’inspire, il y a l’influence mais n’est qu’une pâle copie, une intrigue arbitraire, indolore, éparpillé, un bazar bordélique et incohérente.
Une très belle surprise ! Un film d'anticipation sur un hôtel hôpital qui soigne des gansters mais ou tout va mal tourner forcément. Des acteurs, une photo au top surtout avec une Judie Foster au summum excellente en infirmière. A voir.
Le premier long-métrage de Draw Pearce se situe à Los Angeles, en l'an 2028, et plus précisément à l'hôtel Artemis, lieu dans lequel une infirmière âgée (Jodie Foster) s'évertue à soigner des criminels de toute sorte. Les criminels se verront offrir une place à l'hôtel sous condition de se déposséder de leurs armes, de ne pas insulter le personnel ou de ne pas tuer les autres patients.
Pour pimenter l'intrigue, Draw Pearce place sa Los Angeles dans un contexte d'instabilité sociale, avec de multiples et violentes émeutes nées de la privatisation de l'eau, plongeant ainsi son film dans une ambiance de thriller d'anticipation. À partir de ce postulat, l'action du film se focalisera principalement sur l'hôtel, ses environs proches ainsi que sur la galerie de personnages haut en couleurs. L'infirmière, accompagnée d'Everest (Dave Bautista), s'attardera à soigner ses patients tout en faisant preuve d'une jolie répartie à base de quelques punchlines bien senties, même si derrière ce masque jovial se cache une tragédie qui la ronge depuis de nombreuses années.
Dave Bautista pour sa part, se contentera principalement de jouer les gros bras même s'il montrera à plusieurs reprises une profonde sympathie et du respect envers l'infirmière.
La galerie des malfrats n'est pas en reste avec deux frères voleurs, une assassine, un vendeur d'armes ainsi que Wolfking, big boss des criminels de Los Angeles et ses sous-fifres. De quoi créer des étincelles avec des affrontements verbaux et musclés plutôt nombreux et convaincants.
Le principal attrait de ce projet est l'ambiance: Une bande originale aux consonances synthwave, une photographie sombre et classe (versant légèrement dans le cyberpunk) et un hôtel créé en studio mêlant style ancien et ajouts futuristes qui sonne vrai.
Mais une fois acclimaté à ce contexte oppressant et inhospitalier, on fait face à une intrigue finalement convenu (académique diront certains) de thriller et de quelques deus ex machina venant décoincer l'intrigue. Rien dans le récit ne marquera les esprits, rien à capturer non plus au niveau des thématiques au cours de cette (chouette) heure et demi de film. Reste alors un cadre original, une ambiance soignée et des personnages qui lorgnent vers le "plutôt convaincant". De bons atouts (et quelques faiblesses) font de cet Hotel Artemis un film 3 étoiles (et demie).
Gros casting et bonnes idées, on pensera évidemment John Wick pour le Continental, Strange Days pour l'ambiance apocalyptique (ratée au demeurant) voire Blue Velvet pour l'ambiance générale de l'Hôtel, mais rien ici ne marche vraiment car le réalisateur ne choisit pas entre le film de genre où l'ambiance l'emporte sur l'histoire et le film d'action où le scénario prend le pas sur le monde du film. Du coup, aucun des deux n'est vraiment exploré et finalement même si ce n'est pas déplaisant ça ne casse pas grand chose non plus. Dans l'esprit, ils auraient mieux fait de faire un Spin Off du Continental sans scénario, juste ne faisant interagir une galerie de personnages cools.
un bon thriller avec un casting huppé mais au final malgré ce gros potentiel le film nous laisse sur notre faim. c'est dommage car les personnages plus étoffés nous auraient servis un superbe thriller futuriste. mais bon y a de belles scènes tout de même.
L'histoire est un peu décousue mais malgré tout le film se suit jusqu'au bout... Mentions spéciales à Jodie Foster, qui s'est enlaidie pour ce rôle et à Sofia Boutella, qui campe une française sexy mais terriblement dangereuse...
Enfermer ses personnages dans un lieu commun pour faire exploser les fortes personnalités et mettre en place un jeu de chat et de la souris est un recours narratif plutôt commun. Maintes fois utilisés au cinéma, il est surtout issue de la littérature et des Dix petits nègres d'Agatha Christie mais ce procédé semble revenir à la mode dans des contexte qui semble similaires. Il y a d'abord ce Hotel Artemis, premier film du jeune Drew Pearce qui s'est fait connaitre en co-scénariste d'Iron Man 3 et de Mission: Impossible Rogue Nation, puis plus tard dans l'année il y aura Bad Times at the El Royale de Drew Goddard. Deux films qui viennent placer des criminels au sein d'un même hôtel pour les regarder imploser. Pearce lui choisit la voie de l'anticipation pour son film avec l'ambition clairement affiché d'accoucher d'une série B dans la plus pure tradition carpenterienne.
C'est d'ailleurs le principal défaut de cet Hotel Artemis, c'est à force d'afficher sans vergogne ses influences, il perd toute once d'originalité. Le contexte socio-politique sur le point d'imploser n'est pas sans rappeler certaine thématique de Carpenter mais ici cela reste une toile de fond pas développée, l'hôtel symbole d'un réseau criminelle qui sévit en parallèle du nôtre rappelle John Wick et son univers tandis que la construction narrative en elle-même évoque pleinement les écris d'Agatha Christie. Finalement, le film ne sera jamais vraiment plus que ce qu'il n'affiche et ne peut pas vraiment compter sur des personnages assez peu épais pour venir le gonfler. La relation entre l'infirmière et son aide soignant est plutôt réussie mais lui ne reste que monsieur muscles tandis que elle se voit affublé d'un passé lourd attendu et d'une névrose assez mal gérée et qui sert plus de ressort narratif plutôt que d'un vrai élément qui fait évoluer le personnage. Les autres ne sont pas forcément mieux servis, reste des stéréotypes et ne sont pas assez nombreux ni assez intéressants pour que le film joue sur un quelconque suspense. On a le criminel repenti, la tueuse à gage qui a dû cœur, le riche mégalo détestable, le baron du crime très méchant et son fils qui rêve de suivre ses pas. C'est à peut près de tout ce dont se compose le film et il jouera exactement les scènes dont on s'imagine avec un tel rassemblement de personnages. Heureusement le casting est plutôt en forme et offre tous le meilleur d'eux-mêmes, de la cool-attitude d'un Jeff Goldblum de passage au cabotinage de Charlie Day en passant par l'efficacité monolithique de Dave Bautista tout y passe pour notre grand plaisir. Surtout que le trio principal fonctionne à merveille permettant à Jodie Foster de briller dans un rôle dont on a pas l'habitude de la voir, de donner à Sofia Boutella un vrai rôle badass à sa hauteur tandis que Sterling K. Brown fait office de révélation avec son naturel et son flegme qui le rendent vraiment attachant.
Avec ça, Drew Pearce compose une réalisation solide. On reste sur une série B assez fauché mais le rendu n'a jamais à rougir face à des productions parfois plus massives. Sans pour autant développer une véritable identité, le tout fait le job accompagné d'une bande son de qualité. Dommage que la mise en scène reste assez plate au final. Drew Pearce mise avant tout sur l'ambiance et le suspense même quand il n'a pas le matériel pour, ce qui fait que le tout prend le rythme d'un slow burn et même si on ne peut pas parler de longueurs, une approche plus punchy aurait sans doute été plus pertinente. Surtout que quand l'action se déclenche enfin, Pearce signe des séquences assez peu lisibles et qui manque d'envergure. Hormis l'échauffourée de Sofia Boutella qui vaut vraiment le déplacement. L'ensemble n'est jamais raté mais on reste clairement face à une première réalisation qui va avec ses maladresses et il est dommage qu'après avoir été un dialoguiste et scénariste plutôt capable, Pearce n'a pas totalement misé sur ça pour asseoir la qualité de son film.
Hotel Artemis est une série B efficace et plutôt plaisante à suivre mais elle ne sera jamais bien plus que cela. Le scénario est attendu, ne tire pas profit de son contexte et se pare de personnages assez creux même si ils sont tenus par un casting très en forme. De plus Drew Pearce ne brille pas par la qualité de sa mise en scène, car même si il démontre avoir les épaules pour une réalisation solide, il fait les mauvais choix sur la tonalité et le rythme de son film. Hotel Artemis aurait gagné à être une oeuvre plus pêchu et rentre dedans car sa tentative de se jouer en film d'atmosphère se retourne assez souvent contre lui. Cela reste quand même plutôt plaisant de voir un film qui essaye de prendre son temps pour poser des personnages et une ambiance mais cela aurait été plus gratifiant si tout ça avait eu un peu plus d'épaisseur.
Hôtel Artémis est une sorte de mélange des genres un peu indigeste par moment, le parallèle le plus flagrant sera forcément celui de hôtel continental de John Wick également régit par des règles, pour toutes sortes de criminel. L'ambiance est globalement réussit mais le scénario ne vole vraiment pas haut et que dire de certains dialogues. L'action se passe en 2029 dans un futur très proche donc, a los Angeles en pleine émeute enfin vu ce qui est montrer on peut carrément parler de guerre car lorsque des missiles traverse le ciel pour abattre des helicos qui se crash dans les buildings en on est pas loin. Et la médecine à fait un bon i impressionnant en 10 maintenant on imprime des fois 3D en un temps record, o. Établi des diagnostics à l'aide de machine ultra sophistiqués, vu la vitesse à laquelle évolue la médecine et j'en sais quelque chose, j'ai peine à croire que l'on verra ça dans10ans. La distribution est plutôt réussi même si certains rôles sont plus digne du caméo, mais les dialogues et les nombreuses faiblesses du scénario gâche l'ensemble et en font au final un film d'action lambda.
Le début du film commence sur les mamas and papas, on pouvait donc s attendre à un film un peu décalé, combats au corps à corps sur les beach boys, fusillades sur Irène Cara, ... mais cela se révèle vite une fausse piste. Le collègue des deux frères, une autre promesse non tenue. Mo au milieu des émeutiers, pas vu. Nice qui appâte sa proie, je m attendais à ce qu à son arrivée elle lui lance quelque chose dessus, par exemple et en particulier l as de pique, mais non, même pas l hélicoptère - alors oui, sur la fin, on comprend que détroit a ses exigences -expliquées d ailleurs par Nice après le vol de l as de pique. Mais finalement, le film semble ne pas tenir les promesses qu il fait.
Je n ai compris que plus d une heure après la fin du film que l as de pique, qui semblait important dans le film et dont je n avais vraiment pas compris l importance, c est peut être la carte utilisée pour passer la commande d arme. Si au début on la voit assez bien, avec ce rectangle blanc genre puce électronique, lorsque elle est utilisée plus tard, c est trop rapide et on ne la reconnaît pas.
Je n ai pas été emballé par la bague mais en effet, c est assez crédible au fond qu elle soit utile. Ainsi que le montre le film, son utilité est vraiment très relative. D ailleurs pour cette histoire de grille, étonnant qu elle soit si facile à contourner.
On pourrait continuer longtemps sur les faiblesses, d ailleurs il n y a qu a voir le synopsis AlloCiné, j aimerais bien que son auteur m explique où dans le film l infirmière découvre que son patient est menacé. Au final, le film est agréable mais ne m a pas paru réussi du tout. On passe un bon moment et il y a quelques bonnes maximes.
Hotel Artemis est un film dont je n'avais jamais entendu parler avant sa sorti cette semaine. Et franchement, le film vaut le coup d'œil. Mélange de thriller et de SF, j'ai adoré l'univers du film, avec ce petit côté apocalyptique qui me plaît fortement. C'est sombre, dangereux, violent.... Le sentiment d'insécurité règne en maître tout le long du film. La tension est bien gérée et ne faiblit pas sur toute la durée. Pour ceux qui cherchent de l'action n'y compter pas trop, il n'y en a réellement qu'à la fin. Le film mise avant tout sur L'atmosphère crasseuse et tendu. L'hôtel est géré par une infirmière jouée par l'excellente Jodie Foster, j'ai adoré son personnage jouant sur le cynisme et une pointe d'humour noir. On s'attache très facilement à elle. J'ai beaucoup aimé le personnage de Sofia Boutella aussi, aussi mystérieuse que dangereuse. Elle nous donnera quelques scènes de bastons bien chorégraphié et fun. Le seul gros problème du film à mon goût est son manque de profondeur aux niveaux des personnages, on en sait trop peu sur eux c'est un peu dommage à ce niveau là. Le seul personnage développé du film est la gérante de l'hôtel. J'ai beaucoup apprécié revoir Jeff Goldblum dans un petit rôle, j'aime bien cet acteur. Malgré un scénario un peu mince et le manque de profondeur des personnages, j'ai vraiment passé un excellent moment devant ce film. Pas parfait, il manque ce petit truc pour en faire un must, mais j'ai un petit coup de cœur pour ce film. A voir.