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    Une chambre en ville
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    3,5
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    41 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 novembre 2019
    Dix sept ans après le succès des Parapluies de Cherbourg : Jacques Demy nous offrait un nouveau chef d'oeuvre. Malgré le changement de compositeur (Michel Legrand remplacé par Michel Collombier) : l'atmosphère et les personnages sont les mêmes. Mais le tout est beaucoup plus mature que les Parapluies mais aussi plus violent et dérangeant. Car ici : Demy commencer à écrire son testament cinématographique et en créant UNE CHAMBRE EN VILLE : on assiste à la remise en question d'un cinéaste. Porter par les prestations époustouflantes de Dominique Sanda exceptionnelle, et Richard Berry étonnant dans ce rôle. Le film a mit dix ans à ce faire et pourtant le résultat est éblouissant. Et la critique unanime de l'époque ne se trompait pas : on a à faire à un film de grande qualité. Pourtant une étoile en moins pour cette violente qui dérange tout de même.
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2019
    Mon Dieu que cela a l'air ennuyeux ! Je suis tombé sur ce film en suivant les liens acteur (Dominique Sanda) d'un thriller-policier de Philippe Labro. Ça a l'air déprimant avec des chansonnettes qui ne riment même pas...Déjà que je n'avais pas vraiment été emballé par les classiques de Jacques Demy, et ce n'est pas que je n'aime pas les films musicaux, j'adore tous les musicaux Américains (années 40 spécialement)...mais bon certains aiment sans doute, je m'excuse donc auprès d'eux et ma note n'est qu'un avis personnel. Il fallait que je donne mon avis au moins une fois au sujet de ce réalisateur, par hasard (en suivant des liens), mais une fois...ça suffira pour l'ensemble de son oeuvre.
    Alain D.
    Alain D.

    586 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2019
    Ce drame écrit et réalisé par Jacques Demy en 1982 a quelque peu vieilli. Marques de fabrique du réalisateur, la mise en scène est irréprochable et les décors très colorés. Même si le contexte est différent, son scénario très sombre possède beaucoup de similitudes avec "Les Parapluies de Cherbourg" écrit 20 ans plus tôt. Jacques Demy nous offre une belle reconstitution de l'ambiance des années 60 ; dommage que les dialogues chantés s'adaptent mal à une situation de lutte sociale aussi dramatique. Dommage également que J. Demy n'ait pu obtenir la collaboration de Michel Legrand pour la musique, même si la composition de Michel Colombier reste tout à fait honorable.
    Outre les excellentes participations de Michel Piccoli et Jean-François Stévenin, ce film nous permet d'apprécier les bonnes prestations d'acteurs de Danielle Darrieux et Richard Berry.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2018
    Ultime chef d'oeuvre de Jacques Demy et film maudit voire oublié, Une chambre en ville est un film bouleversant. Michel Colombiers réussit à faire oublier avec le plus grand des talents Michel Legrand au moyen d'une composition musicale éblouissante et des dialogues qui vont à l'essentiel. La grande histoire (les grèves de Nantes) va de pair avec une autre grande histoire, la passion amoureuse poussée à son paroxysme entre ces deux êtres unis pour l'éternité. L'amour à mort, l'amour jusqu'à la mort. Jacques Demy, dont c'est selon moi le meilleur film avec Les parapluies de Cherbourg, s'écarte de tout réaliste ou d'un naturalisme pesant. Les scènes les plus dramatiques sont traitées avec un réalisme minimal mais plutôt stylisées, assez expressionniste, nous sommes dans un univers parfois quasi onirique, les personnages semblant tous détachés de l'action à certains moments. Le cinéaste compose aussi parfaitement le jeu des couleurs, il faut voir la vêture des murs des pièces, bleues, rouges... Comme à son habitude, le cinéaste ajoute à son récit et à ses thématiques une composante assez perverse. Les personnages ne sont, à priori, pas particulièrement sympathiques, en tout cas les trois principaux, volontiers égoïstes et fats. La violence nimbe le climat du film, scènes d'amours passionnées ou violences physiques. Danièle Darrieux est sublime à l'image de Dominique Sanda qui n'a jamais été aussi belle. Un film immense et inoubliable qui sait qu'il y a plus grand et plus important que des revendications ouvrières : l'amour.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 novembre 2017
    À Nantes en 1955, les amours tragiques d'un ouvrier gréviste avec la fille de sa logeuse.

    "Les Parapluies de Cherbourg" est un de mes films préférés. Pas très surprenant de ma part qui tient "La La Land" comme le meilleur film de la décennie. Tout m'y est enchantement : ses dialogues entièrement chantés, ses décors aux couleurs pimpantes, la guerre d'Algérie en arrière-plan politique, la musique de Michel Legrand, la candeur de Catherine Deneuve...

    Je n'avais jamais vu "Une chambre en ville", sorti près de vingt ans plus tard, dont une critique élogieuse garantissait qu'il n'avait pas à pâlir de la comparaison avec le film de 1964. J'ai profité d'une rétrospective Jacques Demy à "Écoles 21" - le nouveau nom du "Desperado" - pour combler cette lacune.

    Bien mal m'en prit. J'ai tout détesté dans ce film ridicule. Les dialogues entièrement chantés manquent cruellement de naturel. Les décors aux couleurs pimpantes sont criards. Les luttes ouvrières en arrière-plan politique sont sans intérêt. La musique de Michel Colombier n'arrive pas à la cheville de celle de Michel Legrand. Le jeu maladroit de Richard Berry, petite gouape aussi peu crédible en gréviste que je le serais en champion du monde de beach volley, et celui de Dominique Sanda, nue sous son coûteux manteau de fourrure (sic), réussissent à faire oublier la performance de Danielle Darrieux, impeccable en vieille dame indigne.

    Au point que, l'espace d'un instant, ma passion juvénile et romantique pour "Les Parapluies de Cherbourg" s'est trouvée mise en cause. L'adorerais-je encore si je le revoyais aujourd'hui ? Que dirais-je de ses dialogues entièrement chantés de ses décors aux couleurs pimpantes ? Ai-je détesté "Une chambre en ville" parce que c'est un mauvais film ? Ou parce que "Les Parapluies de Cherbourg" n'est pas si bon que je le pensais ?
    Julien B.
    Julien B.

    9 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2017
    Revu comme souvenir d'enfance, ce film représente une bonne surprise.
    Malgré le côté désuet des chants, les relations entre les personnages d'origines sociales diverses, sur fond de lutte sociale, permettent de donner une consistance qui peut être intéressante à ce drame.
    Jalousie, différence sociale, peine de coeur, trajectoire familiale, les thèmes abordés sont ainsi multiples et interprétés avec un charme ancien par les acteurs encore connus.
    A redécouvrir.
    demoph
    demoph

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Une chambre en ville est un échec commercial signé Jacques Demy. C'est aussi un très grand film. Avec comme toujours chez Demy des décors, des couleurs, des mouvements de caméras, des acteurs, des dialogues merveilleux.
    Le film semble engager un dialogue avec Les Parapluies de Cherbourg, dont il reprend le style. Il ne s'agit pas de comédies musicales: le passage clé dans les comédies musicales est celui du parlé au chanté, cela n'existe pas ici. Il n'y a pas non plus de chorégraphie, et le sujet diffère radicalement de celui de n'importe quel comédie musicale. Contrairement au Demoiselles de Rochefort, il est inutile de chercher ici l'influence de la comédie musicale américaine, de Donen, Minelli, Wise ou Cukor. La principale influence de Demy est probablement Quais des brumes et le réalisme poétique de Carné. Comme Prévert, Demy se permet tout dans les dialogues, et donne au cadre social de son film un réalisme effrayant et aussi un universalisme et une symbolique qui lui font dépasser son cadre de départ. Il s'agit à la fois très précisément des grèves de Nantes de 1955, et le soin de la reconstitution nous en convainc, mais il s'agit aussi de l'éternel lutte entre les patrons et les employés. De l'amour d'Edith et François mais aussi de toutes les passions qui donnent envie d'aller au bout de tout. De même que dans les Parapluies, l'Algérie c'était la guerre dont n'arrêtait pas de parler depuis dix ans et où 28 mois chacun, les jeunes français partaient mais aussi toutes les politiques que les gouvernements mettent en place et qui finissent par séparer les jeunes et amoureux.
    Le film reprend les thématiques des Parapluies mais donne des conclusions différentes. En particulier, là où la société finissait par l'emporter, et où chacun restait dans sa classe social à faire de l'essence ou porter des fourrures, spoiler: l'amour est maintenant plus fort que le désir de se s'intégrer à la société, que le désir de vivre. Tout est dépeuplé, tout prend sens dans la mort. L'instinct de conservation disparait car il ne fait plus sens, ce qui fait sens c'est de poursuivre l'amour et la solidarité jusqu'au bout
    . Le bon côté des choses c'est que la vie a un sens désormais, alors que la Geneviève des Parapluies se languissait dans un rapport entièrement superficiel au réel où on ne meurt d'amour qu'au cinéma. L'argent, la réussite social redonnait un sens à ce monde où les premiers amours n'avaient pas de sens. spoiler: [spoiler][spoiler]Le mauvais côté, c'est que le sens se trouve dans la mort.
    [/spoiler]Au moins, Demy est il explicite sur le fait que les personnages trouvent un sens dans la mort. Tandis que chez Ophüls, le maitre à penser de Demy, cela restait ambigu.[/spoiler]
    Comme chez Prévert et Carné, les personnages sont poétisés à l'extrême, ce sont des personnages échappés de la plume d'un poète. Une alcoolique qui passe ses journées à se languir dans son appartement, une jeune femme qui se promène nue, une violette rousse et qui porte des robes violettes, un amoureux jaloux et impuissant prêt à tout pour se faire aimer même à la violence. Et puis au milieu de cette étrange galerie, il y a François, un métallurgiste sans un sous qui de bat pour garder son emploi. Un révolté dans la lutte social, un passif en affection qui a peur de faire souffrir mais va se laisser emporter par la passion.
    Car il ne s'agit en fait plus d'un film d'amour mais d'un film sur la passion, l'obsession. Les sentiments ont gagné en puissance ce qu'ils ont perdu en pureté. A l'image de leur première rencontre, l'aventure de François et Edith est d'abord charnel, tandis que Geneviève promettait de ne jamais oublier Guy avant même d'avoir perdu sa virginité. A la beauté de Deneuve succède la sensualité de Sanda, sensualité qui explose à plusieurs occasions où elle dévoile sa nudité. L'attraction des deux héros est d'abord physique avant de devenir une passion qui les consume totalement. On pense au dessin de Sempé où une vieille dame en plaint une autre de ne pas avoir connu d'amour qui ravage tout. C'est un amour où on se brûle. Une drogue, un besoin compulsif. C'est la rencontre de deux fuites loin des amours traditionnels: le mariage pour l'argent, et le mariage avec la jeune fille enceinte bref les deux mariages habituels des mélodrames. Les personnages fuient ces mariages et se rencontrent dans un amour opposé. Oubliés la candeur de Violette, et l'impuissance d'Edmond. Demy fait son oeuvre sur l'amour physique avec une décennie de retard. Les années 70 et la libération sexuelle sont passés. Ce n'est déjà plus dans l'air du temps. Tout comme les luttes sociales faut-il croire quand on regarde l'insuccès notoire du film.
    La musique est radicalement différente de celle des Parapluies, beaucoup moins jazz. Plus de cordes aussi, il me semble. La musique et les voix chantés n'ont pas toujours la même partition. Le rythme de la musique et l'intonation des chanteurs colle toujours plus à la voix habituel avec juste cette petite différence que c'est chanté.
    Les acteurs sont très bons: Darrieux nous livre plusieurs éclairs de génie: par exemple quand Sanda lui demande si elle sait ce qu'est la passion elle réplique d'un "tu parles" qui traduit mille émotions différentes. A commencer par la naissance d'un doute existentiel.
    Une chambre en ville n'est toutefois pas pour moi aussi bien que les Parapluies (a fortiori que les Demoiselles, qui est pour moi le sommet de sa filmographie). spoiler: La fin est un peu trop abrupte et beaucoup moins complexe sur le plan émotionnel que celle des Parapluies, par soucis de catharsis
    . Mais il s'agit de comparaison entre des chefs d’œuvre.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 067 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2017
    Second film entièrement chanté de Demy si j'ai bien suivi, mais sans Michel Legrand cette fois et franchement ça ne rend pas trop mal non plus. On a à nouveau une histoire d'amour bien tragique, mais cette fois ça me semble un peu moins naturel et un peu plus tiré par les cheveux que pour les Parapluies de Cherbourg. Disons que ça fait un peu beaucoup de coïncidences, de choses qui arrivent au même moment pour que ça soit le hasard. Même si pour le coup ça fait un peu tragédie classique avec l'unité de temps (bon ça se déroule en 24h quelque chose comme ça), l'unité d'action (l'amour entre François et Édith) et même unité de lieu si on considère que Nantes est le lieu, d'ailleurs le film s'ouvre sur un trop long générique montrant le port de Nantes (et puis une grande partie se joue dans l'appartement de la baronne). Et pour ça je peux excuser un peu certains trucs téléphonés qui semblent tous arriver en même temps pour rajouter du tragique jusqu'à plus soif.

    L'histoire reste assez simple, on a un carré amoureux avec au centre François et Édith qui ont tous les deux de précédents engagements plutôt sérieux, un bébé en route pour l'un et un mariage pour l'autre. Le tout se joue sur fond de grèves à Nantes et je dois dire que les chœurs des manifestants rendent vraiment super bien, notamment à la fin où ça fait très marche funèbre.

    J'aime beaucoup Piccoli grimé en rouquin pour l'occasion avec un habit vert absolument dégueulasse jouant un mari jaloux, ça lui va tellement bien. Et globalement le casting est plutôt réussi, notamment Dominique Sanda en bourgeoise pète-sec ne demandant qu'à se faire troncher.

    La photographie est vraiment belle encore une fois, et c'est vraiment les plans sur les manifestants que j'ai le plus appréciés, ils sont là, avançant le drapeau français à la main, c'est finalement un film assez politique derrière l'histoire d'amour. Il est malgré tout question de lutte sociale en arrière plan (bon ça aurait pu être plus corrosif, mais le fait que le CRS ne soit pas l'ennemi, mais juste un obstacle est déjà assez révélateur). On voit aussi la nostalgie de l'ancienne noblesse avec Danielle Darrieux qui joue une baronne se mariant à un Officier, puis voyant sa fille se marier à un commerçant... tout se perd.

    Et donc malgré le fait qu'il soit un peu tiré par les cheveux, qu'il manque un peu d'émotion dans son couple principal, finalement j'ai trouvé Piccoli et Fabienne Guyon qui jouent tous les deux les amoureux éconduits bien plus émouvant, j'ai passé un bon moment. Et franchement je trouve ça super plaisant de voir un film totalement chanté, ça donne assurément un cachet au film et un petit côté irréel, fantasme que j'aime beaucoup.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    121 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 novembre 2016
    Du pur romanesque à la Demy, entièrement, euh..."chanté". Une énorme bonbonne d'eau de rose qui a de quoi faire fondre, mais non plus tout le monde : on frôle quand même l'overdose de guimauve et le schéma doit beaucoup à Roméo et Juliette (qui n'est pas non plus une oeuvre qui est connue pour être en reste du côté romantique) dont le scénario ne mène nulle part non plus.
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 219 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2016
    J'avais raté ce film à sa sortie qui n'était pas arrivé sur les écrans de ma lointaine province, son échec commercial parisien l'ayant privé d'une distribution digne de ce nom. C'est pourtant une oeuvre populaire, unique et bouleversante. Les dialogues chantés se fondent très tôt dans une intrigue passionnante pour devenir parfaitement naturels ; certes, les comédiens sont tous doublés par des chanteurs professionnels, hormis la grande Danielle Darrieux, mais ce doublage est admirablement réalisé et l'intensité de l'interprétation permet de dépasser un procédé qui aurait pu sonner faux aux oreilles des spectateurs.
    Dominique Sanda et Piccoli sont formidables, tout comme DD déjà citée et Richard Berry trouve vraisemblablement ici le meilleur rôle de sa carrière. Situer cette histoire d'amour impossible dans le cadre d'un conflit social important était un défi pour un metteur en scène comme Demy, dont la filmographie fut toujours assez éloignée du quotidien, et sa réussite absolue n'en est que plus marquante.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 septembre 2015
    Déjà allergique par nature aux comédies musicales, sauf exception, je n'ai jamais accroché à l'une des dernières de Jacques Demy, toutes aussi ennuyeuses les unes que les autres. Non seulement l'ambiance est monotone mais il ne se passe rien. Et, malgré la présence d'artistes de talent, ce film est d'une platitude désolante. Quant aux chansonnettes poussées par les uns et les autres, elles ne sont même pas dignes d'un cabaret de quartier. Cette réalisation largement surcotée est une énorme déception. Une demi-étoile rétablira l'équilibre.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2015
    On quitte l'univers coloré et presque enfantin des films "enchantés" des débuts pour se retrouver ici dans un film adulte social et dur. A écouter plusieurs fois pour apprécier la musique vraiment différente mais toujours intéressante.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    Aussi déprimant que les Parapluies de Cherbourg. Décidément, il n'y aura bien que les Demoiselles dans la filmographie de Demy pour m'arracher à l'ennui.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2013
    Une ressortie en salle en version restaurée numérique méritait bien le déplacement pour une nouvelle vision (certainement bien au-delà de la cinquantième en ce qui me concerne, quand on aime on ne se lasse pas) d’une des meilleures œuvres de Jacques Demy. L’émotion demeure toujours intacte voire plus intense car la force du récit, la sublime et subtile partition de Michel Colombier ainsi que l’écriture parfaite et la mise en scène inspirée du cinéaste, le tout porté par des dialogues chantés savoureux et mélancoliques, continuent à me séduire inlassablement. Bien moins connue que d’autres films de l’auteur, cette « Chambre en Ville », tragédie amoureuse et sociale, peut et doit être considérée comme étant un classique incontournable du septième art.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 août 2013
    Un drame en chansonnettes ! Encore eut-il fallu que les chansonnettes en question soient de qualités… que l'histoire en soit une et que Richard Berry soit bon. Ce film a une réputation de film maudit ! Qu'il le reste, ça ne devrait pas m'empêcher de dormir !
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