Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
C’est sur ce tableau nuancé que s’imprime la relation entre Gabrielle et Amin [...]. Au long du film, ce lien conserve une absence d’effusion, un mystère qui rend hommage à la complexité des situations dépeintes. C’est ce genre d’intelligence, de sensibilité, qui donne son inestimable singularité au cinéma de Philippe Faucon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
Faucon est un naturaliste qui dessine avec pudeur des petites touches du monde, divers tableaux sur l'héroïsme du quotidien. Pas facile de paraître si simple et c'est, en général, la marque des plus grands.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur donne un beau coup de projecteur sur ces sacrifiés qu’il rend visibles aux spectateurs frappés par sa tendresse et son respect à leur égard.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Le réalisateur de Fatima signe une chronique réaliste et sobre sur la solitude et le déracinement.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Après Fatima, Philippe Faucon réalise Amin, un film sensible et politique sur la solitude des hommes immigrés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
C'est l'histoire simple, émouvante et sensuelle, d'un travailleur déraciné et d'une infirmière divorcée que tout oppose, mais qui, pareillement séparés, décident de faire un bout de chemin ensemble. Philippe Faucon les accompagne avec délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film épuré et sensuel qui évoque la solitude des corps dans nos sociétés contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une œuvre qui choisit la sérénité pour mieux évoquer les douleurs sourdes, privilégie l’épure pour mieux dire la complexité, coupe superbement ses scènes pour ne jamais faire de son héros un porte-voix, mais au contraire pour lui rendre son libre arbitre, tout son mystère.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Amin est venu du Sénégal pour travailler en France, il y a neuf ans. Il a laissé au pays sa femme Aïcha et leurs trois enfants. En France, Amin n’a d’autre vie que son travail, d’autres amis que les hommes qui résident au foyer. On aime.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans son style épuré ("Fatima", César du meilleur film 2016), Philippe Faucon déploie une histoire banale qu’il rend singulière et noble.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un constat humain et exemplaire sur l’immigration.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Plus pessimiste que "Fatima", "Amin" dresse un constat des souffrances contemporaines (solitude, précarité, soumission au patronat, déracinement) aussi juste qu’alarmant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film digne et émouvant.
Marie Claire
par Emily Barnett
Pas de gros effets, mais une romance rendue par un récit économe et de petites touches impressionnistes.
Première
par Christophe Narbonne
Digne, beau et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Nul angélisme dans ce cinéma qui regarde vers le haut, mais une noblesse nourrie d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Cécile Mury
Avec ce film fort, après Samia, Fatima ou encore La Désintégration, Philippe Faucon ajoute un nouveau visage inoubliable à sa fresque de l’immigration et du déracinement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Sobre et fort.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre Europe et Afrique, un voyage poignant sur la solitude et le déracinement en compagnie d’un duo de comédiens à la justesse émouvante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Si la façon de Faucon, à force d’être délicate, peut paraître manquer d’intensité, il faut lui reconnaître sa sincère humanité.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Ce refus de toute explosion est à double tranchant : il donne lieu à une émotion rare par son caractère sourd et profond, mais en préférant susciter la tristesse que la colère, Philippe Faucon rend également son film un peu inoffensif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ainsi, ce film très ténu, délibérément inabouti, dépositaire d’un simple moment de réconfort amoureux sans visée ni calcul, passe dans le dur paysage environnant comme un très beau souci.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
[...] Philippe Faucon continue son exploration attentive et pudique de l'immigration. Tendre et modeste, son esquisse est si peu racoleuse qu'on pourrait presque regretter un manque d'émotion. C'est en réalité tout à son honneur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Christophe Carrière
[...] Faucon et sa scénariste, Yasmina Nini-Faucon, [...] sont bien plus à l'aise et intéressants dans la partie africaine, qui exploite les ressorts familiaux et culturels. Ces scènes méritaient un film entier, le reste relevant, par manque de maîtrise, de l'anecdotique, voire du politiquement correct et convenu quand la question des travailleurs scandaleusement exploités est abordée ; sujet abondamment et mieux traité dans d'autres longs métrages.
Le Figaro
par La Rédaction
A éviter.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
C’est sur ce tableau nuancé que s’imprime la relation entre Gabrielle et Amin [...]. Au long du film, ce lien conserve une absence d’effusion, un mystère qui rend hommage à la complexité des situations dépeintes. C’est ce genre d’intelligence, de sensibilité, qui donne son inestimable singularité au cinéma de Philippe Faucon.
Positif
Faucon est un naturaliste qui dessine avec pudeur des petites touches du monde, divers tableaux sur l'héroïsme du quotidien. Pas facile de paraître si simple et c'est, en général, la marque des plus grands.
20 Minutes
Le réalisateur donne un beau coup de projecteur sur ces sacrifiés qu’il rend visibles aux spectateurs frappés par sa tendresse et son respect à leur égard.
Femme Actuelle
Le réalisateur de Fatima signe une chronique réaliste et sobre sur la solitude et le déracinement.
L'Humanité
Après Fatima, Philippe Faucon réalise Amin, un film sensible et politique sur la solitude des hommes immigrés.
L'Obs
C'est l'histoire simple, émouvante et sensuelle, d'un travailleur déraciné et d'une infirmière divorcée que tout oppose, mais qui, pareillement séparés, décident de faire un bout de chemin ensemble. Philippe Faucon les accompagne avec délicatesse.
La Croix
Un film épuré et sensuel qui évoque la solitude des corps dans nos sociétés contemporaines.
La Septième Obsession
Une œuvre qui choisit la sérénité pour mieux évoquer les douleurs sourdes, privilégie l’épure pour mieux dire la complexité, coupe superbement ses scènes pour ne jamais faire de son héros un porte-voix, mais au contraire pour lui rendre son libre arbitre, tout son mystère.
Le Dauphiné Libéré
Amin est venu du Sénégal pour travailler en France, il y a neuf ans. Il a laissé au pays sa femme Aïcha et leurs trois enfants. En France, Amin n’a d’autre vie que son travail, d’autres amis que les hommes qui résident au foyer. On aime.
Le Journal du Dimanche
Dans son style épuré ("Fatima", César du meilleur film 2016), Philippe Faucon déploie une histoire banale qu’il rend singulière et noble.
Les Fiches du Cinéma
Un constat humain et exemplaire sur l’immigration.
Les Inrockuptibles
Plus pessimiste que "Fatima", "Amin" dresse un constat des souffrances contemporaines (solitude, précarité, soumission au patronat, déracinement) aussi juste qu’alarmant.
Marianne
Un film digne et émouvant.
Marie Claire
Pas de gros effets, mais une romance rendue par un récit économe et de petites touches impressionnistes.
Première
Digne, beau et sensible.
Sud Ouest
Nul angélisme dans ce cinéma qui regarde vers le haut, mais une noblesse nourrie d’humanité.
Télérama
Avec ce film fort, après Samia, Fatima ou encore La Désintégration, Philippe Faucon ajoute un nouveau visage inoubliable à sa fresque de l’immigration et du déracinement.
Voici
Sobre et fort.
aVoir-aLire.com
Entre Europe et Afrique, un voyage poignant sur la solitude et le déracinement en compagnie d’un duo de comédiens à la justesse émouvante.
Cahiers du Cinéma
Si la façon de Faucon, à force d’être délicate, peut paraître manquer d’intensité, il faut lui reconnaître sa sincère humanité.
Critikat.com
Ce refus de toute explosion est à double tranchant : il donne lieu à une émotion rare par son caractère sourd et profond, mais en préférant susciter la tristesse que la colère, Philippe Faucon rend également son film un peu inoffensif.
Le Monde
Ainsi, ce film très ténu, délibérément inabouti, dépositaire d’un simple moment de réconfort amoureux sans visée ni calcul, passe dans le dur paysage environnant comme un très beau souci.
Paris Match
[...] Philippe Faucon continue son exploration attentive et pudique de l'immigration. Tendre et modeste, son esquisse est si peu racoleuse qu'on pourrait presque regretter un manque d'émotion. C'est en réalité tout à son honneur.
L'Express
[...] Faucon et sa scénariste, Yasmina Nini-Faucon, [...] sont bien plus à l'aise et intéressants dans la partie africaine, qui exploite les ressorts familiaux et culturels. Ces scènes méritaient un film entier, le reste relevant, par manque de maîtrise, de l'anecdotique, voire du politiquement correct et convenu quand la question des travailleurs scandaleusement exploités est abordée ; sujet abondamment et mieux traité dans d'autres longs métrages.
Le Figaro
A éviter.