Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Paris la blanche" marque la naissance d'une réalisatrice dont on a hâte de découvrir la suite et nous rappelle l'existence d'un vrai cinéma français, intelligent et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Dominique Widemann
Paris la Blanche, le premier film de Lidia Leber Terki retrace en finesse et profondeur les routes d’exils des corps et des âmes. Une distribution remarquable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film délicat sur un aspect oublié de l’émigration, qui s’attache non à ceux qui arrivent mais à ceux qui, déracinés, se retrouvent face à un impossible retour.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film extrêmement pudique et très émouvant.
Libération
par Didier Péron
Le film saisit avec beaucoup de subtilité toutes les nuances de ces solitudes entre deux rives, qui sont un héritage social et émotionnel de la colonisation.
Sud Ouest
par Sophie Avon
"Paris la blanche" est le premier long-métrage de Lidia Terki dont la délicatesse donne chair aux invisibles, aux modestes, aux oubliés réunis par l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Pierre Murat
La réalisatrice est sans colère ni rancoeur. Elle croit — et Tara, interprétée par Karole Rocher, le prouve — à la force de la compassion et de la générosité, même passagères. Et sa rigueur lui permet d'éviter l'exhibitionnisme sentimental auquel tant de maladroits auraient succombé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par La Rédaction
Lidia Leber Terki fait l'émouvant portrait d'un vieux couple algérien que l'émigration a séparé. On voit bien que la réalisatrice a voulu relier son histoire à celle des migrants d'aujourd'hui, créer une solidarité des exclus en faisant vivre une petite communauté souterraine et fraternelle, mais on tombe alors dans une sorte de fable au pathos ingénu, un peu trop gentille.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il y a beaucoup de sincérité et de bienveillance dans ce premier long-métrage qui aborde avec acuité le thème de l’immigration – celle d’hier et d’aujourd’hui – à travers une émouvante histoire d’amour entre des époux séparés par la vie. Imprégné d’une douce mélancolie, le voyage, qu’accompagne une jolie musique, touche à la fois à l’intime et à l’universel.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Étudiant un sujet fort quoique sous-exploité, le film manque néanmoins de contenu.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Lidia Leber Terki filme cette histoire simple mais riche de sens avec beaucoup d’attention, de patience, de délicatesse, bien épaulée par Tassadit Mandi et Zahir Bouzerar, ses deux comédiens remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un sujet fort qui se perd dans l'anecdotique et laisse trop peu de place aux retrouvailles impossibles.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Beau thème, banalisé par des dialogues attendus, qui aurait mérité plus d’ellipses, plus de souffle, plus de cinéma. Gageons que Lidia Leber Terki, dont c’est le premier long-métrage, saura mieux utiliser, à l’avenir, sa grande sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
En dépit de son propos généreux, ce premier film – histoire d’amour distendue par la migration économique – est long à trouver sa consistance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
Bien que la réalisatrice tienne un sujet puissant, il se retrouve amolli par excès de précaution et de délicatesse.
Ecran Large
"Paris la blanche" marque la naissance d'une réalisatrice dont on a hâte de découvrir la suite et nous rappelle l'existence d'un vrai cinéma français, intelligent et passionnant.
L'Humanité
Paris la Blanche, le premier film de Lidia Leber Terki retrace en finesse et profondeur les routes d’exils des corps et des âmes. Une distribution remarquable.
Le Dauphiné Libéré
Un film délicat sur un aspect oublié de l’émigration, qui s’attache non à ceux qui arrivent mais à ceux qui, déracinés, se retrouvent face à un impossible retour.
Le Parisien
Un film extrêmement pudique et très émouvant.
Libération
Le film saisit avec beaucoup de subtilité toutes les nuances de ces solitudes entre deux rives, qui sont un héritage social et émotionnel de la colonisation.
Sud Ouest
"Paris la blanche" est le premier long-métrage de Lidia Terki dont la délicatesse donne chair aux invisibles, aux modestes, aux oubliés réunis par l’amour.
Télérama
La réalisatrice est sans colère ni rancoeur. Elle croit — et Tara, interprétée par Karole Rocher, le prouve — à la force de la compassion et de la générosité, même passagères. Et sa rigueur lui permet d'éviter l'exhibitionnisme sentimental auquel tant de maladroits auraient succombé.
Le Figaro
Lidia Leber Terki fait l'émouvant portrait d'un vieux couple algérien que l'émigration a séparé. On voit bien que la réalisatrice a voulu relier son histoire à celle des migrants d'aujourd'hui, créer une solidarité des exclus en faisant vivre une petite communauté souterraine et fraternelle, mais on tombe alors dans une sorte de fable au pathos ingénu, un peu trop gentille.
Le Journal du Dimanche
Il y a beaucoup de sincérité et de bienveillance dans ce premier long-métrage qui aborde avec acuité le thème de l’immigration – celle d’hier et d’aujourd’hui – à travers une émouvante histoire d’amour entre des époux séparés par la vie. Imprégné d’une douce mélancolie, le voyage, qu’accompagne une jolie musique, touche à la fois à l’intime et à l’universel.
Les Fiches du Cinéma
Étudiant un sujet fort quoique sous-exploité, le film manque néanmoins de contenu.
Les Inrockuptibles
Lidia Leber Terki filme cette histoire simple mais riche de sens avec beaucoup d’attention, de patience, de délicatesse, bien épaulée par Tassadit Mandi et Zahir Bouzerar, ses deux comédiens remarquables.
Studio Ciné Live
Un sujet fort qui se perd dans l'anecdotique et laisse trop peu de place aux retrouvailles impossibles.
L'Obs
Beau thème, banalisé par des dialogues attendus, qui aurait mérité plus d’ellipses, plus de souffle, plus de cinéma. Gageons que Lidia Leber Terki, dont c’est le premier long-métrage, saura mieux utiliser, à l’avenir, sa grande sensibilité.
La Croix
En dépit de son propos généreux, ce premier film – histoire d’amour distendue par la migration économique – est long à trouver sa consistance.
Le Monde
Bien que la réalisatrice tienne un sujet puissant, il se retrouve amolli par excès de précaution et de délicatesse.