Ivan Tsarevitch et la princesse changeante : Critique presse
Ivan Tsarevitch et la princesse changeante
Note moyenne
3,9
24 titres de presse
La Voix du Nord
Positif
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Culturopoing.com
Culturopoing.com
Elle
Franceinfo Culture
L'Obs
LCI
La Croix
Le Figaro
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Première
Studio Ciné Live
Télérama
Voici
Critikat.com
Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
La Voix du Nord
par La Rédaction
Impossible de ne pas être subjugué par la beauté des décors, la luxuriance des couleurs et les quelques "leçons" de morale se dessinant en filigrane.
Positif
par Bernard Génin
(...) c'est un ravissement. (...) Un superbe voyage au pays de la féérie et de l'élégance (...).
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) ce petit bijou d’animation française peut séduire tous les âges en entraînant les spectateurs dans des aventures fantastiques où la générosité et l’intelligence prennent le pas sur la brutalité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
En dépit, cette fois, du renoncement au relief, les spectateurs retrouveront avec gourmandise ce qui a fait leur bonheur dans "Les Contes de la nuit".
Culturopoing.com
par Lucien Halflants
Dans un monde de fabulation, Ocelot, en tant qu'artiste, pourrait être la princesse changeante qu'il met en ombre et en lumière avec tant d'intelligence et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Culturopoing.com
par Lucien Halflants
Si l’émerveillement premier choit, les contes peuvent se révéler plus noirs et libidineux qu’il n’y paraît au premier abord. Rares sont donc, ceux qui se sentiront bernés. Ivan Tsarévitch et La Princesse Changeante se meut alors en une pluie d’étoiles déposée sur les cornées dessinées, fictives, réelles ou enfantines… Un poème.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Héléna Villovitch
C'est d'une simplicité lumineuse.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Quatre beaux contes plein d'exotisme et de magie, à la morale édifiante, mais jamais sentencieuse. Quant à la mise en images, c'est toujours une merveille...
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
L’ensemble a le charme des découpages, et la douceur des contes anciens : Ocelot sait aussi bien parler aux enfants qu’aux adultes, et sa technique d’animation artisanale, loin des films en 3D actuels, ajoute au plaisir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Mehdi Omaïs
À l'issue de ce voyage aux parfums bigarrés, le ravissement trompette et le désir de se réfugier illico dans une lecture enfantine se fait féroce. Et c’est justement dans cette sacralisation du conte que l’entreprise puise son indiscutable force.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Chez Michel Ocelot, les personnages triomphent d’un empêchement qui contrarie leur véritable naissance. Ce message, qui sous-tend son œuvre entière, passe toujours avec la même limpidité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le père de Kirikou continue d'arranger les contes traditionnels à sa sauce et à son style. Malgré le numérique, son théâtre d'ombres garde toute sa naïveté et sa beauté.
Le Monde
par Noémie Luciani
Outre le doux spectacle des silhouettes graciles et des décors fleuris d’arabesques sur fonds colorés façon vitrail, le grand plaisir des historiettes tenait à la malice avec laquelle le trio, tout en s’appuyant sur les codes de ces récits, s’amusait à les critiquer, les détourner, les contredire. On retrouve ce plaisir dans "Ivan Tsarévitch et la Princesse changeante".
Le Parisien
par Renaud Baronian
Et dire qu'on a failli ne jamais les voir !
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Cette courte suite de contes en silhouettes découpées nous plonge à nouveau dans l’univers féérique de Michel Ocelot, dont l’intelligence et l’humanité charmeront enfants comme adultes.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Quatre beaux contes.
Première
par Christophe Narbonne
Entièrement en ombres chinoises, ces petits récits merveilleux mettent en avant le courage, la morale, la justice et même la ruse - à de nobles fins.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Des silhouettes sautillent dans des décors multicolores, et le mélange éblouit. Les fables (...), ludiques et morales, enchantent même les grands.
Télérama
par Cécile Mury
Le principe reste identique et l'émerveillement, intact : deux enfants, un garçon et une fille, retrouvent un vieux projectionniste dans une salle de cinéma et s'inventent des histoires. Quatre contes naissent de leurs divagations malicieuses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Des fables didactiques et charmantes.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
(...) ce sentiment de maladresse un peu passéiste ne doit pas faire oublier l’éblouissement que procure chaque récit et le talent de conteur de leur auteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un programme qui allie beauté, magie et intelligence.
aVoir-aLire.com
par Hugo Maurier
Michel Ocelot est de retour avec un nouveau joyau de poésie visuelle issu de ses archives.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Didier Péron
Le père de "Kirikou" revient avec quatre historiettes sans grande saveur et trop moralisatrices sur fond de décors chatoyants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Voix du Nord
Impossible de ne pas être subjugué par la beauté des décors, la luxuriance des couleurs et les quelques "leçons" de morale se dessinant en filigrane.
Positif
(...) c'est un ravissement. (...) Un superbe voyage au pays de la féérie et de l'élégance (...).
20 Minutes
(...) ce petit bijou d’animation française peut séduire tous les âges en entraînant les spectateurs dans des aventures fantastiques où la générosité et l’intelligence prennent le pas sur la brutalité.
Cahiers du Cinéma
En dépit, cette fois, du renoncement au relief, les spectateurs retrouveront avec gourmandise ce qui a fait leur bonheur dans "Les Contes de la nuit".
Culturopoing.com
Dans un monde de fabulation, Ocelot, en tant qu'artiste, pourrait être la princesse changeante qu'il met en ombre et en lumière avec tant d'intelligence et d'humanité.
Culturopoing.com
Si l’émerveillement premier choit, les contes peuvent se révéler plus noirs et libidineux qu’il n’y paraît au premier abord. Rares sont donc, ceux qui se sentiront bernés. Ivan Tsarévitch et La Princesse Changeante se meut alors en une pluie d’étoiles déposée sur les cornées dessinées, fictives, réelles ou enfantines… Un poème.
Elle
C'est d'une simplicité lumineuse.
Franceinfo Culture
Quatre beaux contes plein d'exotisme et de magie, à la morale édifiante, mais jamais sentencieuse. Quant à la mise en images, c'est toujours une merveille...
L'Obs
L’ensemble a le charme des découpages, et la douceur des contes anciens : Ocelot sait aussi bien parler aux enfants qu’aux adultes, et sa technique d’animation artisanale, loin des films en 3D actuels, ajoute au plaisir.
LCI
À l'issue de ce voyage aux parfums bigarrés, le ravissement trompette et le désir de se réfugier illico dans une lecture enfantine se fait féroce. Et c’est justement dans cette sacralisation du conte que l’entreprise puise son indiscutable force.
La Croix
Chez Michel Ocelot, les personnages triomphent d’un empêchement qui contrarie leur véritable naissance. Ce message, qui sous-tend son œuvre entière, passe toujours avec la même limpidité.
Le Figaro
Le père de Kirikou continue d'arranger les contes traditionnels à sa sauce et à son style. Malgré le numérique, son théâtre d'ombres garde toute sa naïveté et sa beauté.
Le Monde
Outre le doux spectacle des silhouettes graciles et des décors fleuris d’arabesques sur fonds colorés façon vitrail, le grand plaisir des historiettes tenait à la malice avec laquelle le trio, tout en s’appuyant sur les codes de ces récits, s’amusait à les critiquer, les détourner, les contredire. On retrouve ce plaisir dans "Ivan Tsarévitch et la Princesse changeante".
Le Parisien
Et dire qu'on a failli ne jamais les voir !
Les Fiches du Cinéma
Cette courte suite de contes en silhouettes découpées nous plonge à nouveau dans l’univers féérique de Michel Ocelot, dont l’intelligence et l’humanité charmeront enfants comme adultes.
Ouest France
Quatre beaux contes.
Première
Entièrement en ombres chinoises, ces petits récits merveilleux mettent en avant le courage, la morale, la justice et même la ruse - à de nobles fins.
Studio Ciné Live
Des silhouettes sautillent dans des décors multicolores, et le mélange éblouit. Les fables (...), ludiques et morales, enchantent même les grands.
Télérama
Le principe reste identique et l'émerveillement, intact : deux enfants, un garçon et une fille, retrouvent un vieux projectionniste dans une salle de cinéma et s'inventent des histoires. Quatre contes naissent de leurs divagations malicieuses.
Voici
Des fables didactiques et charmantes.
Critikat.com
(...) ce sentiment de maladresse un peu passéiste ne doit pas faire oublier l’éblouissement que procure chaque récit et le talent de conteur de leur auteur.
Le Journal du Dimanche
Un programme qui allie beauté, magie et intelligence.
aVoir-aLire.com
Michel Ocelot est de retour avec un nouveau joyau de poésie visuelle issu de ses archives.
Libération
Le père de "Kirikou" revient avec quatre historiettes sans grande saveur et trop moralisatrices sur fond de décors chatoyants.