Avis : Moonfall - Page 7

Je met chef-d'œuvre juste Parceque les critiques étaient totalement mauvaises.... le film est excellent , on ne s'ennuie pas , le scénario est simple mais efficace. Et les acteurs sont vraiment cool . Nous n'avons pas vu ces 2 h passés .. vous voulez de l'action et de belles images ... n'hésitez surtout pas

On ne fera pas l’affront de mettre la note minimale à ce blockbuster sorti d’un autre âge mais c’était limite! On va dire qu’un samedi soir sous produits hallucinogènes ou alors en beuverie avec des potes ou encore pour un cours de cinéma magistral listant tout ce qu’il ne faut pas faire au cinéma, « Moonfall » est regardable. Sinon... Fuyez! Difficile de savoir si Roland Emmerich a décidé sciemment de détruire définitivement sa carrière avec cette chose qu’on a du mal à appeler un film ou si l’idée était de nous offrir une parodie de son cinéma en forme de best-of ou, pire, s’il a vraiment réalisé cette bouse de manière sérieuse et convaincue. Les voies du cinéma sont souvent impénétrables mais ce film demeurera un cas d’école! Mon Dieu que c’est mauvais! Et plus cela avance et pire c’est. On a cette constante impression que le réalisateur et ses scénaristes ne vont pas oser le pire et le ridicule mais si, ils s’y plongent à chaque fois devant nos yeux médusés puis écarquillés et enfin saturés! Ils osent donc tout mais pas dans la bonne direction, plutôt dans le n’importe quoi visuel et narratif le plus total. Tous les poncifs les plus aigres du cinéma hollywoodien à gros budget des décennies passées sont là. Sans exception!



On peut clairement qualifier « Moonfall » de nanar bien gras. On est confronté à plus de deux heures de bouillie indigeste et au-delà du n’importe quoi le plus total! On se pincerait presque pour voir si on ne rêve pas. Si la première partie est mauvaise mais reste encore dans les clous d’une certaine logique de blockbuster à l’américaine, la seconde semble avoir été pensée, écrite et filmée dans un élan de folie créatrice nocive et totalement inconcevable. Entre rires gênés et soupir de désolation, on assiste à des péripéties que même Michael Bay (l’autre artificier en chef d’Hollywood) n’aurait même pas osé écrire sur un brouillon. Emmerich semble nous servir un best-of inconscient de ses films, sauf que le résultat est en mode has been et parodique voire ridiculement prétentieux. Si les acteurs et les développements de l’intrigue ne se prenaient pas autant au sérieux, ça pourrait être drôle. Là c’est juste affligeant. Une louche de « 2012 » et « Le Jour d’après », un soupçon de « Independance Day » et sa suite et une cuillère de « Stargate » avec un clin d’œil sacrificiel pitoyable à « Armageddon » de Bay et même une tentative plus que sérieuse de nous offrir une explication à la création et à la naissance de notre planète comme de grands films de science-fiction cultes...! Non vous ne venez pas de rêver ce que vous venez de lire malheureusement.



Les séquences drôles ne le sont jamais mais virent au constat gêné, les scènes dramatiques sont à se plier en quatre, le côté patriotique américain sent vraiment le roussi (on est en 2022!) et les péripéties ou scènes de destruction massive sur terre semblent des copies de films catastrophes récents (une scène de son propre « 2012 » semble même voir été copiée à l’image près). Les effets spéciaux dans la Lune sont corrects et même presque beaux (seul point positif) mais alors le reste, c’est d’une laideur à faire peur entre fonds verts visibles et foutoir numérique. On dirait un film de série Z tellement le rendu visuel est moche, on se croirait dans un jeu vidéo. Au final c’est peu étonnant : le postulat initial sentait déjà l’impensable et il aurait fait bondir ou éclater de rire n’importe quel physicien ou astronome, mais Emmerich n’en a cure, persuadé d’offrir aux spectateurs un grand spectacle digne de ce nom. Quant aux développements de l’intrigue, ils n’ont aucun sens, partent dans toutes les directions possibles et sidèrent par leur bêtise, à l’instar des réactions des personnages toutes plus absurdes les unes que les autres. Le montage est à se claquer la tête contre les murs et annihile toute tension et les acteurs jouent tous plus que mal (ah l’air ébahi d’Halle Berry ou le sérieux de Patrick Wilson!). Tout s’enchaîne à une vitesse folle et sans aucune logique quelle qu’elle soit de manière à ce que, peut-être, le spectateur peu exigeant ne s’indigne pas d’une telle horreur. On est presque étonné que tout cela passe relativement vite. Non pas un film catastrophe, mais une catastrophe tout court à tous niveaux, un véritable cas d’école de nullité.



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“Moonfall” est un film de science-fiction catastrophe réalisé par Roland Emmerich à qui l’on doit “Independence Day”, “Stargate, la porte des étoiles” ou “Godzilla”. Bien qu’il ait continué à réaliser, on avait presque oublié ce cinéaste d’une époque où les images primaient sur la crédibilité d’un scénario. Tout comme Halle Berry d’ailleurs, véritable star des années 2000. Dans “Moonfall”, la Lune a changé d’orbite et s’apprête à percuter la Terre. Alors que la vie de notre planète est en jeu, seuls trois outsiders croient en cette histoire et vont tenter une mission impossible dans l’espace. Bourré de références à ses précédents films ou à ceux des autres, “Moonfall” ne sait jamais sur quel pied danser. Les trois délurés croient comme jamais à leurs actions mais plongent le spectateur dans une aventure complètement absurde. Nanar coincé dans les années 2000 ou satire cosmo-destructrice ? Mieux vaut en rire et profiter de cet ovni cinématographique avec second degré.
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Roland Emmerich remet le couvert avec ce mix de genres action/science-fiction/catastrophe qu'il affectionne tant et qui a posé les bases de sa renommée. Avec "Moonfall", le réalisateur évolue donc en terrain connu. Depuis son "Independence Day" de 1996, la recette reste la même à savoir : miser tout sur les effets spéciaux au détriment du reste. Un défaut que l'on retrouve avec "Moonfall" qui fait dans le spectaculaire en oubliant que le cinéma c'est aussi un scénario, une mise en scène, des émotions,...


Emmerich est le roi de la surenchère. Il en fait tellement trop que cela en devient soit ridicule soit lassant. Je ne peux même pas conseiller ce film comme divertissement tellement ce dernier devient ennuyeux.

Roland Emmerich exacerbe tous les éléments constitutifs de son cinéma dans ce "Moonfall". L’intrigue est neuneu à souhait et les clichés s’amoncellent autant que les bouteilles vides lors d’une soirée entre potes. Mais le cinéaste s’amuse encore à tout dégommer et signe quelques plans de destruction grandioses.

Effets spéciaux bien et c'est la principale qualité du film. Pour le reste , les acteurs sont moyen , le scenario sans plus et il faut accepter le postulat de départ que la lune n'est pas qu'un satellite de la terre!!!

Sans quelques idées originales, Moonfall ne serait qu’un vulgaire nanard, bourré d’incohérences, avec des acteurs plutôt moyens et même quelques lacunes techniques. Mais ses originalités font la différence et le rendent intéressant par certains aspects. Difficile pour autant de faire totalement abstraction de ses gros défauts, d’où un bilan mitigé.

Un film à grand spectacle! De fait les invraisemblances scénaristiques, facilités narratives et lourdeurs didactiques se révèlent spectaculaires! Au milieu de ce marasme cinématographique les acteurs font de leur mieux bien qu'à l'impossible nul ne soit tenu... Reconnaissons la qualité esthétique de moult séquences, le soin apporté au design lunaire et aux effets numériques constituant la base de ce film véritablement catastrophe^^

De Roland Emmerich (2022).
Décevant malgré une débauche de moyens techniques.
Visuellement c'est parfois très réussi avec des images époustouflantes de la Terre et de la lune.
Mais est-ce suffisant pour un bon film ? Non assurément ! D'autant que la seule qualité vient de ces quelques plans images. La jeu des acteurs est sidéralement plat à croire que personne ne croit en l'histoire. Autant connaissant R Emmerich certains de ces précédents opus avaient quand même quelque chose d'enthousiasment. Dans Moonfall on s'ennuie et après la surprise de l'argument du début, à savoir la Lune qui va s'écraser sur la Terre, la suite fait pshitt. Jeu des acteurs inexistant, Scènes téléphonées, scénario plat voire inconsistant et incohérent.
Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley (II)

Bon film catastrophe / SF.
Un bon divertissement si on n'est pas trop regardant sur certaines scènes d'action en plein chaos relativement WTF et parfois incohérentes.
L'idée du scénario est bonne même si plusieurs idées sont déjà vues, notamment dans les propres films du réalisateur.
Les scènes s'enchaînent vite, trop vite, il aurait fallu 1h de plus au film pour pouvoir développer un peu mieux les différents protagonistes que l'on suit.

Un gros blockbuster qui tache, comme on les aime (attention, ironie) : des dialogues qu'on peut facilement prononcer en même temps que les acteurs (le dialoguiste ne s'est clairement pas foulé le poignet pour les écrire), des effets spéciaux numériques à foison (seuls les acteurs sont réels, et ça se voit), et une histoire abracadabrante au départ qui parvient encore à nous décevoir un peu plus avec ses explications tirées par les cheveux à la fin (un exploit). Si l'on part du postulat que la Lune est une construction (bon, admettons, quand on va voir Moonfall de Roland Emmerich, on signe en bas du contrat), on s'attend quand même à avoir quelques surprises quand à l'origine de l’œuvre, et c'est là que Moonfall s'écrase plus vite que sa Lune en carton : on retrouve comme un petit air d'Elysium ( spoiler: les humains "élites" de la Terre qui s'enfuient dans un refuge spatial circulaire dirigé par les nouvelles technologies), puis l'éternelle révolte de l'intelligence artificielle contre les Hommes (on ne vous fera pas l'offense de citer toutes les œuvres qui ont ce synopsis
), et le vestige de cette bataille reste la Lune qui menace à présent la Terre en sortant de sa trajectoire. Mais heureusement, Emmerich a regardé Armageddon, et Interstellar, et sait comment sauver la Terre... Sauf que le bloubiboulga informe qu'en a fait Emmerich nous a plutôt convaincu de revoir les originaux, pour nous laver les yeux. Dans Moonfall, les personnages échappent à peu près à n'importe quelle catastrophe de fin du monde avec une bonne Jeep (ou plutôt Lexus ? On n'a pas bien vu le logo en gros plan qui prend tout l'écran, remettez-nous ça, on aime la pub gratuite), passent dans une autre dimension cosmique (le passage où on n'est plus trop sûr d'avoir compris, à part qu'on a pensé aux scènes de fin d'Interstellar, en version Wish), confient le sort de l'Humanité à deux astronautes qui ont été accusés de négligence par le passé, et un nerd qui est sous cachets (ça ressemble plus à un début d'histoire drôle). Les acteurs semblent simplement venir récupérer leur chèque, et ne nous sortent jamais de l'ennui abyssal dans lequel ce film de SF balourd nous plonge durant ses 2h10 interminables. Moonfall est un magnifique crash, dans toute sa splendeur.

Malgré la qualité des effets spéciaux, et le pitch de départ, le film parait malgré tout quelconque. Les stéréotypes sont là, et tout demeure prévisible ( ex : le pere donne au fils un flingue "j'espère que tu n'auras pas à t'en servir"... ) Le film aurait peu captiver en gardant un coté + scientifique que catastrophe (que serait la terre sans la Lune ?...) bref se laisse regarder mais ne marquera pas ... ou alors juste pour la belle Halle Berry.

Un nanar cosmique ! Cela aurait encore pu être drôle avec du 2nd degré mais c'est juste crétin. Emmerich m'a émerveillé avec Stargate, Independence Day, Le jour d'après et même 2012 mais cette époque est révolue. Il continue dans la destruction massive mais à perdu son modjo.

C'est franchement lamentable de bout en bout, mais c'est tellement lamentable que ça en devient incroyablement amusant. En plus les acteurs jouent ça comme du Shakespeare, c'est épatant.

Les effets spéciaux sont particulièrement horrible comme la course de voitures en pleine attraction lunaire. Le scénario est inexistant et les acteurs pas très crédible. Quelques rares passages sortent du lot mais ce film fait réchauffe et fake . A oublier.