Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Roland Emmerich s’amuse toujours autant à tout casser et on a l’impression d’être invité chez lui pour partager ses jouets. Moonfall n’a pas d’autre ambition que cela mais la remplit parfaitement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
Non dépourvu d’humour, « Moonfall », use à merveille de ses 140 millions de dollars de budget, soit environ 125 millions d'euros : il offre des sensations fortes, fait réfléchir le spectateur, tout en parvenant à l’émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Nostalgiques de l’époque où des films tels que 2012, Armageddon ou encore Independance Day abondaient dans les salles obscures, Moonfall est une friandise dont vous auriez tort de vous priver.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le nouveau film catastrophe de Roland Emmerich, réalisateur du Jour d’après ou 2012, ne brille pas par son réalisme, mais par sa maîtrise phénoménale de scènes à la fois spectaculaires et anxiogènes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Un film qui n'étonnera en rien ce qui connaissent ne serait-ce qu'un peu Roland Emmerich, où même les surprises ne sont pas surprenantes. Et si on sait cela, et qu'on a envie, ou même besoin de cela, alors on passe un bon moment, surtout sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un divertissement totalement décomplexé, qui ne se préoccupe ni de cohérence ni de vraisemblance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Derrière cette vision du cinéma comme une boule neigeuse que le cinéaste agite avec la jouissive frénésie d’un enfant, le film creuse un sillon techno-sceptique surprenant et en porte-à-faux vis-à-vis de ses qualités d’objet de pure technologie cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Impassible et insensible aux modes, Roland Emmerich continue à fabriquer d'ahurissants films catastrophe "so nineties", et il le fait avec une obstination telle qu'elle en devient authentiquement touchante.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
En vingt-six ans de catastrophes réelles, la perception du chaos global du cinéaste aurait pourtant eu le temps de se mettre à jour. Emmerich s’intéressant peu aux êtres qui subissent le désastre, on arrive en bout de parcours avec l’impression désagréable que le sauvetage de la planète vient d’être conté par un barde faux-cul qui ne croit pas à sa propre histoire (...).
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Long, laid et laborieux, Moonfall explose en plein vol comme un best of du pire du film catastrophe, et du cinéma de Roland Emmerich. Définitivement loin des Independence Day, Le Jour d'après et 2012. Pas méchant, mais triste comme la pluie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par Sylvestre Picard
L’aventure terrestre est trop mollassonne et celle dans l’espace est trop absurde. La combinaison des deux ne fonctionne pas vraiment : Moonfall souffre en somme d’un problème d’échelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Dommage qu’une fois de plus, le scénario se crashe sur la planète clichés.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
À l'arrivée, Moonfall s'apparente à une sorte de grand barnum creux, comme une coquille cinématographique vide de sens, qui ressemble plus à un spectacle de marionnettes avec des gros effets spéciaux, qu'à un film digne de ce nom.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Philippe Guedj
Le réalisateur de « Independance Day » organise dans son dernier forfait un rendez-vous entre la Terre et la Lune apocalyptique... et désastreux à plus d'un titre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Déclinant ad nauseam ses obsessions et ses visions apocalyptiques, Emmerich signe un nouveau film-catastrophe si laid et risible qu’il en devient presque fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Grégory Valens
Faux film catastrophe [...] mais vrai navet aux séquences improbables à la limite du pastiche [...], Moonfall est une accumulation de déjà-vu, un patchwork indécent de pillages en série.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Spectaculaire mais creux.
Télérama
par Caroline Besse
Dans ce nouveau film castastrophe du réalisateur germano-américain, la Lune s’apprête à s’écraser sur la planète. Et Halle Berry s’ennuie autant que nous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Roland Emmerich s’amuse toujours autant à tout casser et on a l’impression d’être invité chez lui pour partager ses jouets. Moonfall n’a pas d’autre ambition que cela mais la remplit parfaitement.
CNews
Non dépourvu d’humour, « Moonfall », use à merveille de ses 140 millions de dollars de budget, soit environ 125 millions d'euros : il offre des sensations fortes, fait réfléchir le spectateur, tout en parvenant à l’émouvoir.
Filmsactu
Nostalgiques de l’époque où des films tels que 2012, Armageddon ou encore Independance Day abondaient dans les salles obscures, Moonfall est une friandise dont vous auriez tort de vous priver.
Le Parisien
Le nouveau film catastrophe de Roland Emmerich, réalisateur du Jour d’après ou 2012, ne brille pas par son réalisme, mais par sa maîtrise phénoménale de scènes à la fois spectaculaires et anxiogènes.
IGN France
Un film qui n'étonnera en rien ce qui connaissent ne serait-ce qu'un peu Roland Emmerich, où même les surprises ne sont pas surprenantes. Et si on sait cela, et qu'on a envie, ou même besoin de cela, alors on passe un bon moment, surtout sur grand écran.
Le Journal du Dimanche
Un divertissement totalement décomplexé, qui ne se préoccupe ni de cohérence ni de vraisemblance.
Les Inrockuptibles
Derrière cette vision du cinéma comme une boule neigeuse que le cinéaste agite avec la jouissive frénésie d’un enfant, le film creuse un sillon techno-sceptique surprenant et en porte-à-faux vis-à-vis de ses qualités d’objet de pure technologie cinématographique.
Mad Movies
Impassible et insensible aux modes, Roland Emmerich continue à fabriquer d'ahurissants films catastrophe "so nineties", et il le fait avec une obstination telle qu'elle en devient authentiquement touchante.
Cahiers du Cinéma
En vingt-six ans de catastrophes réelles, la perception du chaos global du cinéaste aurait pourtant eu le temps de se mettre à jour. Emmerich s’intéressant peu aux êtres qui subissent le désastre, on arrive en bout de parcours avec l’impression désagréable que le sauvetage de la planète vient d’être conté par un barde faux-cul qui ne croit pas à sa propre histoire (...).
Ecran Large
Long, laid et laborieux, Moonfall explose en plein vol comme un best of du pire du film catastrophe, et du cinéma de Roland Emmerich. Définitivement loin des Independence Day, Le Jour d'après et 2012. Pas méchant, mais triste comme la pluie.
Première
L’aventure terrestre est trop mollassonne et celle dans l’espace est trop absurde. La combinaison des deux ne fonctionne pas vraiment : Moonfall souffre en somme d’un problème d’échelle.
Télé 7 Jours
Dommage qu’une fois de plus, le scénario se crashe sur la planète clichés.
Le Figaro
À l'arrivée, Moonfall s'apparente à une sorte de grand barnum creux, comme une coquille cinématographique vide de sens, qui ressemble plus à un spectacle de marionnettes avec des gros effets spéciaux, qu'à un film digne de ce nom.
Le Point
Le réalisateur de « Independance Day » organise dans son dernier forfait un rendez-vous entre la Terre et la Lune apocalyptique... et désastreux à plus d'un titre.
Les Fiches du Cinéma
Déclinant ad nauseam ses obsessions et ses visions apocalyptiques, Emmerich signe un nouveau film-catastrophe si laid et risible qu’il en devient presque fascinant.
Positif
Faux film catastrophe [...] mais vrai navet aux séquences improbables à la limite du pastiche [...], Moonfall est une accumulation de déjà-vu, un patchwork indécent de pillages en série.
Sud Ouest
Spectaculaire mais creux.
Télérama
Dans ce nouveau film castastrophe du réalisateur germano-américain, la Lune s’apprête à s’écraser sur la planète. Et Halle Berry s’ennuie autant que nous.