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    Une vie cachée
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    259 critiques spectateurs

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    Jorik V
    Jorik V

    1 282 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Ahhh Terrence Malick, un cinéaste tellement inclassable. De ceux dont le nom devient même un adjectif tellement leur style est unique et reconnaissable entre tous, à l’instar d’un Tarantino, d’un Lynch ou d’un Scorsese. Avec son nouveau film présenté en compétition au Festival de Cannes l’an passé, il livre un film à la croisée des deux voies empruntées par son œuvre. C’est-à-dire avec un retour à une chronologie et narration plus limpides comme dans ses premiers (et très anciens films, de « La Balade sauvage » à « Un nouveau monde »). Mais, en même temps, pas forcément accessible à tous car toujours aussi porté sur une narration en voix off monocorde, sur une durée clairement excessive et sur des envolées lyriques et théologiques quelque peu absconses. Mais on est tout de même heureux de retrouver ce cinéaste dans une veine moins proche de l’essai théorique et plus en phase avec ce qu’on appelle communément le septième Art. Car, avec des œuvres comme « A la merveille » ou « Knights of Cup », il avait perdu beaucoup de monde en route. Ici l’excellence côtoie le profondément pesant, la première se révélant sur le côté visuel et le second davantage sur le fond.



    Sur le bon versant, applaudissons encore la magnificence de la mise en scène de Malick. Même si certains crieront à un film musée sur Mère Nature bloqué dans le passé, rares sont les cinéastes capables de nous émerveiller autant que lui. Chaque plan est une véritable peinture apposée sur la toile d’écran, un sublime tableau bucolique sur les merveilles que nous offre la campagne autrichienne. D’ailleurs, celle-ci n’a certainement jamais été mieux filmée que par ce réalisateur. Il la sublime, dans sa beauté la plus tellurique et profonde. Certes, les paysages et scènes choisies le sont avec soin, mais sa caméra rend l’image belle au-delà de toute espérance. Clairement, sur la forme « Une vie cachée » est proche du chef-d’œuvre pictural. C’est admirable à en pleurer et la musique qui accompagne les plans du cinéaste les rend d’autant plus poétiques et fascinants. Toujours à filmer en contre-plongée, comme par respect pour ce qu’il filme, nos yeux approchent donc de l’orgasme mais, malheureusement, il n’en est pas de même pour notre cœur qui reste en cale sèche.



    Le propos entamé par « Une vie cachée » est intéressant mais pas forcément facile à retranscrire au cinéma. Ce sont des thématiques chéries par Malick. Il convoque donc encore les notions de Bien et de Mal, de Foi, de désobéissance et les convictions profondes de chacun. Mais il ne sait pas couper, ou plutôt se recadrer, d’où, encore, une durée fleuve. Paradoxalement, même si le film semble bien long, on ne voit pas non plus tant de séquences que cela à ôter sur les trois heures de bobines sauf, peut-être, celles récurrentes et redondantes qui voient la vie de tous les jours du couple central entre travail au champ et vie sociale au village. La densité narrative apparaît tout de même trop limitée pour une telle durée, le long-métrage nous paraissant tout de même interminable passé la première heure. Tout comme les échanges passionnants entre les personnages sur les thèmes cités plus hauts qui s’avèrent trop disparates. Quant aux seconds rôles, ils passent comme des ombres, des fantômes dont on suppose que pas mal de séquences ont dû être coupées au montage (par exemple pour Matthias Schonnaerts). Cela a pour conséquence de faire s’évaporer le côté envoûtant qui se diffusait grâce à la joliesse des images. Et de la même manière, l’émotion a du mal à nous étreindre malgré un tel sujet. « Une vie cachée » a le mérite de mettre l’accent sur l’héroïsme ordinaire et inconnu mais se révèle trop baigné dans un lyrisme parfois excessif et le panthéisme si cher au cinéaste. En résulte une fresque intime et un hymne au courage, à la persévérance et à l’intégrité face à ses convictions les plus profondes qui charme sur la forme mais ne s’est pas donné les moyens de convaincre sur le fond. Et, encore une fois, vraiment trop longue.



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    Cinememories
    Cinememories

    489 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2021
    Nous le sentions grandir depuis ses trois premiers long-métrages qui ont fait l’unanimité, mais Terrence Malick a lentement commencé par sortir du registre contemporain pour retourner à la source abstraite, qui témoigne de tout son lyrisme et sa passion pour la narration. Depuis “The Tree Of Life”, sa curiosité l’a poussé à expérimenter des sensations, présages d’un renouveau d’une splendeur indétrônable. Quand bien même il sait rester modeste, même dans la folie ou les prises de risques, il a toujours su ce qui le faisait vibrer. À présent, il a fini par construire l’œuvre intermédiaire afin de nous transmettre tous ces frissons, ces maux de tête et de ventre, jusqu’à nous impliquer moralement et consciencieusement. Non pas qu’il ne l’ait jamais fait auparavant, mais dans ce dernier récit, nous y trouverons plus d’arguments pour débattre de ce que l’artiste souhaite véhiculer. À l’opposé de “La Ligne Rouge”, Malick nous rappelle, loin du Pacifique, et nous livre une bataille moins musclée et plus sensorielle que jamais. C’est tout un ensemble qui fait que son intrigue, bien qu’inspirée de faits réels, respire de nouveau le dilemme de la foi contre la raison.

    Autriche, 1940. Les champs murmurent, le vent caresse les faux, le blé frémit et les montagnes voilent ce paradis caché… Il faut peu de temps, dès les premières images, pour nous donner le ton dramatique et informelle d’une chute et d’un mauvais présage. La guerre et la Nazisme sont aux portes de cette campagne, où l’harmonie règne, toute comme le silence triomphant qui commande ces terres neutres pourtant riche en liberté. La Nature a une place bien propre dans ce récit qui surcutte des plans sans arrêt, mais qui jouent en faveur d’une expérience. Nous assistons donc à la descente de Franz Jägerstätter (August Diehl), mari accompli et père d’enfants innocents. Sa quête le mène à emprunter une destination qui rime avec résistance, mais sans conviction de changer le monde. Il s’agit avant tout de préserver le sien, car sa conduite morale lui dicte de se reposer sur son âme. Il n’est donc pas étonnant de le voir confronter ses idéaux avec l’Église, corrompu par la peur et le remord, sans qu’on puisse y faire quoi que ce soit. Le sujet a beau avoir été développé dans bien d’autres œuvres, mais c’est justement dans ce rapport à l’humanité qu’on devine rapidement le sort de ce dernier, martyr de la liberté.

    Il rappelle ô combien les épreuves de cette guerre et l’influence maléfique de l’Axe laissaient deux pôles se distinguer dans leur rang, les admirateurs et fidèles. Et bien que l’aboutissement d’un tel affrontement conduise à une vision de paix, elle reste inaccessible à ceux qui n’essaye pas de voir et il est important d’ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure, comme il faut savoir utiliser ses yeux pour accepter la tragédie de cette intrigue. Cependant, les décisions sont lourdes de sens et la responsabilité à porter est si grande pour des êtres qui n’ont pas plus d'impact que cela dans le monde. Et c’est sans nul doute la provenance de tout ce lyrisme qui s’affiche devant nous, nous qui nous n’avons rien d’autre à faire qu’à résister ou s’abandonner dans les limbes, loin de ce paradis que l’on voit se transformer au fur et à mesure que la conduite de Franz l’éloigne de son épouse Franziska (Valerie Pachner) et sa famille, qui endurent mille peines. Le lien fort qui les unis transcende pourtant l’écran, faisant des vas et vient vers le “nouveau monde” et “La Vie Cachée” dont nous comprenons la symbolique sur les dernières lignes de cette fresque de la foi.

    Malick possède toujours un sujet salvateur pour ses personnages, qui luttent contre le monde qui va trop vite et qui en oublie ces individus qui le constituent. Et en arpentant le sentier de l’abstrait, il nous tend une nouvelle vue à chacune de ses réalisations que l’on peut rarement estimer maladroites, car il ne nous est pas toujours permis de lire en lui comme dans un livre ouvert. Ce film testamentaire prouve toutefois qu’il est possible de renouer avec son art, comme si nous en faisions déjà partie et c’est bien entendu cette sensation qui nous excitera davantage à analyser et à interpréter sa partition, en parfaite symbiose avec le grand James Newton Howard et le cadre du cinéaste qui vise naturellement la contre-plongée pour nous émouvoir toujours un peu plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    un film magnifique très équilibré qui bouscule notre humanité. Je le mettrai en parallèle du film Silence dans son questionnement. Jusqu'ou sommes nous prêt à vivre sans compromission avec le mal ambiant.
    Un chef d'oeuvre pour moi que je vais m'empresser de revoir.
    Paul Roux
    Paul Roux

    10 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Lourd, long, pompeux, ennuyeux, déclamatoire, théâtral : je ne trouve que des adjectifs négatifs pour décrire cette « Vie cachée » qui aurait pu le demeurer. J'avais adoré « Les moissons du ciel » et « La ligne rouge », mais Malick fait désormais partie de ma liste noire.
    Pierre V
    Pierre V

    7 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2020
    Malick fait du Malick mais se remet à raconter une histoire, enfin. Plusieurs bémols : quand on est si soucieux du détail (trop) et de la beauté des images ça fait plus ressembler aux "Fermes de Marie " à Megeve qu'à une ferme de pauvres paysans Autrichiens. Et ce mélange des langues est pour le coup insupportable. Les Autrichiens parlant Anglais (mais pas toujours... ) ça le fait vraiment pas. Et enfin je n'ai ressenti strictement aucune émotion malgré la dureté de l'histoire. Pas de Pathos c'est bien mais un peu d'émotion c'est pas mal non plus.
    Frédéric B.
    Frédéric B.

    2 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    Doit-on faire les choses en fonction de leur coût et de leur utilité immédiate ou en fonction de nos seules convictions et ce y compris au prix de sa vie. Voilà la question philosophique que le film nous soumet, servi par une réalisation au souffle lent et puissant, sans pathos extravagant et par un jeu d'acteurs exceptionnel.
    Evelyne M
    Evelyne M

    25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Chef d'œuvre absolu. On rentre totalement dans cette nature, cette ambiance et la simplicité d'une vie dure mais heureuse, qui va être contrariée, déboussolée, mise au ban, où il devient difficile voire impossible de résister au mal. Bravo aux deux héros qui font preuve d'une force et d'humanité hors du commun.
    Cacam
    Cacam

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Ce que j'aime chez Terrence Malick, c'est qu'il pose les questions, il n'y réponds pas et c'est cette humilité qui le rend supportable. C'est le mystère qui donne à ses films leur splendeur, c'est ce qui nous offre une place à nous spectateur. Terrence Malick, c'est l'art du murmure, ce don de la question, c'est ces voix off déchirantes. Une vie cachée ne m'as pas déçue. Je ne l'ai pas compris, ce serai prétentieux de dire le contraire, il m'a laissé avec des questions. Et ces questions, je le sais, me hanteront longtemps. Comme celles de Tree of life.
    Il y a cette vision, ce regard singulier. La nature. La douceur. La violence. Cette passion du détail.
    Il y a cette quête de la lumière.
    Les personnages sont exceptionnels. Le temps est dilaté pour nous laisser le temps de s'interroger, de comprendre. La musique de James Newton Howard est superbe.
    Je ne sais pas quoi vous dire. Évidement, j'ai pleuré. Bien sur, je suis bouleversée. Il faut voir ce film c'est sur.
    Mais il n'aura pas cinq étoiles. Parce qu'il y a malgré tout des zones d'ombres.
    L'anglais, pourquoi l'anglais pour faire parler les héros? Pourquoi l'anglais seulement pour les héros et l'allemand seulement pour les nazis ? Franz Jägerstätter parlait allemand, cette langue ne peut être monopolisée par le nazisme.
    Un autre aspect un peu décevant c'est qu'on ne sait pas comment le héros est informé de la dangerosité du nazisme.
    Enfin, ce film c'est aussi la bascule du métaphysique vers le religieux chez Terrence Malick, bascule intéressante et nuancée, certes mais peut être que l'iconographie religieuse est un peu trop présente.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    62 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Aller voir un film de Terrence Malick est toujours une expérience de cinéma. Ce réalisateur américain atypique s'intéresse cette fois à l'histoire vraie d'un paysan autrichien durant la période nazie qui refuse de prêter allégeance à Hitler, dont les décisions heurtent profondément ses convictions religieuses. Prés de 3 heures de réflexion sur les valeurs humaines, les convictions, le prix à payer pour les défendre, s'opposer au groupe, la force du religieux dans l'épreuve...Malick tire le spectateur vers le haut en le forçant à se questionner, à réfléchir. C'est âpre, c'est conceptuel, souvent long mais surtout magistral. Une interprétation habitée, des images somptueuses. A tenter. A vos risques et périls.
    Xavier Oudot
    Xavier Oudot

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    "Une vie cachée" est un très long pensum (3 heures!) mélangeant le calvaire d'un objecteur de conscience autrichien en 1943 -- sujet qui aurait pu être passionnant s'il avait développé un minimum les motivations du personnage, les circonstances qui l'avaient amené à s'opposer à la tyrannie nazie, au lieu de le présenter comme un doux illuminé ne comprenant pas bien ce qui lui arrive -- des paysages du Tyrol qui auraient pu être magnifiques s'ils n'avaient pas été filmés comme une pub Ricoré, des évocations de la vie pastorale d'un petit village autrichien qui auraient pu nous émouvoir si elles n'étaient pas aussi grotesques qu'un pastiche des Inconnus. C'est redondant, dégoulinant comme une tartine que l'on aurait couverte de confiture des deux côtés, emprunt d'une spiritualité de pacotille se résumant à "le mal, c'est pas bien". Une seule scène m'a touché: Bruno Ganz, président d'une cour martiale du III-ième Reich, ne croit plus visiblement au dogme hitlérien. Profondément ému par l'accusé, il lui demande : "Me jugez-vous?". On sent ici le piège qui s'est refermé sur beaucoup d'Allemands qui, de bonne foi, ont cru pouvoir conserver leurs fonctions sans se compromettre avec le régime et qui se retrouvent dans l'obligation de le servir dans ses plus sinistres tâches pour sauver leur propre vie. Voilà qui aurait pu faire un film à soi seul!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    C'est long, c'est lent, douloureux, ennuyeux.
    Je me méfie toujours du cinéma de Malick. Je n'adhère pas à sa philosophie christique. Le sujet m'intéressait et je voulais lui donner une chance même si passer 2h40 devant l'un de ses films, m'effrayait un peu.
    Ce film est fidèle à son œuvre, esthétique, lourd, pesant.
    L'intérêt du film réside dans la reconstitution de la vie paysanne des années 30/40. On sent la souffrance des hommes et des bêtes travaillants la terre. Je plains les acteurs principaux du tournage.
    On se rend compte que le film traite d'un fait divers de quelques mois qui paraissent durer des années sous la caméra de Malick.
    J'apprécie l'esthétique d'un poème, d'un tableau ou d'une mélodie. Mais quand ça dure près de 3 heures, ça fait trop...
    Le héros marche dans les pas d'un Jésus sans père et on goutte à la passion du christ tant le rythme et la durée du film semblent très, trop lents et longs.
    Bref je déconseille.
    Givdul
    Givdul

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    Film épistolaire qui montre la beauté de l'Autriche du secteur primaire en opposition à la répression naziste autoritaire
    Reverdy
    Reverdy

    22 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    L'obstination à la Antigone du personnage principal, Franz Jägerstätter, est profondément marquante. A un certain moment du film, le narrateur dit : "il y a une lueur qui se dégage chez celui qui ne s'accroche pas coûte que coûte à la survie" : une liberté se déploie qui rend Franz intouchable. Il le dit à un certain moment quand on lui propose une énième fois d'arrêter de s'obstiner pour être libéré : "mais je suis libre". C'est donc l'histoire de cet homme de foi, chrétien, qui a confiance en Dieu, plus que dans un régime injuste, et qui pratique ce que Thoreau nomme la désobéissance civile, c'est-à-dire le droit de désobéir à la loi quand elle est injuste au nom de ses convictions morales.
    Hugh Sandford
    Hugh Sandford

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Un film véritablement magnifique, mais prudence les choses belles sont toujours difficiles. Ce film exigeant, long, souvent obscur demandera de la patience et de la bonne volonté. Cependant, comme tous les grands films, il laissera une empreinte et des images dans la mémoire pour ceux qui se laissent imprégner par sa beauté plastique.
    Le film se déroule lentement avec des thématiques complexes, aucun segment du film n'étant gratuit, néanmoins le thème central (René Girard/Simone Weil ?) semble être celui du sacrifice eucharistique avec les plans qui insistent sur le travail de la terre, la fête du corpus christi, le moulin, le blé, le pain et la mort finale de Jäggerstater.
    Il est difficile de ne pas être rébuté par la folie tranquille du personnage principal, son action tout à fait insensée mais qui aurait prévenue la guerre si d'autres l'avaient suivie. Le film insiste d'ailleurs très peu sur la vie intérieure du Franz historique, fondée sur la prière, la lecture de la Bible et la vie des Saints.
    Bref, un film absolument à voir pour ceux qui souhaitent éprouver une véritable expérience esthétique avec un film qui impose son propre langage, riche de références et de réflexions. Terrence Malick continue sa quête dans l'extension des limites de l'expressivité cinématographique (d'où l'incompréhension qu'il suscite) et nous lui sommes reconnaissants !
    robert
    robert

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Très belles images des montagnes autrichiennes
    Très belle images en général
    Une lenteur adaptée au thème
    Suscite une belle réflexion sur le sens de la vie, la liberté, quel sacrifice est on prêt à faire pour ses valeurs
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
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