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    Une vie cachée
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    3,9
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    258 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    C'est long, c'est lent, douloureux, ennuyeux.
    Je me méfie toujours du cinéma de Malick. Je n'adhère pas à sa philosophie christique. Le sujet m'intéressait et je voulais lui donner une chance même si passer 2h40 devant l'un de ses films, m'effrayait un peu.
    Ce film est fidèle à son œuvre, esthétique, lourd, pesant.
    L'intérêt du film réside dans la reconstitution de la vie paysanne des années 30/40. On sent la souffrance des hommes et des bêtes travaillants la terre. Je plains les acteurs principaux du tournage.
    On se rend compte que le film traite d'un fait divers de quelques mois qui paraissent durer des années sous la caméra de Malick.
    J'apprécie l'esthétique d'un poème, d'un tableau ou d'une mélodie. Mais quand ça dure près de 3 heures, ça fait trop...
    Le héros marche dans les pas d'un Jésus sans père et on goutte à la passion du christ tant le rythme et la durée du film semblent très, trop lents et longs.
    Bref je déconseille.
    SB88
    SB88

    25 abonnés 1 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2024
    Bon, je vais essayer de le revoir (et peut-être modifier la note ?) car là...j'ai passé 1 heure devant le film en me disant que c'était terriblement ennuyant !!!
    En lisant les commentaires, je me dis que j'ai peut-être loupé quelque chose mais je suis étonnée d'une si bonne note. C'est tellement lent !
    2,4/5 en attendant.
    Bvs
    Bvs

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    A la fin du film, quand apparaît le générique, personne ne bouge. De longues minutes s'écoulent avant que le premier spectateur ne reprenne son souffle et commence à bouger. Tout est dit. Un film éprouvant mais indispensable, qui évoque comme nul autre, sans image, la violence et l'horreur du nazisme.
    Un méditation mystique qui touche même les agnostiques comme moi.
    baroncheper
    baroncheper

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mai 2020
    Une pub herta saupoudrée de bondieuserie de presque 3h! Il ne manque rien à cette chronique pastorale : le moulin, le lavoir, les moissons à la faux...
    Des autrichiens qui parlent anglais...
    90% des plans en contre plongée grand angle.
    Bref, j'ai décroché assez vite
    Dommage, il y avait de quoi faire une belle histoire
    moket
    moket

    541 abonnés 4 349 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2021
    Formellement, c'est superbe. Les images sont belles et les paysages sont magnifiques. Mais regarder un tableau pendant 3 heures, c'est long, beaucoup trop long... A force d'être obsédé par la forme, Terrence Malick oublie d'insuffler de l'émotion. Et puis ses bondieuseries sont fatigantes.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 3 001 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Le cinéma de T. Malick est reconnaissable : contemplatif, sentimental, spirituel, sur une douce narration mélancolique. Le propos qui vise à ne pas prêter allégeance à la haine, à la division de la guerre ainsi que la voie choisie sont intéressants. Une vie heureuse lovée dans cette vallée superbement filmée va se trouver chamboulée, avec une grande violence psychologique. Néanmoins, certains dialogues sonnent faux, les langues se mélangent, le récit s'embourbe, soporifique et devient une oeuvre fleuve où il est bien difficile de tenir sur la distance!
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    Une vie cachée s'ouvre sur une beauté contemplative un poil excessive durant laquelle la part belle sera faîte aux paysages, au bonheur d'un quotidien insouciant et isolé de la dureté du monde extérieur, aux relations idylliques et pures de cette famille parfaitement composée sur fond de voix-off aux paroles poétiques écrites de main de maître par un Terrence Malick au talent irréfutable, que ce soit pour la composition de ses plans ou la justesse littéraire de ses dialogues.

    La vérité du moment, reproduction parfaite d'un réel auquel chacun aspire, tient autant de la réalisation touchante, humaine et chaude que du jeu de son duo d'acteurs absolument brillant, August Diehl et Valerie Pachner formant l'un des couples les plus attachants, vrais et déchirants vus sur grand écran depuis de nombreuses années. On se prend au jeu dès le départ, de sa première phrase à son dernier plan, tous deux d'une beauté sidérante, même lorsqu'on se rend compte en introduction que Malick, soucieux de mettre en valeur la beauté des panoramas autrichiens, use et abuse des compositions de paysages certes réussies, jolies et planantes mais répétitives et, d'une certaine manière, attendues.

    Après cette première demi-heure aussi charmante que laborieuse, survient le véritable sujet du film : Franz Jägerstätter, héros purement moral au sein d'une période historique désastreuse, s'élève en réaction de l'arrivée du nazisme comme le Christ face au pouvoir répressif des romains. Un postier aperçu au détour d'une ballade, qu'on voit de plus en plus à mesure que le temps passe; trois soldats venus réclamer vivres et soutien pour l'effort de guerre, rejetés par un montage brutal et ciselé; une première incursion dans le domaine de la guerre, au camp d'entraînement, où l'on croirait que Franz, chargé de perforer des mannequins de paille à coups de baïonnette, va s'évanouir ou vomir : il n'en faudra pas plus pour le placer sur la seule voie qui lui semble destinée, la solitude d'un martyr transcendant sa propre condition d'homme.

    Celui que l'on suivait au départ comme seul travailleur des champs, rapidement épaulé par sa femme, la quitte de nouveau après une heure et demi de quotidien sublime pour rencontrer le tournant de sa vie, l'engagement militaire forcé. C'est là que Malick décidera de passer du tout au tout en élevant ce fermier sans prétention au stade de figure héroïque qu'on pourrait idéaliser pour sa bonté morale, et l'infaillibilité de ses concepts humanistes.

    La réflexion est à ce sujet suffisamment poussée pour désacraliser en même temps ce personnage principal que tout indique comme la nouvelle représentation du messie : de multiples fois, Malick fait appel au mépris de ses opposants pour glisser l'hypothèse somme toute intéressante son laquelle Franz, tout humain qu'il soit, fait moins preuve de courage par bonté d'âme que par simple question d'égo; l'idée de s'agenouiller devant un dirigeant autoritaire ne serait-elle pas impensable pour un homme de famille indépendant, totalement autonome, à ce point borné qu'il provoque lui-même les punitions qu'on lui inflige?

    Il existe donc, dans Une vie cachée, une dualité comportementale qu'on retrouve autant chez nos personnages principaux (Franziska, femme de Franz, qui ne sait jamais où se situer moralement, si elle doit écouter les remontrances de sa soeur ou soutenir à 100% les choix de son mari, quitte à devenir la risée du village) ou de ce même village, premiers partisans d'Hitler qu'on croise au travers du maire, effrayants au départ, possédés par la montée des idées haineuses pour redevenir, sur la fin, plus humains, plus touchants, en un simple plan de réaction fasse à la magnifique conclusion de l'intrigue.

    Malick détruit ici les attentes qu'on pouvait avoir du développement de ses personnages : là où l'on attendait forcément une histoire touchante, de fait romantique et tragique, il la change en appelle d'espoir divinement porté par ses multiples passages racontés à la voix-off jusqu'à cette fantastique idée d'en faire une partie épistolaire durant laquelle il nous partagera la détresse, l'amour infaillible de ses personnages, la tragédie forcée mais transcendantale à laquelle on se préparait depuis le début.

    Le retour, à ce moment, d'un personnage secondaire entraperçu aux premiers pas dans l'armée, ajoute à l'oeuvre une fragilité toute belle au travers de danses improvisées, entre le grotesque et la mélancolie, au sein de cellules sales baignant dans une lumière solaire brûlante. On pense même à Charlie Chaplin, particulièrement à Charlot, alors que ce personnage touchant est la proie de sévices pour avoir voulu ramener un soupçon de gaieté, de légèreté dans un pays que son peuple ne reconnaît plus (pour ceux encore capables de réfléchir en dehors de la propagande parasitaire).

    Le dialogue, rare, passe majoritairement par la mise en scène expressive et riche de Malick, ainsi qu'au travers des passages narrés par les multiples voix-off, en forme d'appel à l'aide mélancolique ou de preuve de soutien infaillible : dans Une vie cachée, les personnages se parlent de façon superposée, rarement en face à face : on rigole aux champs plus que ce qu'on y discute, à défaut de s'y faire insulter, crier, cracher dessus, tout autant que les prisonniers, forcés de se taire pour ne pas se faire réprimander, avancent en traînant derrière eux la peine du monde en adoptant le pas de zombies, repris de justice déshumanisés par la destruction progressive de notre principal point d'existence : le langage.

    Ce fossé entre narration et dialogue, finalement très important, est mis en forme par la barrière de la langue : dans le monde personnel de Franz, on parle anglais; ses ennemis, hommes qu'il ne comprend pas, parlent entre eux allemand, autrichien. Quand ils entrent dans son monde, dans sa vie, l'anglais se fait plus courant; il faut, pour cela, qu'il les estime ou désire les combattre, qu'il humanise finalement des ennemis sadiques, mauvais, ou trop insensibles, à la limite de l'inhumain.

    Au lieu de voir cela comme une façon simple de permettre au spectateur international de comprendre plus aisément son film, il paraît tout de même intéressant de se dire que la rencontre de ces deux langues disparates traduit justement la dualité profonde de l'oeuvre, qu'elle concerne le comportement paradoxal de ses personnages, tiraillés entre deux camps, l'absence de manichéisme de ses antagonistes, qui d'un côté nous présente une vie rêvée contemplatrice des paysages au travers de grands angles de caméra, et d'un autre celle d'une existence brimée par de petits décors de prison aux sévices terribles, sublimés par une photographie digne des plus belles toiles classiques, deuxième partie dure à voir qu'on pourrait considérer comme le miroir de sa première heure et demie : les arbres, remplacés par les immeubles, servent à l'effort de guerre; le travailleur, loin d'être fermier ou cultivateur, se tue à la guerre et range, aux abattoirs, les vies supprimées dans des dossiers classés, déshumanisant totalement une nation qu'on nous présentait verte, luxuriante en début de bobine, et qui n'est plus animée d'un côté que par la lueur faiblarde d'une bougie sur fond de notre père en cellule d'attente, et de l'autre par le teint blafard d'un ciel nuageux au moment d'un baiser d'adieux.

    Parce qu'il ne reste, au final, que cela : l'amour véritable, qu'il soit conjugal ou amical, permet de faire de cette vie gâchée une existence cachée qu'on découvre avec une fascination inexplicable, et qu'on abandonne, en fin de bobine, avec le coeur lourd, l'esprit embrumé devant tant de sensibilité, d'humanité, de simplicité.
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 023 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2021
    Première réaction et que je me suis fait pendant tout le film: qu’est ce que c’est beau!! Cette « vie cachée » de Terrence Malick est une de mes plus belle claque visuelle de cinéma. Sa caméra virevolte, reste au plus près de ses personnages et magnifie les paysages de la campagne autrichienne de manière incroyable. Il arrive même à rendre esthétique un couloir de prison! Au niveau de l’image les mots me manquent pour dire à tel point j’ai trouvé cela magnifique. Mais qu’en est t’il du fond? Car honnêtement même en filmant superbement la nature et les visages pendant 3 heures je me serais ennuyé ferme, s’il n’y avait que cela. Il nous raconte l’héroïsme d’un homme qui ne veut pas se battre, prêt à mourir pour ses idées et son intégrité. L’aspect christique qu’il veut donner à son personnage est évident, j’ai eu peur que cela soit accentué dans le final (étant plutôt réfractaire aux discours religieux) mais il a le bon goût de mettre le holà avant d’en faire trop de ce point de vue. Alors oui forcément on peut trouver j’en conviens quelques longueurs mais pas de quoi affaiblir réellement la force d’un film qui m’a littéralement cueilli alors que je ne m’y attendais pas.
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    Quand Terrence Malick sort un film, on est à peu près certain de s'avaler un monument d'esthétisme visuel. "Une vie cachée" n'échappe pas à la règle, sinon que le réalisateur mythique s'attaque cette fois à un récit historique, dans le contexte douloureux du Reich allemand, obligeant entre autre les appelés d'Autriche de prêter allégeance au dictateur. Le sujet est évidemment périlleux, a priori plutôt éloigné des moteurs romantiques voire mélodramatiques auxquels le cinéaste nous a habitués. La patte de Malick est immédiatement perceptible dans cette façon de filmer les paysages ou les visages, dans un écran panoramique, si grand qu'il donne presque l'impression d'une déformation des images. Les montagnes superbes succèdent aux fermes bucoliques quand il ne s'agit pas de filmer l'austérité malheureuse des prisons.

    Mais "Une vie cachée" souffre de défauts qui sont difficilement acceptables. D'abord, le cinéaste a choisi d'offrir les rôles à des interprètes anglophones, là où ils sont sensés incarner des personnages autrichiens. Les incises d'allemand surgissent de temps en temps, rajoutant au ridicule de la situation et aux stéréotypes de l'armée germanique. De plus, les effets cinématographiques, volontairement emphatiques, s'opposent à un récit objectivement dramatique. Le cinéaste en fait tellement avec ses invocations à la divinité, ses plans superbes que la détresse des deux personnages principaux se dissipe peu à peu dans la surenchère esthétique.

    Bref, "Une vie cachée" produit le contraire du projet du cinéaste. On ressort épuisé de ces trois longues heures, à peine bouleversé par la tragédie qui s'est jouée sur l'écran.
    LeFilCine
    LeFilCine

    182 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Très attendu et annoncé depuis le dernier festival de Cannes, le retour à un style narratif plus traditionnel du grand réalisateur américain Terrence Malick était quelque peu survendu. En effet, comme dans The Tree of Life, les longues réflexions philosophiques, les interrogations nombreuses et les dialogues sans retours sont bien là. Pourtant le film dispose de solides atouts : les deux interprètes principaux, Auguste Diehl et Valérie Pachner, sont parfaits. Cette histoire de conviction absolue et ce jusqu’au-boutisme du héros est fascinante et prend aux tripes. La mise en scène de Terrence Malick est délicieuse, en tout cas au début. Mais malheureusement elle finit par lasser parce que le récit tourne en rond et s’étire inutilement en longueur. Le long-métrage amputé de trente à quarante-cinq minutes aurait gagné en force émotionnelle, étant donné l’inéluctable conclusion qui ne réservait guère de surprise. Un autre défaut auquel il est difficile de passer outre c’est évidemment la langue choisie par le réalisateur pour l’expression de ses personnages. En effet, il est ardu de ne pas être perturbé par ces autrichiens s’exprimant en anglais. Encore plus dérangeant est le choix fait de laisser des acteurs s’exprimer en allemand (sans sous-titrage) lorsqu’il s’agit de jurons, de vociférations ou de propos semblant bien péjoratifs. Pourtant le long-métrage nous interroge, nous torture dans nos convictions et nous offre au finale cette citation de George Eliot (dont est tiré le titre du film) qui nous reste longtemps en tête.
    Jean Noel Lanthiez
    Jean Noel Lanthiez

    19 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Hé oui, voilà un chef d’œuvre....pour qui saura le recevoir.. simple et direct, ce film ne vous lache pas pendant trois heures, jusqu’à la fin...
    magistral de bout en bout!
    cameradine
    cameradine

    21 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2020
    C'est un film de prime abord déroutant, même quand on connaît le style de Terrence Malick. Non pas qu'il soit complexe, au contraire, c'est un de ses films les plus linéaires depuis longtemps. Mais il est difficile de comprendre l'entêtement du personnage principal qui se condamne lui-même en refusant les compromis. Il faut en outre accepter le fait que la langue de la narration soit en anglais et les dialogues d'ambiance en allemand. Aussi, malgré l'attrait qu'exerce le film, de par la beauté des images (tout a été tourné en lumière naturelle et dans des paysages sublimes), de la musique, et le jeu habité des deux acteurs principaux, la première fois je suis restée un peu au bord du chemin. Mais c'est en le revoyant cinq mois après l'avoir vu au cinéma que j'ai pu réviser mon opinion, et cela après avoir écouté plusieurs interviews des acteurs, qui m'ont permis de mieux comprendre l'état d'esprit du film et au final, d'en apprécier plus encore la beauté et la poésie. Il faut se laisser porter par le rythme et l'ambiance, même quand certains dialogues plus mystiques que d'autres peuvent sembler parfois obscurs. Le montage, mêlant scènes "utiles" à l'avancée de l'histoire et scènes de vie, est insolite, mais on peut voir ces inserts comme une prolongation des sentiments des personnages. S'il y a plusieurs acteurs de renom qui font des apparitions (Bruno Ganz, Michael Nyqvist, Matthias Schoenaerts) August Diehl et Valerie Pachner sont ceux qui laissent la plus forte impression, et pour cause : les longues prises de Malick, laissant plus de place aux instants de vie qu'aux dialogues à proprement parler, leur a permis de s'oublier au profit de leurs personnages. Ils sont magnifiques ! Ce film est enfin, une ode à la vie, à l'amour inconditionnel qui peut lier deux êtres, et à la liberté d'opinion.
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    Il est dommage que le réalisateur joue sur les rallonges et un maniérisme parfois souligné dans son cadre. Que c’est long … Car l’histoire qu’il nous suggère plus qu’il ne la raconte ( les thèmes réflexifs, moraux, philosophiques ne manquent pas … ) est d’une universalité bouleversante, qui prend à nouveau pour socle le nazisme et ses déviances humaines. Terrence Malick n’en démord pas. L’homme doit son salut à une foi inébranlable en un dieu, ici jamais nommé. « Il » est, comme celui de Franz Jägerstätter qui par force et conviction refusera toujours de prêter allégeance à Hitler. L’homme s’engage alors sur un chemin christique filmé jusqu’à l’intimité révélatrice d’une profondeur d’âme exemplaire. Le portrait n’est pas si courant, il demeure exemplaire.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Joce2012
    Joce2012

    210 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2019
    Ce film est très beau et très intense, un reproche c'est parfois un peu long et mériterait des plans un peu plus courts même si cette longueur intensifie les sentiments à voir !
    Mrik S.
    Mrik S.

    63 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 décembre 2019
    J espérais aimer. Mais le film m'a derangé dans certains de ses choix artistiques. Ce n est pas tant la durée que certaines idées de scénario qui finissent pas lasser.
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