Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
41 critiques presse
CNews
par La rédaction
Servi par des acteurs talentueux et un jeu de lumières parfaitement maîtrisé, ce film suit le chemin de croix d’un résistant qui n’a jamais tourné le dos à ses convictions.
CinemaTeaser
par Renan Cros
La fusion parfaite entre le Malick pré et post The Tree of Life.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou et Olivier Rossignot
Dépassant le concept de martyre chrétien, Malick donne une voix aux humbles, aux inconnus, aux vrais héros dont les tombes n’ont plus d’inscription. (...) Lumière et ténèbres s’enchevêtrent en un somptueux méandre, quelque part entre le psaume et le sépulcre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Ainsi, le dernier film de Terrence Malick s'impose comme un des plus denses de son auteur, un de ses plus accessibles et puissants.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film intense et envoûtant.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film dont la force et la beauté crèvent l'écran.
L'Express
par Christophe Carrière
C'est un très grand film qui fait plus que s'apprécier : il se médite.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
Immense film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le chef-d’œuvre de Terrence Malick apporte une réponse saisissante au tragique destin de Franz Jägerstätter, lumière fragile qui brille au cœur des ténèbres.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un cheminement spirituel aussi long que beau et profond.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
D'une beauté formelle inouïe, ce film ample, tourné pour l'essentiel en lumière naturelle, dans le village de Franz Jägerstätter et même la maison où il habitait avec sa femme et ses enfants, est une fresque à la fois épique et intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le réalisateur américain revient en grâce avec cette fresque épique qui met en scène un paysan autrichien farouchement opposé au régime nazi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Terrence Malick touche au sublime avec ce chef-d’œuvre instantané, qui terrasse par sa puissance évocatrice et l’ampleur de sa mise en scène.
Le Point
par La Rédaction
Un hymne au courage et à la foi en l'homme filmé dans une nature sublime. Magnifique.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Avec une inspiration stylistique qui rappelle ses meilleurs films (Les moissons du ciel, La ligne rouge), Terrence Malick filme l’attente, l’absence, l’espoir et entraîne le spectateur dans un long et sublime poème visuel.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Philippe Fraisse
Une vie cachée fait partie de ces œuvres majeures qui ont le pouvoir de hanter longtemps le spectateur tant son héros, Franz Jägerstätter, par la radicalité scandaleuse de son engagement, remet en question notre rapport à l’existence dans ce qu’il a de plus essentiel.
Première
par Gaël Golhen
Terrence Malick revient à son lyrisme panthéiste et signe un film d’une beauté terrassante sur la foi et le doute.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Son cinéma donne à voir, dans sa totalité et à même l’écran, ce que la langue allemande nomme Sehnsucht, terme qui désigne à la fois un sentiment - nostalgie ou mélancolie - et un trait fondamental de l’être : la tendance, contradictoire mais contemporaine, à sortir de soi et à rentrer en soi-même.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cinéaste livre ici son film le plus accessible depuis longtemps.
Bande à part
par Olivier Pélisson
L’ultra-formalisme embrasse certes le maniérisme, mais colle comme une seconde peau à cette épopée acharnée, à la lumière des saisons.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le récit d’un idéal pacifiste touchant au sublime.
Le Parisien
par Catherine Balle
Une œuvre bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En filmant un martyr du nazisme, Malick trouve l’image dont son cinéma semblait être en quête depuis toujours : le Christ. Le film restitue cette expérience merveilleuse où le sujet ultime d'un artiste, celui qui cristallise près de cinquante ans de filmographie, apparaît enfin devant ses yeux. Si, depuis quelques films, Malick ne manquait définitivement pas de style, un sujet lui échappait. Il l’a désormais trouvé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par H.S.P.
Toujours aussi lyrique et aérien, Terrence Malick explore avec virtuosité cet épisode méconnu de l'histoire.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Car c’est bien vers la lumière et une forme d’élévation spirituelle, non de désespoir, que tend le film pourtant funeste, éloge d’un engagement extrême.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une aventure spirituelle pour le spectateur.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La dramaturgie s’efface au profit du contemplatif, coutumier du cinéaste, mais inadapté au regard du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Murielle Joudet
Une vie cachée, qui est de loin le meilleur film du cinéaste depuis une décennie, demande un effort d’indulgence, une absence d’ironie, sans quoi les fulgurances qui sont toujours là, au détour d’un plan sur un enfant, un animal, la chambre d’un couple baignée de lumière, refusent d’apparaître.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Malick part de ce drame pour livrer une réflexion humaniste sur la foi, mais cède parfois à un maniérisme pompier.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Si Malick offre comme à l’accoutumée un film visuellement ébouriffant, quelques plans d’inspiration quasi divine, il utilise aussi jusqu’au trop plein ses longs travellings et contre plongées à la steadycam, dont la fluidité finit parfois par devenir un gimmick.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Terrence Malick peaufine chaque plan, magnifie la nature. Obsédé par la poésie de ses images, il créé toutefois une distance avec le spectateur, plus ébloui que réellement ému.
Critikat.com
par Josué Morel
Malick retombe peu à peu dans ses travers, en procédant à un aplatissement par l’entremise d’un montage rouleau compresseur où tout se voit lyricisé jusqu’à l’épuisement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Le film n’est pas sans virtuosité, l’ouverture tissée d’images d’archives est vertigineuse, et certaines séquences font mouche, mais dans l’ensemble, il manque un souffle, une authenticité.
Marie Claire
par La rédaction
Un grand délire fervent et mégalomane qui laissera plus d'un spectateur sur le carreau… hormis sans doute ses nombreux fans extatiques.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Malick reste un virtuose de la caméra. Mais la durée gâche beaucoup le plaisir pour finalement ne pas nous dire grand chose des motivations profondes de cet objecteur de conscience anonyme guidé par la foi.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’emphase et la longueur viennent à bout, hélas, de la puissance de la méditation.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
La mollesse des débats moraux d’Une vie cachée laisse vite, comme Malick en a pris l’habitude, le sentiment religieux flotter dans les facilités d’un panthéisme de carte postale qui sert de fond au mutisme des personnages.
Libération
par Camille Nevers
[...] c’est un film assez grossier, taillé dans le lard, montage saucissonné et cinéma charcutier mais bien résolu à remporter les prix œcuméniques de tous les festivals [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Guillemette Odicino
CONTRE : Une vie cachée n’est pas, comme son titre l’indique, la chronique d’une résistance à bas bruit, mais une lourde symphonie publicitaire pour le martyre et le paradis perdu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Quoiqu’il n’évoque plus directement sa foi en Dieu, Terrence Malick ne trompe personne : c’est bien de cela qu’il est question à travers le récit de ce résistant autrichien. Sa morale bondieusarde perd toutefois beaucoup de son souffle dans cette allégorie peu subtile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
Servi par des acteurs talentueux et un jeu de lumières parfaitement maîtrisé, ce film suit le chemin de croix d’un résistant qui n’a jamais tourné le dos à ses convictions.
CinemaTeaser
La fusion parfaite entre le Malick pré et post The Tree of Life.
Culturopoing.com
Dépassant le concept de martyre chrétien, Malick donne une voix aux humbles, aux inconnus, aux vrais héros dont les tombes n’ont plus d’inscription. (...) Lumière et ténèbres s’enchevêtrent en un somptueux méandre, quelque part entre le psaume et le sépulcre.
Ecran Large
Ainsi, le dernier film de Terrence Malick s'impose comme un des plus denses de son auteur, un de ses plus accessibles et puissants.
Elle
Un film intense et envoûtant.
Femme Actuelle
Un film dont la force et la beauté crèvent l'écran.
L'Express
C'est un très grand film qui fait plus que s'apprécier : il se médite.
L'Obs
Immense film.
La Croix
Le chef-d’œuvre de Terrence Malick apporte une réponse saisissante au tragique destin de Franz Jägerstätter, lumière fragile qui brille au cœur des ténèbres.
La Voix du Nord
Un cheminement spirituel aussi long que beau et profond.
Le Dauphiné Libéré
D'une beauté formelle inouïe, ce film ample, tourné pour l'essentiel en lumière naturelle, dans le village de Franz Jägerstätter et même la maison où il habitait avec sa femme et ses enfants, est une fresque à la fois épique et intimiste.
Le Figaro
Le réalisateur américain revient en grâce avec cette fresque épique qui met en scène un paysan autrichien farouchement opposé au régime nazi.
Le Journal du Dimanche
Terrence Malick touche au sublime avec ce chef-d’œuvre instantané, qui terrasse par sa puissance évocatrice et l’ampleur de sa mise en scène.
Le Point
Un hymne au courage et à la foi en l'homme filmé dans une nature sublime. Magnifique.
Marianne
Avec une inspiration stylistique qui rappelle ses meilleurs films (Les moissons du ciel, La ligne rouge), Terrence Malick filme l’attente, l’absence, l’espoir et entraîne le spectateur dans un long et sublime poème visuel.
Positif
Une vie cachée fait partie de ces œuvres majeures qui ont le pouvoir de hanter longtemps le spectateur tant son héros, Franz Jägerstätter, par la radicalité scandaleuse de son engagement, remet en question notre rapport à l’existence dans ce qu’il a de plus essentiel.
Première
Terrence Malick revient à son lyrisme panthéiste et signe un film d’une beauté terrassante sur la foi et le doute.
Transfuge
Son cinéma donne à voir, dans sa totalité et à même l’écran, ce que la langue allemande nomme Sehnsucht, terme qui désigne à la fois un sentiment - nostalgie ou mélancolie - et un trait fondamental de l’être : la tendance, contradictoire mais contemporaine, à sortir de soi et à rentrer en soi-même.
20 Minutes
Le cinéaste livre ici son film le plus accessible depuis longtemps.
Bande à part
L’ultra-formalisme embrasse certes le maniérisme, mais colle comme une seconde peau à cette épopée acharnée, à la lumière des saisons.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le récit d’un idéal pacifiste touchant au sublime.
Le Parisien
Une œuvre bouleversante.
Les Inrockuptibles
En filmant un martyr du nazisme, Malick trouve l’image dont son cinéma semblait être en quête depuis toujours : le Christ. Le film restitue cette expérience merveilleuse où le sujet ultime d'un artiste, celui qui cristallise près de cinquante ans de filmographie, apparaît enfin devant ses yeux. Si, depuis quelques films, Malick ne manquait définitivement pas de style, un sujet lui échappait. Il l’a désormais trouvé.
Rolling Stone
Puissant.
Télé Loisirs
Toujours aussi lyrique et aérien, Terrence Malick explore avec virtuosité cet épisode méconnu de l'histoire.
Télérama
POUR : Car c’est bien vers la lumière et une forme d’élévation spirituelle, non de désespoir, que tend le film pourtant funeste, éloge d’un engagement extrême.
Voici
Une aventure spirituelle pour le spectateur.
Franceinfo Culture
La dramaturgie s’efface au profit du contemplatif, coutumier du cinéaste, mais inadapté au regard du sujet.
Le Monde
Une vie cachée, qui est de loin le meilleur film du cinéaste depuis une décennie, demande un effort d’indulgence, une absence d’ironie, sans quoi les fulgurances qui sont toujours là, au détour d’un plan sur un enfant, un animal, la chambre d’un couple baignée de lumière, refusent d’apparaître.
Les Fiches du Cinéma
Malick part de ce drame pour livrer une réflexion humaniste sur la foi, mais cède parfois à un maniérisme pompier.
Paris Match
Si Malick offre comme à l’accoutumée un film visuellement ébouriffant, quelques plans d’inspiration quasi divine, il utilise aussi jusqu’au trop plein ses longs travellings et contre plongées à la steadycam, dont la fluidité finit parfois par devenir un gimmick.
Télé 7 Jours
Terrence Malick peaufine chaque plan, magnifie la nature. Obsédé par la poésie de ses images, il créé toutefois une distance avec le spectateur, plus ébloui que réellement ému.
Critikat.com
Malick retombe peu à peu dans ses travers, en procédant à un aplatissement par l’entremise d’un montage rouleau compresseur où tout se voit lyricisé jusqu’à l’épuisement.
La Septième Obsession
Le film n’est pas sans virtuosité, l’ouverture tissée d’images d’archives est vertigineuse, et certaines séquences font mouche, mais dans l’ensemble, il manque un souffle, une authenticité.
Marie Claire
Un grand délire fervent et mégalomane qui laissera plus d'un spectateur sur le carreau… hormis sans doute ses nombreux fans extatiques.
Ouest France
Malick reste un virtuose de la caméra. Mais la durée gâche beaucoup le plaisir pour finalement ne pas nous dire grand chose des motivations profondes de cet objecteur de conscience anonyme guidé par la foi.
Sud Ouest
L’emphase et la longueur viennent à bout, hélas, de la puissance de la méditation.
Cahiers du Cinéma
La mollesse des débats moraux d’Une vie cachée laisse vite, comme Malick en a pris l’habitude, le sentiment religieux flotter dans les facilités d’un panthéisme de carte postale qui sert de fond au mutisme des personnages.
Libération
[...] c’est un film assez grossier, taillé dans le lard, montage saucissonné et cinéma charcutier mais bien résolu à remporter les prix œcuméniques de tous les festivals [...].
Télérama
CONTRE : Une vie cachée n’est pas, comme son titre l’indique, la chronique d’une résistance à bas bruit, mais une lourde symphonie publicitaire pour le martyre et le paradis perdu.
aVoir-aLire.com
Quoiqu’il n’évoque plus directement sa foi en Dieu, Terrence Malick ne trompe personne : c’est bien de cela qu’il est question à travers le récit de ce résistant autrichien. Sa morale bondieusarde perd toutefois beaucoup de son souffle dans cette allégorie peu subtile.