Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Dans un Londres filmé comme Manhattan, un beau portrait de femme à la dérive sous influence cassavetienne.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Jolie surprise que ce premier long métrage britannique, interprété splendidement par Emily Beecham.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Premier long métrage réussi d’un réalisateur anglais, Peter Mackie Burns,qui dessine un portrait psychologique tout en finesse dans le monde contemporain. Découverte d’une actrice de talent, Emily Beecham.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un petit film très sensible dans sa façon de capter la réalité, qui trouve la note juste et originale, à l’image de l’interprétation de son héroïne, dont la rousseur et l’humour sont irrésistiblement anglais.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Libération
par Marcos Uzal
Cette jeune femme serait sans doute très irritante si elle n’était filmée avec tant de tact par un cinéaste qui, ne renchérissant jamais sur ses excès, sait la regarder, et donc nous la donner à voir, avec une attention et une douceur qu’elle se refuse à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Camille Sanchez
Daphné est interprétée par Emily Beecham, une actrice anglo-américaine qui n’a pas fini de vous surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Positif
par Ariane Allard
Raccord avec son personnage, Emily Beecham parvient à magnétiser les regards sans en faire des tonnes.
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans une esthétique colorée, évoquant Wong Kar-wai, la rousseur et le talent d’Emily Beecham, nouvelle venue à ne plus quitter du regard, brillent de mille feux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le portrait sensible d'une femme qui masque sa fragilité sous des airs cyniques.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Si l’histoire est agréablement écrite, elle n’en demeure pas moins assez banale. C’est du côté d’une interprétation toute en finesse que se situe l’intérêt de cette première œuvre originale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Antoine Le Fur
L'histoire, dont le sujet de départ invite à une certaine profondeur psychologique, s'avère, hélas, quelque peu superficielle. Reste la révélation Emily Beecham, sorte de nouvelle Gena Rowlands (...).
Le Figaro
par Nathalie Simon
Pour son premier long-métrage, l'Écossais Peter Mackie Burns brosse d'une main sûre à partir d'un scénario un peu linéaire le portrait d'une femme libre. De tous les plans, la comédienne anglo-américaine Emily Beecham illumine le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Emily Beecham prête ses traits au personnage éponyme, trentenaire énervante, attachante, drôle, émouvante, fil rouge d’une balade sensible dans une capitale britannique cosmopolite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Consacrant son premier long métrage à un personnage foncièrement antipathique, Peter Mackie Burns signe un portrait réaliste, mais assez agaçant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"Daphné" est un peu plus qu’un film de rédemption : le miroir d’une drôle d’époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Correspondante londonienne de la Parisienne Paula («Jeune femme») ou de la New-Yorkaise Frances («Frances Ha»), «Daphné» doit beaucoup de son charme retors à son interprète principale, Emily Beecham, de tous les plans du film et révélation immédiate.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Anouk Féral
Cette fille, c’est Emily Beecham, la nouvelle petite Anglaise que l’on va adorer. Rousse incandescente au visage de camé pâle, Emily Beecham contourne son propre classicisme esthétique. Elle insuffle à Daphné sa grâce mais aussi une rudesse et un bagout qui corsent habilement sa plastique évanescente.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
Un portrait féminin sobre et réaliste, porté par une Emily Beecham pétillante.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L’absence de véritable enjeu dramatique donne un sentiment de flottement que l’énergie et le charme piquant d’Emily Beecham ne parviennent pas à effacer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Obs
par François Forestier
Un bon point pour l'actrice, Emily Beecham, qui réussit à donner vie à ce personnage. Mais est-ce suffisant pour se taper une heure et demie de déambulations aussi passionnantes que celles d'un hanneton bourré ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
BIBA
Dans un Londres filmé comme Manhattan, un beau portrait de femme à la dérive sous influence cassavetienne.
Cahiers du Cinéma
Jolie surprise que ce premier long métrage britannique, interprété splendidement par Emily Beecham.
L'Humanité
Premier long métrage réussi d’un réalisateur anglais, Peter Mackie Burns,qui dessine un portrait psychologique tout en finesse dans le monde contemporain. Découverte d’une actrice de talent, Emily Beecham.
Le Dauphiné Libéré
Un petit film très sensible dans sa façon de capter la réalité, qui trouve la note juste et originale, à l’image de l’interprétation de son héroïne, dont la rousseur et l’humour sont irrésistiblement anglais.
Libération
Cette jeune femme serait sans doute très irritante si elle n’était filmée avec tant de tact par un cinéaste qui, ne renchérissant jamais sur ses excès, sait la regarder, et donc nous la donner à voir, avec une attention et une douceur qu’elle se refuse à elle-même.
Marie Claire
Daphné est interprétée par Emily Beecham, une actrice anglo-américaine qui n’a pas fini de vous surprendre.
Positif
Raccord avec son personnage, Emily Beecham parvient à magnétiser les regards sans en faire des tonnes.
Télérama
Dans une esthétique colorée, évoquant Wong Kar-wai, la rousseur et le talent d’Emily Beecham, nouvelle venue à ne plus quitter du regard, brillent de mille feux.
Voici
Le portrait sensible d'une femme qui masque sa fragilité sous des airs cyniques.
aVoir-aLire.com
Si l’histoire est agréablement écrite, elle n’en demeure pas moins assez banale. C’est du côté d’une interprétation toute en finesse que se situe l’intérêt de cette première œuvre originale.
L'Express
L'histoire, dont le sujet de départ invite à une certaine profondeur psychologique, s'avère, hélas, quelque peu superficielle. Reste la révélation Emily Beecham, sorte de nouvelle Gena Rowlands (...).
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, l'Écossais Peter Mackie Burns brosse d'une main sûre à partir d'un scénario un peu linéaire le portrait d'une femme libre. De tous les plans, la comédienne anglo-américaine Emily Beecham illumine le film.
Le Parisien
Emily Beecham prête ses traits au personnage éponyme, trentenaire énervante, attachante, drôle, émouvante, fil rouge d’une balade sensible dans une capitale britannique cosmopolite.
Les Fiches du Cinéma
Consacrant son premier long métrage à un personnage foncièrement antipathique, Peter Mackie Burns signe un portrait réaliste, mais assez agaçant.
Les Inrockuptibles
"Daphné" est un peu plus qu’un film de rédemption : le miroir d’une drôle d’époque.
Paris Match
Correspondante londonienne de la Parisienne Paula («Jeune femme») ou de la New-Yorkaise Frances («Frances Ha»), «Daphné» doit beaucoup de son charme retors à son interprète principale, Emily Beecham, de tous les plans du film et révélation immédiate.
Première
Cette fille, c’est Emily Beecham, la nouvelle petite Anglaise que l’on va adorer. Rousse incandescente au visage de camé pâle, Emily Beecham contourne son propre classicisme esthétique. Elle insuffle à Daphné sa grâce mais aussi une rudesse et un bagout qui corsent habilement sa plastique évanescente.
Transfuge
Un portrait féminin sobre et réaliste, porté par une Emily Beecham pétillante.
Le Journal du Dimanche
L’absence de véritable enjeu dramatique donne un sentiment de flottement que l’énergie et le charme piquant d’Emily Beecham ne parviennent pas à effacer.
L'Obs
Un bon point pour l'actrice, Emily Beecham, qui réussit à donner vie à ce personnage. Mais est-ce suffisant pour se taper une heure et demie de déambulations aussi passionnantes que celles d'un hanneton bourré ?