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    Wonder Wheel
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    3,3
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    257 critiques spectateurs

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    Audrey L
    Audrey L

    634 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2019
    Woody Allen dans sa routine, un film qui ressemble beaucoup à tout ce qui a déjà été fait par le réalisateur (qui n'est pas aussi un acteur ici, rare divergence), et cela agace car le style reste maîtrisé et très esthétique, malgré un grand déjà-vu. Les liaisons amoureuses de la serveuse (Kate Winslet, oui, "encore !") et Justin Timberlake (qui est décidément plus à l'aise au micro que devant la caméra) le sauveteur sur la plage, avec l'intrigue problématique que cette femme est mariée à Humpty, un homme qui est le beau-père violent de son fils (turbulent) et qui recueille sa fille (pas issue de son actuelle femme... Vous suivez toujours ?) après que cette dernière aie eu des ennuis avec son mari Frank. Un joyeux bazar de relations amoureuses et trahisons, comme Woody Allen sait les faire (et les fait bien) mais qu'on connaît. A noter que quelques plans sont magnifiques (dans la chambre avec les lumières filtrant au travers des rideaux, le parc d'attraction filmé avec envie, les musiques joliment datées qu'on prend plaisir à redécouvrir...). Seul le cadre change des ordinaires grandes villes (To Rome With Love, Café Society...), ici un parc d'attraction avec la fameuse Wonder Wheel (la Grand-Roue) et la plage qui la jouxte. Le rythme indolent et la grande familiarité de ce film avec les précédents peuvent faire s'impatienter les cinéphiles qui attendent qu'Allen sorte de sa zone de confort.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2019
    Plutôt une bonne surprise dans la filmo récente de Woody Allen. L'inspiration théâtrale est clairement annoncée et assumée (Eugene o'Neill, Tennessee Williams, Shakespeare...). Cela donne donc un film très écrit, très théâtral, mais qui lorgne aussi vers le film noir et le mélodrame à la Douglas Sirk (notamment via les couleurs flamboyantes données à la photo par Vittorio Storaro). Bref, un univers très référencé pour servir un propos assez noir et amer sur les illusions et les désillusions de la vie, les choix et la fatalité, les grandeurs et les petitesses de chacun... L'ensemble se tient bien. Qualité des dialogues, réalisation soignée, très belle composition de Kate Winslet dans un rôle névrotique. Et puis il y a ce personnage de petit garçon pyromane, vraiment singulier. Il manque juste quelques prises de risque, quelques "accidents" sur ce chemin très (trop ?) balisé, pour que ça vibre, que ça transporte et que ça reste mémorable.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Énième déclinaison de ses propres obsessions, ce nouveau film de Woody Allen recycle avec plus ou moins de bonheur les figures habituelles de son cinéma, très aidé par un casting judicieusement choisi. Côté écriture, on ne touche pas la grâce comme à d'autres occasions, les dialogues ne sont pas franchement mémorables, en revanche la caractérisation des personnages est plutôt fine et bien pensée. Le style années 50 convient bien à Woody Allen, qui évite d'allonger trop la sauce et livre un film de bonne facture, presque trop classique le concernant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Je ne comprends pas bien la sévérité des critiques avec ce film. Le scénario peut donner une impression de déjà-vu, mais il va vers une noirceur très rare chez Allen, même si déjà présente dans Blue Jasmine. Les acteurs sont parfois peu ou mal dirigés, mais ça n’empêche pas Kate Winslet de montrer toute l’étendue de son talent et même de se surpasser. Et niveau réalisation, je trouve qu’il y a plus à se mettre sous la dent que dans les deux ou trois derniers films d’Allen. C’est plus soigné, moins paresseux, plus proche des acteurs. Le côté théâtral et artificiel peut déranger mais je l’ai trouvé très réussi, avec une photographie saturée qui rappelle les films en technicolor et l'univers de Douglas Sirk.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 février 2018
    Il y a d’abord Mickey, le playboy qui surveille la plage de Coney Island, au sud de Brooklyn. Malgré quelques velléités de dramaturge, il semble plus doué pour la drague. Vient ensuite Humpty, alcoolique à demi-repenti, qui tient un manège dans le parc d’attraction et habite à côté. Il vit avec Ginny, quadra un peu lasse, ex-actrice reconvertie en serveuse. Après une longue fâcherie avec sa fille, Humpty accueille la jolie Carolina qui tente d’échapper à un mari gangster. Du coup, Mickey qui avait succombé au charme de Ginny, s’apprête à la tromper avec Carolina…
    Faiblesse, orgueil, frustration, vengeance… le petit manège de la confusion des sentiments et des faux semblants tourne encore. Et comme toujours, Woody Allen y intègre sexe, mensonges et fantaisie. A l’image du jeune garçon de Ginny, drôle de pyromane. Et si la grand-roue de la vie (Wonder wheel) ressemble parfois à celle de l’infortune, surprises et petites traitrises maintiennent habilement la tension dans ce trouble jeu à quatre personnages. Quatre misérables héros au croisement de quatre destins inachevés.
    Même affublé des oripeaux du mélo, le dernier film du Mister ressemble comme un frère à ses derniers films, sans atteindre le génie des premiers. Mise en scène virtuose, avec un côté très théâtral, à l’instar du numéro de James Belushi. Dans le genre frustré, Kate Winslet est autrement plus convaincante. Et toujours ces dialogues brillants et horripilants… Enfin, il y a la photo somptueuse qui joue avec les lumières rasantes du matin et du soir. De quoi féliciter davantage le chef op’ que le Mister lui-même !
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 218 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2018
    Sans doute moins achevé que "L'homme irrationnel" ou "Café Society", "Wonder Wheel" reste un film plaisant. La qualité de conteur de Woody Allen est toujours bien présente et, malgré la scène attendue où la jeune héroïne est abandonnée à son destin, on prend du plaisir à cette évocation de Coney Island après-guerre, dans laquelle Kate Winsley est renversante. La photo de Storaro, qui joue autant des artifices que dans "One from the heart", est splendide.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 novembre 2018
    J’aime bien le nouveau film de Woody Allen, un scénario à suivre sans prise de tête, sans égaler ses chef-d’œuvre “café society », « blue jasmine ». Il a déjà fait le tour en ces termes touchants, c’est toujours aussi intrigant, une romance à la clé, drôle, j’ai passé un bon moment.
    Legid
    Legid

    36 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2018
    Dernier Woody Allen en date, Wonder Wheel est passé plutôt inaperçu. Subissant les effets collatéraux de l'affaire Weisntein qui a vu resurgir la polémique résurgente d'accusations de harcèlement sexuel et de comportement indécent de son auteur, le film de mérite pas ce désintérêt.
    S'il ne renouvelle en aucune façon le style du réalisateur (qui pense vraiment qu'à 80 ans passé, Woody Allen allait chambouler son cinéma bien codifié ?)
    Comme à son habitude, le Woody Allen scénariste utilise des thèmes déjà vus dans ces précédents œuvres. Entre le triangle amoureux, les références à la tragédie antique, et le brisage de 4e mur, le spectateur habitué à son cinéma (que je suis devenu) reste un terrain conquis et ne sera que peu surpris.
    La nouveauté viendra cependant de l'esthétique et de la photographie bien plus mises en avant. La reconstitution du New York des années 1950 et plus particulièrement du quartier de Coney Island est très réussie. Le choix des couleurs et de la lumière rend le film visuellement très beau, ce qui n'est pas forcément une des signatures du réalisateur, parfois habitué à plus de sobriété.
    Les acteurs, Kate Winslet en tête, sont très bien dirigés comme Allen sait si bien le faire.et offrent à ce scénario, plaisant mais sans grande surprise, une belle interprétation. Dommage cependant que la fin soit si brutale et laisse en suspend trop d'interrogations.
    Wonder Wheel est donc un cru correct pour Woody Allen mais ne surprend peut être pas assez pour être un film marquant.
    Newstrum
    Newstrum

    46 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2018
    Un film où se confondent la réalité et la fiction, comme souvent chez Woody Allen. Ginny (Kate Winslet) mène sa vie de serveuse à Coney Island comme on tient un mauvais rôle et l'histoire de Mickey tombant amoureux de la belle fille de Ginny fait écho à la propre vie du réalisateur. Un film crépusculaire, éclairé avec des couleurs d'incendie par Vittorio Storaro (qui en fait un peu trop d'ailleurs), qui pourrait être le dernier de son auteur, la roue de la fortune ayant tourné défavorablement pour lui. Si tel devait être le cas, ce serait une sortie plus qu'honorable (quel dernier plan prémonitoire où la vie des personnages et sa propre vie brûlent métaphoriquement sur la plage !). Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2018
    c'est un bon Woody Allen , tragédie à la grecque ,on sent que ça finira mal.le cadre de Coney island qui festif par définition est vu sous l'angle des marginaux des forains et moins riche et diversifié que Nrw york.la mise en scène reste académique avec un jeu de lumière sur le rouge/orange et un jeu très théâtrale des acteurs..bref bonne histoire mais sans profondeur , âme ou fantaisie.
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    45 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2018
    Pas mal, du bon jeu d'acteurs (Winslet, royale évidemment) mais que de noirceur, que de lenteur, et au final, que se passe-il? Je m'y suis un peu ennuyé. Par contre la photo est magnifique, vraiment (ces couleurs!), et la réalisation superbe. Malheureusement ça ne peut pas masquer le fait que l'on baille un peu, et le film apparaît bien long pour ne finalement pas dire grand-chose. C'est en fait une sorte de pièce de théatre filmée, avec les trois unités classique. Il est aussi particulièrement déprimant: aucun échappatoire n'est possible dans ce film, et personne n'en sort indemne. Le spectateur non plus d'ailleurs: déprimé. Et là, il faut admettre que Allen a eu le courage d'aller au bout! Rien que pour ça je ne peux pas le noter trop bas.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2020
    Avec WONDER WHEEL, Woody Allen nous signe ici son 47ème long métrage. Il va nous conduire à Coney Island (New York) dans les années 50. Nous allons y retrouver une famille recomposée avec Humphy (James Belushi) & Ginny (Kate Winslet) qui vont voir leur quotidien chamboulé quand la fille de Humphy, Carolina (Juno Temple), à qui il n’a pas parlé depuis 5 ans, va débarquer dans leur vie. Rajoutons à ce tableau un beau sauveteur (Justin Timberlake) qui va faire chavirer des têtes, et vous obtenez les parfaits éléments pour un bon mélodrame. Je ne peux que saluer le retour de Justin Timberlake (The Social Network & Time Out) qui est un acteur que j’apprécie beaucoup. Dans Wonder Wheel tout va être une question d’ambiance. Les scènes seront très travaillées avec énormément de jeu de lumière & de luminosité. Ceux-ci évoluant avec la teneur des dialogues donneront une autre dimension à d’excellent monologue. Le scénario quant à lui se tien parfaitement. La narration introductive de Justin Timberlake nous plonge directement dans le sujet. Pas de temps de latence, on est tout de suite pris par le film. Tout cela est soutenu par d’excellent acteur au service de personnage remarquablement bien travaillé. Le titre aillant pris le nom de la grande roue qui domine le parc d’attraction de Coney Island n’est pas un hasard. Cela montre la volonté de la dramaturgie où chaque individu est enfermé à perpétuer les même actes (Alcoolisme, adultère, séduction…) qui le conduiront finalement à sa perte. WONDER WHEEL aura donc tout pour plaire, je l’ai d’ailleurs trouvé très bon, mais il n’a pas le petit truc qui m’a donné le coup de cœur. Il risque aussi de subir les répercussions de scandales autour de Woody Allen qui risque d’entrainer une influence en salle en dessous de ce qu’il mériterait.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juin 2018
    Une femme dans les années 50 malheureuse dans son couple tombe amoureuse d'un jeune sauveteur de plage intellectuel. Les films de Woody Allen sont souvent nostalgiques, celui-là n'échappe pas à la règle. Ce qui est nouveau c'est le milieu défavorisé et les couleurs vives qui viennent contraster le côté dramatique de l'histoire. La direction d'acteurs est toujours remarquable et ici comme toujours Kate Winslet est remarquable. La réalisation est fluide et bien menée mais le thème et le film semblent un peu vieillots.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 février 2018
    L’histoire se déroule en 1950 (cf. la sortie de « Winchester 73 » d’Anthony Mann) à Coney Island (ancienne île au sud de Brooklyn à New-York) dans un complexe de loisirs où figure la grande roue qui donne son nom au titre du film. Elle concerne 4 personnages, Ginny, une serveuse de restaurant qui rêve d’être actrice (Kate WINSLET), mariée depuis 5 ans à Humpty, veuf, alcoolique et qui tient un manège (James BELUSHI) et dont la fille Carolina (Juno TEMPLE) réapparait, poursuivie par des sbires de son mari maffieux et Mickey (Justin TIMBERLAKE), sauveteur sur la plage, logeant à Greenwich Village et rêvant d’être un grand écrivain (il lit « Hamlet et Œdipe » d’Ernest Jones). Woody Allen a su créer une ambiance à la Tchekhov qui lorgne, vers la fin, du côté de Tennessee Williams et notamment de « Un tramway nommé Désir » (1947) : Kate Winslet, rongée par la jalousie et la rancœur, ressemble à Blanche Du Bois. Cette excellente prestation associée à une magnifique photographie [de l’italien Vitorio STORARO, à la longue filmographie, ayant éclairé, notamment, les films de Bernardo Bertolucci, Francis Coppola [dont « Apocalypse now » (1979)] et Woody Allen depuis « Cafe Society » (2016), succédant ainsi à Darius Khondji] compensent le côté conventionnel de l’histoire et des dialogues. .
    JEANRENE43
    JEANRENE43

    11 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2018
    Qu'en penser ? Les femmes se laissent mener par leur sentimentalité et les hommes aveuglés sont des roues... de secours en guise d'être des wonder wheels !!! Est-ce donc là, le développement du titre, l'annonce ? Est-ce le chef d'oeuvre de Woody Allen pour aider ses concitoyens américains, qu'il présente, en détresse ? La réalisation, le scénario, le jeu des acteurs me font d'abord penser aux romans photos des années 50-60 qui cherchaient à distraire des oisifs pas assez motivés pour lire un vrai livre... Ma première réaction plutôt émotive a été sévère : un film nul qui ennuie, sans profondeur, sans message.

    Puis après réflexion quelques heures suite à ma critique, je réalise la dimension symbolique et métaphorique de ce film. Cette merveilleuse roue qui donne le titre au film n'est pas un hasard. Pour qui est-elle merveilleuse ? C'est la conclusion mais il faut développer avant de formuler. D'abord Humpty, ce père qui vient d'apprendre que sa fille a été kidnappée qui pourrait être supprimée, qui rentre effondré et dit: la police ne fera rien... C'est là un abandon de l'institution aux lois du pistolet, une loi individuelle, à chacun sa justice. Est-ce une merveilleuse roue dans le pays qui se veut le modèle de démocratie ? D'ailleurs dans cet optique, l'entraînement au tir est plus important que l'éducation, d'où me semble-t-il le stand de tir forain, symbole de l'essentiel.
    On est dans la seconde moitié des années 50 puisqu'il est question du Vietnam alors que l'Amérique ne peut pas perdre d'abord pour son prestige et l'image de sa réussite généralisée. Or les gens sont obligés d'accepter des petits boulots à peine suffisants pour se nourrir et se loger de façon précaire. Est-ce là aussi une merveilleuse roue ? Pour qui la merveilleuse roue ? A l'évidence pas pour les petites gens qui font tourner la merveilleuse roue mais qui n'en profitent pas, bien au contraire, ils s'y épuisent. Que sont les palliatifs ? Quelques petits loisirs dont les jeux, l'alcool, le sexe et un peu de plage au soleil... La merveilleuse roue, pour ceux qui touchent les dividendes du succès, est à préserver, il ne faut rien changer. Or cet enfant malheureux qui préfère le cinéma à l'école, qui met le feu au buste d'une femme à l'endroit des infidélités de Ginny, sa mère avec Mickey, à la poubelle de la psychologue, n'est-ce pas là ce que pense le Woody Allen ? Une nouvelle métaphore pour dire à ses concitoyens : Il faut détruire la cause des malheurs pour mieux reconstruire.
    Enfin pourquoi ce film maintenant qui traite d'une période révolue ? Pourquoi en rester au passé, pourquoi pas un message à l'Amérique d'aujoudhui, toujours première puissance mondiale, mais celle du chacun pour soi ? Celle du président qui préfère conserver le principe du self-défense avec son arme individuelle. Une liberté qui conduit à tuer bien des jeunes gens innocents. Cette Amérique d'aujourd'hui est-elle si différente au regard du bonheur des petites gens ? Le système reste le même et plus que jamais défendu. Or Woody Allen par cette métaphore du feu suggère-t-il : il est temps d'y mettre le feu et de reconstruire ? Je conviens que ce n'est pas évident mais ce film mérite réflexion...et une meilleure appréciation que la déception du départ.
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