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Un visiteur
0,5
Publiée le 4 mars 2018
Très déçu. Un bon casting mais l'histoire est trop simple. Au bout de 30 minutes on se perd, On est plus dans le film. spoiler: Alors la fin du film c'est vraiment catastrophique. Je ne conseil pas ce film
Il y a dans ce film tout ce que l’on aime chez Woody Allen : une histoire mélodramatique, des personnages en souffrance, le parfum des années 50, des acteurs magnifiques, surtout Kate Winslet, une petite musique aigre-douce, un triangle amoureux, des beaux plans de New York, une tragédie à la grecque, des décors de carte postale etc. Mine de rien, Wonder wheel est un grand et un bon Woody Allen
Une tragédie, habilement menée, par un Woody Allen posé, prenant le temps de poser la situation et les personnages, optant pour une narration à la 3ème personne dépassant pour cela l'interdit du 4ème mur. Belle reconstitution du Coney Island des années 50, images léchées, bref, pas du grand Woody, mais une oeuvre intérieure dans laquelle on peut se laisser emporter volontiers.
Wonder Wheel est le nouveau Woody Allen de l'année, lui qui nous offre en moyenne un film par an. Je n'est pas vus énormément de film de Woody Allen, mais on reconnait énormément la patte du cinéaste New Yorkais à travers les thématiques qu'il exploite. A ce niveau là, Woody Allen ne se révolutionne pas. Il nous plonge en plein dans les années 50 dans le parc d'attraction de Coney Island aidé par une photographie magnifique. Il nous offre une intrigue qu'on retrouve souvent dans son cinéma mêlant rêve brisé, des personnages prêt a tout pour sortir de leurs conditions, l'amour, et la trahison. Le film a aussi pour thème le théâtre, et le mensonge. Il le traite a travers des jeux de lumière magnifique, et par le fait que Woody Allen laisse une grande place à ses acteurs, en allongeant la plupart du temps ses plans, pour leurs laissé de l'espace de jeu qui est lui aussi très théâtral. Avec tout ceci, il créer une sensation d'étouffement et de claustrophobie. D'ailleurs tout les acteurs sont vraiment excellent. Kate Winslet en tête, phénoménale en personnage hystérique, prête à tout pour fuir sa condition. Juno Temple qu'on aimerai voir plus souvent est elle aussi très forte, tout comme Justin Timberlake qui se créer une carrière d'acteur très intéressante, et Jim Belushi qui apporte énormément et est vraiment excellent. Le film souffre malheureusement d'une intrigue qui stagne ce qui créer des longueurs et malgré une conclusion satisfaisante, elle n'est pas des plus originale pour son metteur en scène. Wonder Wheel reste un film plutôt correct et bon dans son ensemble.
Certains parlent de situation à la Tennessee Williams... Pour bien connaître l'auteur, je rajouterai Tennessee Williams version boulevard, alors. Car Si Woody Allen nous a habitués à de petites pépites finement ciselées, "Wonder Wheel" manque sacrément de subtilité... Pas la faute à la distribution impeccable. Qu'il s'agisse De la frustrée Kate Winslet, du bourru James Belushi ou du séduisant Justin Timberlake, chacun joue sa partition avec un accent théâtral évident. La lumière magnifie l'image à chaque plan mais cela ne suffit pas. Cette partition à trois sonne le déjà vu et l'on se surprend à penser au générique final que le dernier film du prolixe réalisateur est un rien paresseux...
Pas le plus excitant des Woody Allen ! Entre un fils pyromane, une fille recherchée par des mafieux, un père triste à l'idée de reperdre sa fille, une mère malheureuse dans son couple, et un homme qui vient semer la zizanie en convoitant la mère dans un premier temps pour finalement se pencher sur la belle-fille, Woody Allen nous présente un méli-mélo familial dramatique correcte, mais pas non plus transcendant. Les acteurs sont bons (Kate Winslet toujours impeccable), la mise en scène est belle, mais ce scénario relativement classique emporté par une mère déboussolée, aux rêves brisés et aux espoirs rapidement réduits à néant, n'aura pas de quoi nous surprendre.
Nous étions arrivés à un point qu’une séance d’un film de Woody Allen était une obligation. Le cinéphile en nous se souvient de ses grands films mais était désormais déçu de ses farces qui ne reposaient que sur la prestation des acteurs. C’est avec une grande surprise que Wonder Wheel s’avère être une œuvre brillante. Plongé dans les années cinquante dans le parc d’attraction Coney Island, Wonder Wheel raconte le destin de quatre personnages. Kate Winsley est une ex-comédienne devenue serveuse, qui a repris sa vie en main au dépend de son bonheur en se mariant avec un homme bon mais violent lorsque l’alcool pointe le bout de son nez. Carolina, la fille de ce dernier, refait surface après cinq années d’absences et annonce que sa vie est mise en jeu suite à sa rupture avec un gangster. Non loin de là, Justin Timberlake est un maître-nageur qui va s’enticher de l’une, puis de l’autre femme. Entre dramaturgie et film noir, le film dresse des portraits justes et complexes. L’utilisation de la lumière est à couper le souffle et la reconstitution des moindres détails des décors sont bluffant. Si Justin Timberlake et Juno Temple livrent une prestation plus que méritante, c’est Kate Winslet qui nous éblouie par son jeu lunatique et expressif. N’oublions pas non plus James Belushi qui, dans son rôle de mari, impose un mélange d’émotions captivant. Exception faite de Blue Jasmine en 2013, Woody Allen n’avait fait que nous décevoir depuis Vicky Cristina Barcelona en 2008. Si sa vie personnelle est tourmentée par des scandales sexuels, le cinéaste signe un retour nostalgique et audacieux au cinéma. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Ce film est un bijou ! Une galerie de caractères époustouflante, une photo magnifiée par des filtres qui apportent une couleur chaude et rétro à ce superbe huis clos de fête foraine. Kate Winslet interprète à merveille cette dérive qui la mène presque à la folie (on imagine le pire quand elle s'empare de ce long couteau !) et le très séduisant Justin Timberlake nous dévoile là de belles qualités d'acteur. Woody Allen signe là un de ses meilleurs films et j'espère qu'il n'a pas l'idée de prendre sa retraite car j'attends son prochain film avec impatience !
Quasi huis-clos dans le parc de Coney Island, "Wonder Wheel" se rapproche des comédies de boulevard mêlant mélodrame et vaudeville. Au cœur de ce tourbillon de fête foraine, l’équilibre subtil, très « allenien», entre farce et drame n’échappe pas au destin, au cynisme ou à la mélancolie. Comme à son habitude, Woody Allen nous conte l’histoire de personnages à fleur de peau et en proie à des situations qui tournent vite au ridicule. Ces personnages à la dérive vont, dans un jeu du chat et de la souris, s’accrocher les uns aux autres pour trouver une raison de continuer à vivre. Interprétés au plus juste, le casting n’enlève rien au charme du film, bien au contraire. Chacun brille dans son registre, du petit Justin à la grande Kate. Entre lumière chaude et couleurs éclatantes, les images du chef opérateur Vittorio Storato sont quant à elles sublimes.
Entre scénario, interprétation et photographie, "Wonder Wheel" régale les pupilles et les cœurs. Alors faites fi des cancans et allez sans scrupule voir un bon Woody Allen.
de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress.com
La photo du film est magnifique. Le Coney Island des années 50 donne une ambiance chaleureuse et prenante. Toutefois, l’histoire est banale et la fin décevante.
WA filme un amour à naître, l’espoir d’un bonheur qu’elle croyait ne jamais revivre mais qui va lui échapper. C’est doux-amer et triste au final car le ressentiment va lui faire perdre la raison...... Assez beau
Dans les années 50. Un couple recomposé, un enfant chacun, la fille du gars est belle comme un cœur vient de quitter à 25 ans son mec qui est un gangster, le fils de la femme met le feu partout et fuit l'école. la femme est amoureuse d'un maitre nageur dont tombe amoureuse la fille du gars. Ambiance particulière de Coney Island. Musique de jazz. Figurerez vous que c'est un Woody Allen. J'ai du en voir 30 ... c'est le plus mauvais. Le professionnel est là, mais aucune âme, aucune émotion, aucun élément notable. Aurait déjà été mieux en noir et blanc. Pour le cinéma de 2018 il aurait du être filmé dans l'Amérique profonde ... Il reste le scénariste ... Un film évidemment bavard. Comme si en passant dans une production Amazon, W Allen se sentait juste tenu de faire du Woody Allen. On peut éviter.