Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Positif
par Franck Garbarz
Avec cette variation tragique à la théâtralité assumée qui évoque Tennessee Williams et Eugene O'Neill, Woody Allen prolonge les réflexions sur le hasard et le destin de ses récents opus (...) en plongeant quatre personnages dans un Coney Island sublimé par la lumière de l'incomparable Vittorio Storaro.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Dans ce drame lumineux, Woody Allen n'a jamais été aussi proche de Tchekhov.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Conduit par une narration précise et virtuose, assumant magistralement sa facture théâtrale, éclairé des couleurs chaudes et éclatantes conçues par le grand Vittorio Storaro ("Apocalypse Now", "1900"), porté par l’interprétation incandescente d’une actrice d’exception, Wonder Wheel évoque aussi bien les grands mélodrames de Douglas Sirk que l’expressionisme lyrique de Bertolucci.
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans Wonder Wheel, Kate Winslet est vibrante d’émotions en femme vieillissante qui s’ennuie avec son mari avant de tomber sous le charme d’un maître-nageur (Justin Timberlake).
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Woody Allen signe sa mise en scène la plus aboutie depuis longtemps.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Avec son titre enchanteur, "Wonder Wheel" laisse entrevoir une comédie à happy end. Mais qu’on se le dise la wonder wheel est plutôt l’image de l’éternel retour et de l’homme condamné, tel un hamster, à faire des petits tours sur sa roue de (la) fortune.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Kate Winslet est magistrale.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Woody Allen nous revient avec une comédie désenchantée et nostalgique, servie par une lumière et une photographie magnifiques.
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Woody Allen, depuis 50 ans, n’a eu de cesse de le répéter, l’illusion théâtrale ou cinématographique ne nous sauvera pas, l’amour est soumis à des lois sociales et pécuniaires qui font cuire la nostalgie d’un idéal amoureux toujours fuyant.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
N’espérez pas quitter ce nouveau Woody Allen le cœur enjoué. Dans ce film qui trouve directement son inspiration aussi bien dans les tragédies antiques que chez Tchekhov, l’espoir n’est qu’une chimère et chacun est condamné à subir son morne destin, malgré tant d’efforts, de trahisons, d’infidélités et de cynisme pour y échapper.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’histoire croisée de personnages réunis autour de la grande roue du parc d’attractions, qui est aussi la grande roue de la vie qui va, avec ses doutes, ses trahisons, ses rêves, sa mélancolie tendre et ses couleurs changeantes de fête foraine.
Le Point
par La Rédaction
Un très bon cru du réalisateur new-yorkais.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Wonder Wheel" n'est sans doute pas le plus grand film de Woody Allen (...) mais il possède un atout extrêmement important : Kate Winslet, tout aussi géniale que l'était Cate Blanchett dans "Blue Jasmine".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Au plus près de son héroïne ultrasensible, Woody Allen met en scène une histoire fiévreuse qui prouve combien le passage inexorable des années n'érode pas son inspiration.
Ouest France
par La Rédaction
James Belushi, Juno Temple, Justin Timberlake et Kate Wmslet sont propulsés dans les années 1950 dans un marivaudage somptueux et délicieusement rétro.
Télérama
par Louis Guichard
Dans Blue Jasmine, la solidité et l’ironie irréductibles de Cate Blanchett amortissaient la cruauté du cinéaste. Kate Winslet, actrice marquée par le romanesque de son film phare, Titanic, ne possède pas le même bouclier invisible. Elle impressionne autrement, par l’état limite de vulnérabilité où la fiction l’entraîne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Woody Allen offre à ses comédiens une partition de choix, dont Kate Winslet et Jim Belushi tirent remarquablement parti. Leur énergie désespérée contamine chaque scène et inscrit Wonder Wheel dans la droite lignée de Tennessee Williams et des mélodrames d'antan.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Drame poignant d’une existence ratée, spectacle de cinéma total où la délicate photographie, les décors majestueux et les acteurs au diapason, sont célébrés avec maestria, Wonder Wheel est encore un grand film sur les femmes par le désormais pourtant très contesté Woody Allen (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Drame poignant d’une existence ratée, spectacle de cinéma total où la délicate photographie, les décors majestueux et les acteurs au diapason, sont célébrés avec maestria, Wonder Wheel est encore un grand film sur les femmes par le désormais pourtant très contesté Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Danièle Heymann
Oui, on peut, on doit aimer le nouveau Woddy Allen, un lumineux mélodrame où crépitent les feux incongrus d'un petit garçon pyromane.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Pour qui n’en attend pas autre chose qu’un songe nostalgique, "Wonder Wheel" recèle assez de pépites cinéphiles pour s’y perdre plaisamment.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Demeurent les acteurs, bien sûr, tout comme la très belle photographie du grand Vittorio Storaro aux dominantes oranges et dorées pour coller à la mélancolie du film. Mais le cœur n’y est pas.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Le savoir-faire de Woody Allen n'est pas contestable, mais il manque l'étincelle qui ferait de ce drame de la condition humaine un film mémorable. Les images, signées Vittorio Storaro, sont sublimes, mais où est passé l'humour ? Woody, reviens !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’actrice britannique est bouleversante en quadragénaire nostalgique de sa gloire passée, désespérée et prise au piège, prête à tout pour changer de vie. La photographie sublime adoucit la radicalité de la mise en scène, parfois trop théâtrale.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film s’accorde ainsi avec le regain de scandale qui entoure le cinéaste, lequel ne craint pas de souffler sur ses braises.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Malgré une photographie et une mise en scène inspirées, on a conny Woody Allen plus subtil.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Même si l'on a vu le réalisateur de "Annie Hall" plus inspiré, celui-ci a encore des merveilles à offrir : la vision d'une Coney Island ensorcelante, "prison" pleine de vie et de bruit, dont les néons changent de couleur au gré des sentiments des personnages.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
La théâtralité maladroite du film, qui fait vivre un éternel coucher de soleil à ses personnages (on a connu Vittorio Storaro plus inspiré), n’est que le masque d’un cinéaste qui confond la vanité comme genre pictural et la position vaniteuse d’un artiste qui regarde les humains du haut de sa tour d’ivoire.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Un peu désormais à l’image de son Luna Park mitoyen – qui n’est plus que l’ombre de lui-même –, le cinéma de Woody Allen, dès le premier plan, se met en branle tel un vieux carrousel, à bord duquel prennent place les figures imposées d’un catalogue désormais inventorié de fond en comble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le réalisateur mélange mélo et film noir et offre un beau rôle à Kate Winslet, sans retrouver le swing de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Frédéric Foubert
Dans une Coney Island irréelle, Woody Allen rend un hommage (trop) appuyé aux géants du théâtre américain.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Olivier Bousquet
Hommage au théâtre dramatique américain (Williams, O’Neill), le film est engoncé dans un costume un peu étriqué. Reste la performance magistrale de Kate Winslet, injustement oubliée aux Oscars.
L'Express
par Christophe Carrière
"Wonder Wheel" [...] pédale à vide et suscite au mieux l'embarras, au pire l'ennui.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bref, ce méli-mélo tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
Avec cette variation tragique à la théâtralité assumée qui évoque Tennessee Williams et Eugene O'Neill, Woody Allen prolonge les réflexions sur le hasard et le destin de ses récents opus (...) en plongeant quatre personnages dans un Coney Island sublimé par la lumière de l'incomparable Vittorio Storaro.
Studio Ciné Live
Dans ce drame lumineux, Woody Allen n'a jamais été aussi proche de Tchekhov.
Transfuge
Conduit par une narration précise et virtuose, assumant magistralement sa facture théâtrale, éclairé des couleurs chaudes et éclatantes conçues par le grand Vittorio Storaro ("Apocalypse Now", "1900"), porté par l’interprétation incandescente d’une actrice d’exception, Wonder Wheel évoque aussi bien les grands mélodrames de Douglas Sirk que l’expressionisme lyrique de Bertolucci.
20 Minutes
Dans Wonder Wheel, Kate Winslet est vibrante d’émotions en femme vieillissante qui s’ennuie avec son mari avant de tomber sous le charme d’un maître-nageur (Justin Timberlake).
CinemaTeaser
Woody Allen signe sa mise en scène la plus aboutie depuis longtemps.
Culturopoing.com
Avec son titre enchanteur, "Wonder Wheel" laisse entrevoir une comédie à happy end. Mais qu’on se le dise la wonder wheel est plutôt l’image de l’éternel retour et de l’homme condamné, tel un hamster, à faire des petits tours sur sa roue de (la) fortune.
Elle
Kate Winslet est magistrale.
Femme Actuelle
Woody Allen nous revient avec une comédie désenchantée et nostalgique, servie par une lumière et une photographie magnifiques.
La Septième Obsession
Woody Allen, depuis 50 ans, n’a eu de cesse de le répéter, l’illusion théâtrale ou cinématographique ne nous sauvera pas, l’amour est soumis à des lois sociales et pécuniaires qui font cuire la nostalgie d’un idéal amoureux toujours fuyant.
La Voix du Nord
N’espérez pas quitter ce nouveau Woody Allen le cœur enjoué. Dans ce film qui trouve directement son inspiration aussi bien dans les tragédies antiques que chez Tchekhov, l’espoir n’est qu’une chimère et chacun est condamné à subir son morne destin, malgré tant d’efforts, de trahisons, d’infidélités et de cynisme pour y échapper.
Le Dauphiné Libéré
L’histoire croisée de personnages réunis autour de la grande roue du parc d’attractions, qui est aussi la grande roue de la vie qui va, avec ses doutes, ses trahisons, ses rêves, sa mélancolie tendre et ses couleurs changeantes de fête foraine.
Le Point
Un très bon cru du réalisateur new-yorkais.
Les Inrockuptibles
"Wonder Wheel" n'est sans doute pas le plus grand film de Woody Allen (...) mais il possède un atout extrêmement important : Kate Winslet, tout aussi géniale que l'était Cate Blanchett dans "Blue Jasmine".
Marianne
Au plus près de son héroïne ultrasensible, Woody Allen met en scène une histoire fiévreuse qui prouve combien le passage inexorable des années n'érode pas son inspiration.
Ouest France
James Belushi, Juno Temple, Justin Timberlake et Kate Wmslet sont propulsés dans les années 1950 dans un marivaudage somptueux et délicieusement rétro.
Télérama
Dans Blue Jasmine, la solidité et l’ironie irréductibles de Cate Blanchett amortissaient la cruauté du cinéaste. Kate Winslet, actrice marquée par le romanesque de son film phare, Titanic, ne possède pas le même bouclier invisible. Elle impressionne autrement, par l’état limite de vulnérabilité où la fiction l’entraîne.
Voici
Woody Allen offre à ses comédiens une partition de choix, dont Kate Winslet et Jim Belushi tirent remarquablement parti. Leur énergie désespérée contamine chaque scène et inscrit Wonder Wheel dans la droite lignée de Tennessee Williams et des mélodrames d'antan.
aVoir-aLire.com
Drame poignant d’une existence ratée, spectacle de cinéma total où la délicate photographie, les décors majestueux et les acteurs au diapason, sont célébrés avec maestria, Wonder Wheel est encore un grand film sur les femmes par le désormais pourtant très contesté Woody Allen (...).
aVoir-aLire.com
Drame poignant d’une existence ratée, spectacle de cinéma total où la délicate photographie, les décors majestueux et les acteurs au diapason, sont célébrés avec maestria, Wonder Wheel est encore un grand film sur les femmes par le désormais pourtant très contesté Woody Allen.
Bande à part
Oui, on peut, on doit aimer le nouveau Woddy Allen, un lumineux mélodrame où crépitent les feux incongrus d'un petit garçon pyromane.
Ecran Large
Pour qui n’en attend pas autre chose qu’un songe nostalgique, "Wonder Wheel" recèle assez de pépites cinéphiles pour s’y perdre plaisamment.
Franceinfo Culture
Demeurent les acteurs, bien sûr, tout comme la très belle photographie du grand Vittorio Storaro aux dominantes oranges et dorées pour coller à la mélancolie du film. Mais le cœur n’y est pas.
L'Obs
Le savoir-faire de Woody Allen n'est pas contestable, mais il manque l'étincelle qui ferait de ce drame de la condition humaine un film mémorable. Les images, signées Vittorio Storaro, sont sublimes, mais où est passé l'humour ? Woody, reviens !
Le Journal du Dimanche
L’actrice britannique est bouleversante en quadragénaire nostalgique de sa gloire passée, désespérée et prise au piège, prête à tout pour changer de vie. La photographie sublime adoucit la radicalité de la mise en scène, parfois trop théâtrale.
Le Monde
Le film s’accorde ainsi avec le regain de scandale qui entoure le cinéaste, lequel ne craint pas de souffler sur ses braises.
Les Fiches du Cinéma
Malgré une photographie et une mise en scène inspirées, on a conny Woody Allen plus subtil.
Télé 7 Jours
Même si l'on a vu le réalisateur de "Annie Hall" plus inspiré, celui-ci a encore des merveilles à offrir : la vision d'une Coney Island ensorcelante, "prison" pleine de vie et de bruit, dont les néons changent de couleur au gré des sentiments des personnages.
Cahiers du Cinéma
La théâtralité maladroite du film, qui fait vivre un éternel coucher de soleil à ses personnages (on a connu Vittorio Storaro plus inspiré), n’est que le masque d’un cinéaste qui confond la vanité comme genre pictural et la position vaniteuse d’un artiste qui regarde les humains du haut de sa tour d’ivoire.
Critikat.com
Un peu désormais à l’image de son Luna Park mitoyen – qui n’est plus que l’ombre de lui-même –, le cinéma de Woody Allen, dès le premier plan, se met en branle tel un vieux carrousel, à bord duquel prennent place les figures imposées d’un catalogue désormais inventorié de fond en comble.
Le Figaro
Le réalisateur mélange mélo et film noir et offre un beau rôle à Kate Winslet, sans retrouver le swing de son cinéma.
Première
Dans une Coney Island irréelle, Woody Allen rend un hommage (trop) appuyé aux géants du théâtre américain.
VSD
Hommage au théâtre dramatique américain (Williams, O’Neill), le film est engoncé dans un costume un peu étriqué. Reste la performance magistrale de Kate Winslet, injustement oubliée aux Oscars.
L'Express
"Wonder Wheel" [...] pédale à vide et suscite au mieux l'embarras, au pire l'ennui.
L'Humanité
Bref, ce méli-mélo tourne à vide.