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Audrey L
654 abonnés
2 596 critiques
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4,0
Publiée le 17 février 2018
Comédie française qui est une petite perle d'humour et de tendresse, sans jamais être vulgaire ni idiot, L'Embarras du choix nous offre un personnage attachant et qu'on prend vite en pitié (très crédible Alexandra Lamy !) car l'on sait que le trouble existe réellement. Une autre façon de traiter tout en douceur un sujet plus grave, et si quelques passages sont un peu faciles (un certain personnage que l'on appréciait bien qui devient en un revers le parfait goujat... Un peu surprenant et pas très finement amené, mais cela permet d'amener une très bonne fin ensuite). Car le réel bon point du film est la fin que l'on n'attendait pas ! Assez surprise (pour ne pas dire bernée car j'attendais l'autre fin depuis le début, tel le cliché de la comédie romantique vue et revue), j'ai apprécié cette prise de risque avec un très bon rebondissement final. Les gags sont drôles, la musique bien choisie (Paradise de Coldplay, une valeur sûre qui fonctionne à tous les coups) et les situations ne sont pas grand-guignolesques mais crédibles. De même, les seconds rôles sont bons (les amies hilarantes, l'homme à chat qui fuit les conflits, le père invasif, mais aussi Frank Dubosc en prêtre écossais à la barbe rousse et son "Passe-Partout" très drôles !). Les paysages écossais sont tout simplement sublimes, et l'accent écossais unique et chaleureux n'aura pas échappé aux amateurs de la VO... Très agréablement étonnée de découvrir une sympathique comédie qui est mignonne, crédible et délicieusement drôle.
Ha les comédies romantiques avec Alexandra Lamy; Ça n’est jamais décevant, il y a une constante dans la médiocrité qui est finalement assez remarquable. Ça n’est pas drôle et c’est aussi romantique qu’un dîner sur un parking de supermarché après être allé au drive du McDonald. Le film ne s’adresse qu’aux nostalgiques des romcom des années 80 et il donne déjà la terrible impression d’être daté et affreusement ringard. Sans idée, le pitch de base n’est finalement pas exploité, les acteurs n’y croient pas mise à part Sabrina Ouazani qui s’amuse dans un registre ou on ne la voit pas d’habitude (en espérant tout de même qu’elle n’y retourne pas). Ce film ne donnera pas envie d’être amoureux mais aura peut être brisé quelques couples si l’un des membres a infligé ce navet à l’autre.
Une comédie romantique sans prétention mais sans grande originalité non plus. Pas déplaisant à regarder mais aussitôt oublié... Et puis cette fin est trop cucul...
Ce film fait partie des divertissements sans prétention mais bien nécessaires par les temps qui courent. Une impression de bonne humeur permanente se dégage, et on déguste ce moment comme une douceur. Alexandra Lamy, comme d'habitude, est épatante et toujours pleine de charme,et les acteurs et actrices qui l'accompagnent sont tous savoureux.
c'est quand meme assez niais .... des le debut du film on se rend compte qu'on ne va pas voir la comedie de l'année. c'est surjoue en permanence - bref sans grand interet
Un film vraiment douloureux à regarder, Alexandra Lamy a bien du mal a y être aimable ou attirante, on a envie de la tarter pendant la moitié du film. Les autres acteurs sauvent un tout petit peu l'ensemble du désastre.
Une comédie romantique sympathique avec un scénario divertissant, des dialogues qui font mouche, des bonnes barres de rire, de belles images et des personnages très bien interprétée autant par le premier rôle joué par Alexandra Lamy que les seconds rôles.
Réalisateur à la filmographie inégale et conventionnelle, Eric Lavaine a fait ses premières armes en tant que scénariste à la télévision pour la série humoristique « H » vers la fin des années 90. Quelques années plus tard, après avoir acquis la confiance des producteurs, il lance sa carrière avec le loufoque « Poltergay » (2006), pour ensuite varier entre le plutôt bon (« Incognito ») et le plutôt très mauvais (« Protéger et Servir », « Bienvenue à Bord », datant respectivement de 2010 puis de 2011). En 2016, fort de son rapport amical avec la critique, il s’exécute à une double collaboration avec Alexandra Lamy, chouchoute des français depuis l’âge d’or d’ « Un Gars, Une Fille » ; s’en suivront une comédie positive (« Retour chez ma mère ») et une autre qui manquera de spontanéité. « L’embarras du choix » regorge de situations sympathiques, voir parfois hyper créatives (notamment grâce à un Jérôme Commandeur tout feu tout flamme), mais prêche lorsqu’arrive le moment d’atteindre la fibre sensible du spectateur. Le film devient alors assez monotone et n’est exaltant qu’à partir du moment ou il y a comique de situation (ou de répétition, selon avis). Alexandra Lamy fait du Alexandra Lamy, et semble parfois manquer d’inspiration. Quant aux rôles masculins majeurs, ils insufflent au long-métrage un peu d’air frais et de couleur, notamment lorsque vient le moment de la désillusion (puis, logiquement, de l’affrontement). On regrettera alors qu’ils soient alors d’avantage considérés comme « sous fifres » de la belle tandis qu’une autre carte aurait été intéressante à jouer. A appréciation de chacun et de chacune.
Sous forme de comédie, une femme qui n'arrive pas à faire des choix s'enferme dans une situation compliquée. PLV : Alexandra Lamy y met du sien mais à 40 ans.....