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Ricco92
224 abonnés
2 149 critiques
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1,5
Publiée le 22 mars 2017
Chacun sa vie (titre auquel le générique associe le sous-titre « et son intime conviction ») est un film qui bénéficie d’un casting exceptionnel ainsi que d’un casting prestigieux et un casting incroyable et un casting et un casting et un casting… En effet, la cuvée Lelouch 2017 n’est qu’une accumulation de stars dans des rôles souvent inutilesspoiler: (on peut aisément imaginer que Vanessa Demouy s’attendait à avoir un personnage qui ne se résume pas qu’à une bimbo expédiée en une scène et traitée comme une prostituée sans le moindre libre arbitre que l’on pourrait trouver dans n’importe quelle vidéo pornographique à bas coût) , ne les mettant pas toujours à leur avantagespoiler: (qui a vraiment envie de voir un full frontal nudity de Gérard Darmon ?) , flirtant avec le mauvais goûtspoiler: (Ramzy Bedia interprétant un comédien jouant du cliché raciste de l’arabe violentant sa femme…) ou le ridiculespoiler: (Jean-Marie Bigard jouant un médecin soignant par le rire !!!) ou bien étant traités trop rapidement pour avoir un minimum d’intérêtspoiler: (le personnage joué par Liane Foly) . Le film est donc un énorme foutoir où les histoires s’enchainent plus comme des minis-sketchs que comme étant imbriqué dans un scénario cohérentspoiler: (la thématique de l’intime conviction vantée dans la promotion du film n’est traitée que dans le discours d’introduction d’Éric Dupond-Moretti et par une suite d’interviews des différents personnages pour ne jamais être développée par la suite) et se recoupent dans un final artificielspoiler: (la séquence du procès) . On plaint donc cette belle brochette d’acteurs qui, selon la méthode Lelouch, découvraient leurs rôles au moment du tournage même si certains bénéficient de certaines scènes sympathiquesspoiler: (les différentes séquences avec Johnny Hallyday, le tête-à-tête entre Éric Dupond-Moretti et Béatrice Dalle) . Le résultat est donc un film dont le manque de crédibilité agace et ennuie rapidement.
Lelouch tenait visiblement à faire une compilation des grands noms de son époque et des valeurs qu'ils partageaient. Ce sera le dernier film de Johnny, et s'il ne s'agit là que d'une coïncidence malheureuse, il y a bien dans Chacun sa vie un goût d'au revoir adressé à toute une époque par les artistes de sa génération.
Chacun sa vie, c'est Le Cinéma de Papa réactualisé, un melting pot chaotique dont les interconnexions posent la question de savoir ce qui a changé dans notre manière d'interagir aux autres. Et je m'étonne moi-même d'arriver ainsi à le défendre, car malgré ce chaos dans l'air du temps qui le lisse, le film est maladroitement ringard, tentant bizarrement de ressusciter plusieurs styles iconiques du vieux cinéma français.
Il compile aussi tout ce que j'en déteste : la monoculture du mariage pourri, de libidos larmoyantes, de basses tromperies et d'embrouillaminis familiaux ennuyeux. Tout cela aurait pu faire l'objet d'une critique, même légère, peut-être un peu nostalgique, et montrer l'espoir que suscite toujours l'arrivée d'une nouvelle ère (Le Cinéma de Papa, tmtc), au lieu de quoi le film cimente ces mentalités obsolètes dans un conservatisme entêté. Et malgré ses bonnes idées, c'est ce que Chacun sa vie demeurera : un chaos aux relents de passéisme.
Après une petite embellie avec Salaud, on t’aime et surtout avec Un Une, on pensait Claude Lelouch repartit sur de (toutes relatives) nouvelles bases. Cela n’a pas duré longtemps. Il retombe dans ses pires travers. Et nous refait le même film, encore et encore. Hasards, coïncidences, amour, séparation, musique (assommante), chansons (Liane Foly insupportable), tout y passe, même le mariage pour tous. Une multitude de personnages qui se croisent, se recroisent, sans lien, sans fil rouge, succession de sketches mis bout à bout dans un grand n’importe quoi. Ça n’a aucun sens, c’est totalement idiot, sans humour et sans émotion, trop léger et trop bavard. La plupart des scènes sont...
Le film est en roue libre, compilant les clichés sur les hommes (...), les femmes (…) et gérant mal de trop nombreuses sorties de route carrément gênantes.
Les Destinées Sentimentales. Viva la vie à Beaune. Chacun vit sa vie et Claude Lelouch a raté son dernier film. Le temps perdu à bailler ne se retrouve jamais. Brèves d'instances, c'est l'heure de la sortie, par la petite porte, surtout pour Johnny. Confus et maladroit, à chacun son talent, surtout entre Bigard et Dujardin, le grand écart. J'avais honte pour certains. Tout ça pour ça, qu'importe de vivre, la faiblesse est humaine.
Presque totalement nul, des scènes de vies de parisiens avec avec de très belles situations financières mais dont les amours et les infidélités sont nombreux. Seule la scène du sozie de Johnny m'a plu. Autrement, les dialogues sont lourds, sans intérêts, Claude Lelouch tourne en rond dans tous ses films, aucun intérêt, c'est tristement de l'auto-suffisance :(
Film foutraque à la Lelouch avec une ribambelle impressionnante d'acteurs ! Scénario tiré par les cheveux, photographie laide qui ne met en valeur aucun des interprètes qui paraissent tous vieux et fatigués. Mais il y a parfois des moments très drôles qui valent le détour comme celui de l'arrestation par des gendarmes du personnage joué par Philippe Lellouche ou celui étonnant où apparaît Béatrice Dalle en prostituée qui part en retraite. Et puis, ô miracle, Johnny Hallyday est plutôt bon dans son (presque) propre rôle ! Mais c'est parfois déplorable et horripilant. Pas assez travaillé...
Décousu, Chacun Sa vie est un film français dont on a pas compris véritablement l'intérêt ni même l'histoire. Pourtant le casting est énormissime (peut être pour attirer un maximum de public), mais tant que la qualité n'y est pas, ça ne sert à rien. Entre Jean Dujardin, Jean Marie Bigard ou encore Johnny Halliday, l'osmose n'existe pas, les scènes sont sans anecdotes, sans même intérêt.. Après 1h45, je n'ai toujours rien compris au scénario, aux histoires, entre scènes de ménages, scènes de divorce !
On sent que les acteurs s'amusent plus que les spectateurs...peut-être que le film aurait gagné à rester destiné à ceux qui y ont participé, comme un souvenir de vacances ou quelques sketchs estudiantins, car vu de l'extérieur, l'humour ne fonctionne pas, l'histoire (s'il y en a une) ennuie profondément, et le large panel d'acteurs (et chanteur pour Johnny Hallyday) nous rend perplexes : comment rater à ce point un film qui réunit autant de stars ? Il y en a certainement beaucoup trop pour que l'on puisse s'intéresser à un seul personnage. Certes, c'est le but d'un film choral d'avoir autant de personnages, mais film choral ne veut pas dire suite de sketches à l'humour puéril (blagues sales de Bigard, l'absurde gag de Johnny qui n'est pas Johnny...) et qu'on essaye inlassablement de relier entre eux par des grosses ficelles qui commencent à s'user très rapidement... La durée du film n'aidant pas (1h50 qui paraissent le double), on arrive épuisés au terme de ce film qui copie sans aucune honte son début, comme si on se moquait bien de ce que le spectateur est venu voir entre les deux concerts de Johnny... En effet, il n'y a rien à voir, passez votre chemin.
Dialogues et situations souvent ridicules voire d'une vulgarité sans fond ( la scène totalement WTF? avec Demouy et Lellouche ). Juxtaposition de scènes agencée à la "vas-y comme je te pousse". Celles avec Johnny sont les plus réussies, ainsi que celle avec Ramzy et Ferrier ( très drôle en cagole pur jus) et Bigard. Tout le reste est nullissime. Après, on aime ou pas le style Lelouch. J'avais beaucoup aimé un une, mais là, ça ne passe vraiment pas... La quantité ( distribution ) mais pas la qualité (résultat à l'écran). Note d'humeur: 3/20 ( vu juste après "monsieur et madame Adelman", forcément, y'a pas photo)
LeLouch 2017 est bien loin du Lelouch des années 60 à 80 ! Ce film est un ratage total et le tapage promotionnel (entre autres les interviews à répétition et l’omniprésence médiatique d’Elsa Zylberstein) est totalement injustifié, ne reflétant pas la réalité d’un film sans queue ni tête et particulièrement ennuyeux. On a vraiment l’impression d’un film alimentaire tant pour les uns que pour les autres, réunissant une brochette d’acteurs (plus ou moins copains), dont pas mal de has been et quelques people plutôt décalés, … Pas vraiment de cohérence dans le scénario, des dialogues décousus et sans intérêt, des saynètes qui se percutent plus qu’elles ne s’enchaînent, tout ça ne fait pas un film ! Seules Liane Foly et Julie Ferrier semblent tirer à peu près leur épingle du jeu. D’ailleurs, on peut se demander pourquoi Marianne Denicourt, si brillante dans « médecin de campagne », est venue se commettre dans cet opus. Cette remarque vaut aussi pour Gérard Darmon bien en dessous de ce qu'il a l'habitude de nous offrir et qui présente ici son anatomie ; ce dont on se serait bien passé ! En revanche, la bande son est particulièrement agréable et de qualité.
Le problème avec Lelouch, c'est qu'il n'a jamais compris qu'un bon cinéaste n'a pas besoin de nous abreuver de films tous les quatre matins. Avec lui, un film sur cinq est bon, ou passable simplement. Celui-ci est affligeant de nullité. Et le recours à une tonne d'acteurs, plus has been les uns que les autres n'arrangent rien. Un bon point néanmoins à Béatrice Dalle, toujours parfaite, et à Dupon Moretti, étonnant. Sinon, voir Kenji Girad m'a donné envie de vomir, un peu comme lorsque Lelouch avait fait jouer B Tapie. Lelouch est un populiste et un démago du cinéma. Il est loin le réalisateur inspiré d'un homme et d'une femme, de la belle histoire ou d'itinéraire d'un enfant gâté. Un mauvais film tout simplement, à vivement déconseillé. S'il pouvait arrêter de tourner ce serait bien, son talent s'est envolé depuis longtemps...
Une Lelouch, c'est comme une boite de chocolat, on ne se sait jamais sur quoi on va tomber. Autant j'avais relativement bien apprécié le précédent, Un et une, que celui ci est à oublier très vite : on y trouve tout les travers que l'on a de plus en plus de mal à lui pardonner. Johnny dans un de ses meilleurs rôles sauve du désastre
Quel ennui. Des bons acteurs dans un film sans réel histoire. On se demande D ailleurs quand celui-ci va commencer et où il va finir et surtout quand !!!