Un casting prodigieux, du jamais vu pour un resultat plus que moyen . Merci Johnny pour ton humour decapant apres ta prestation remaquée dans le Canet SInon ........... RIEN. Mr Lelouch revenez aux fondamentaux vous avez beaucoup de talent.
Eh bien, moi, j'ai bien aimé. Pour un Lelouch, ça change du scénario de d'habitude. L'humour y trouve sa place et ça fait du bien. Le sketch avec Bigard est très drôle ainsi que celui avec Dujardin et Dulery. J'en suis ressortie avec une super pêche comme dirait quelqu'un avec la chanson de Johny Haliday, "toute la musique que j'aime" en tête.
Malgré les critiques plutot négatives , je suis allée voir ce nouveau Lelouch par curiosité pour son czstong hors norme. Et je suis sortie agréablement surprise . La bande son tout d'abord est très agréable , et nous accompagne durant deux heures. Et les dialogues , sur le theme eternel de l'amour , des rencontres , des séparations , des relations hommes femmes...
Chacun sa vie (titre auquel le générique associe le sous-titre « et son intime conviction ») est un film qui bénéficie d’un casting exceptionnel ainsi que d’un casting prestigieux et un casting incroyable et un casting et un casting et un casting… En effet, la cuvée Lelouch 2017 n’est qu’une accumulation de stars dans des rôles souvent inutilesspoiler: (on peut aisément imaginer que Vanessa Demouy s’attendait à avoir un personnage qui ne se résume pas qu’à une bimbo expédiée en une scène et traitée comme une prostituée sans le moindre libre arbitre que l’on pourrait trouver dans n’importe quelle vidéo pornographique à bas coût) , ne les mettant pas toujours à leur avantagespoiler: (qui a vraiment envie de voir un full frontal nudity de Gérard Darmon ?) , flirtant avec le mauvais goûtspoiler: (Ramzy Bedia interprétant un comédien jouant du cliché raciste de l’arabe violentant sa femme…) ou le ridiculespoiler: (Jean-Marie Bigard jouant un médecin soignant par le rire !!!) ou bien étant traités trop rapidement pour avoir un minimum d’intérêtspoiler: (le personnage joué par Liane Foly) . Le film est donc un énorme foutoir où les histoires s’enchainent plus comme des minis-sketchs que comme étant imbriqué dans un scénario cohérentspoiler: (la thématique de l’intime conviction vantée dans la promotion du film n’est traitée que dans le discours d’introduction d’Éric Dupond-Moretti et par une suite d’interviews des différents personnages pour ne jamais être développée par la suite) et se recoupent dans un final artificielspoiler: (la séquence du procès) . On plaint donc cette belle brochette d’acteurs qui, selon la méthode Lelouch, découvraient leurs rôles au moment du tournage même si certains bénéficient de certaines scènes sympathiquesspoiler: (les différentes séquences avec Johnny Hallyday, le tête-à-tête entre Éric Dupond-Moretti et Béatrice Dalle) . Le résultat est donc un film dont le manque de crédibilité agace et ennuie rapidement.
Un joli moment de détente accompagné par cette myriade d'acteurs et d'actrices dont chacun apporte sa petite touche . Mention spéciale pour Eric Dupont-Moretti, Béatrice Dalle et Johnny Halliday. Beaucoup d'humour, de moments tendres et une réalisation toujours aussi originale pour décrire ces petits moments de la vie. Un film plein de fraicheur que je vous recommande donc !
Un très bon casting... malheureusement le scenario ne suit pas... quelle deception de voir tous ces excellents comediens dans un film sans intérêt. Il y a pleins de micro scènes qui n ont pas de réels intérêts que ce soit comique ou dramatique.
Je n'ai pas saisi le sens de ce film au casting pourtant foisonnant d'artistes prestigieux. Sorte de melting pot de situations banales, dont certaines n'ont absolument aucun intérêt pour le fil conducteur, le dénouement est d'une banalité toute aussi décevante...
On ne sait pas trop si on assiste à un hommage à Johnny Hallyday, à un reportage sur un festival de Jazz, à une série humoristique à épisodes...
Le tout manque cruellement de liant et de cohérence à mon goût :(
Quelque chose m'a peut être échappé, mais j'ai trouvé ce film sans intérêt et brouillon. J'étais perdue avec toutes ces histoires entremêlées, et je me suis ennuyée pendant deux heures, au point d'hésiter à sortir de la salle, ce qui ne m'arrive jamais. De plus, le film ne m'a procuré aucune émotion contrairement à La Confession ou Mr & Mme Adelman vus hier. Je regrette d'y être allée, j'aurais dû regarder les critiques avant
Lelouch aime filmer ses acteurs, c'est une cause entendue. On l'imagine sur le tournage de Chacun sa vie débordant de compliments sincères : " Béatrice, tu as été sensationnelle " ( ce qui, en l'occurrence, est vrai ), " Johnny, t'es incroyable " (ce qui, en l'occasion, n'est pas faux ), " Christophe, je ne trouve pas les mots " ( en l'espèce, nous non plus), etc...Tant d'amour pour ses interprètes fait qu'on lui pardonnerait presque de se sentir dispensé d'écrire un scénario qui tienne un tant soit peu la route et des dialogues qui ne sortent pas tout droit de L'Aphorisme pour les Nuls. "Presque", parce que, quand on se donne pour but, de son propre aveu, de traiter de La Justice, de L'Intime Conviction ( avec petit cours de civisme en plan fixe en guise de pré-générique ) et toutes ces sortes de choses, on évite de se disperser en moultes interminables scènes de tête à tête d'une insondable indigence. Et on évite surtout de faire jouer La Grande Scène du procès par deux des pires acteurs du cinéma français.
La mauvaise note est à la hauteur de ma déception. Grande fan de Claude Lelouch, cela ne fait que quelques années que je n'aime (ne comprends) plus ses films. Je n'avais pas du tout aimé "salaud, on t'aime". Un film choral aurait pu être sympa mais il y a trop de personnages, c'est fouilli. La musique est très moyenne. Le thème de l'influence du moral sur les patients déjà traité dans l'excellent "Hommes, femmes, mode d'emploi" est ici bien léger avec des blagues lourdingues.
Cédant de nouveau à son syndrome mégalomane du " Film Choral Au Casting Le Plus Long Possible ", Lelouch retrouve les défauts inhérents au genre mais, ici, amplifiés par la faute d'un scénario paresseux qui se cherche à peine l'excuse de donner un fond commun aux personnages (un procès d'assises ) Résultat : une succession de séquences souvent interminables ( et putassières : l'extrait - que rien ne justifie - d'un concert de l'idole des djeunes Kendji, ), aux dialogues inconsistants quand ils ne sont pas ridicules de philosophie de comptoir ( un vertige vous saisit quand vous apprenez qu'ils s'y sont mis à 4 ). De ce salmigondis n'émergent que les scènes d'un étonnant Dupond-Moretti ( mention à Béatrice Dalle, éblouissante ) et d'un Hallyday en roue libre dans le rôle d'un de ses sosies. Quant au filmage du procès d'assises, qui a pourtant ses classiques, c'est sans doute la pire chose qu'on a pu voir sur un écran depuis que le genre existe. A fuir, sauf si vous êtes fan d'Hallyday.
Plusieurs histoires qui se chevauchent et qui laisse un goût de déjà vu. Le scénario est très limité. Plusieurs scènes sont très limites , visiblement y'a plus moyen d'aller au cinéma sans voir un minimum de porno.ça va avec le temps... Bigard est lui même, les scènes avec Johnny sont amusante,celles avec Béatrice Dalle terrifiante, et aussi bizarre que ça puisse paraître la meilleur scène vient de la prestation finale de Christophe Lambert.
Une déception pour ce Lelouch réalisé en seulement quatre semaines. Le problème du film, c'est qu'il réunit une pléiade de grands acteurs aux destins entremêlés autour d'un procès d'assises. On a plus l'impression que le réalisateur a fait parler son carnet d'adresses plus que son talent de cinéaste. On a du mal à s'attacher aux personnages tellement ils sont nombreux et au final l'émotion et le rire ne sont pas souvent au rendez-vous. C'est dommage car l'ambiance de ce festival de jazz peut parfois donner des scènes assez cocasses (la fausse dispute du couple par exemple) mais le fait de passer sans arrêt d'une histoire à une autre finit par agacer ,spoiler: même si tout se recoupe à la fin . Dans ce film choral, c'est encore le novice, Eric Dupond-Moretti et l'inoxydable Johnny qui s'en sortent le mieux.